Massimo Ranieri a représenté l'Italie au Concours Eurovision de la chanson en 1973 avec le titre Chi sara' con te. Il est arrivé en 13e position. En 1971 déjà, sa victoire au célèbre show italien Canzonissima avec la chanson "Vent'anni" lui avait ouvert les portes de la compétition européenne. Au Dublin, il termina 5ème avec le titre "l'amore è un'attimo". Comme c'était l'usage à l'époque les gagnants ou bien placés de l'eurovision enregistrait leur titre en plusieurs langue. Il obtient un bon succès européen, tant en Allemagne 'Die Liebe ist ein Traum' en Espagne "Todo es tan fugaz" qu'en France "Pour un instant d'amour". En 1971, il tint auprès de Ottavia Piccolo, le 1er rôle masculin dans le film de Bolognini "Metello". Il sortit un album consacré à la chanson napolitaine. Il publia aussi deux versions chantées de l'Adagio d'Albinoni. La chanson "Erba di casa mia" lui permit de gagner Canzonissima 1973 (et donc son ticket pour l'eurovision). En 1988, il remporta le Festival de Sanremo avec "Perdere l'amore" (ré-enregistré bien plus tard par Lara Fabian). Il reste en Italie un artiste complet et prolifique (chanson, cinéma, théâtre, télévision). Fin 2007, il conduit sur Raiuno le primetime du vendredi soir "Tutte donne tranne me". Le 16 octobre 2002, Massimo Ranieri a été nommé Ambassadeur de bonne volonté de l'Organisation des Nations Unies pour l'alimentation et l'agriculture (FAO).
Pendant l’été 1975, Pier Paolo Pasolini termine le montage de son dernier film, « Salò ou les 120 journées de Sodome ». Son œuvre suscite de fortes polémiques et provoque des débat...
A Naples, une immersion dans les traditions locales avec un focus sur la musique si particulière de cette partie de l'Italie, qui a influencé plusieurs styles.
Le Courage d'aimer est le triomphe des autodidactes, des outsiders, de ceux qui n'auraient jamais dû être à l'arrivée. Un chanteur des rues...une voleuse à la tire... une serveuse ...
Un SDF pour qui la fin est préférable à la faim, une vendeuse de bijoux... qui n'est en réalité qu'une croqueuse de diamants, un faux chauffeur de taxi mais véritable escroc, un im...
Peu de temps avant la mort de sa femme, riche héritière d’un empire industriel, Antonio (Fernando Rey), comprenant qu’il risque d'être évincé par les actionnaires, la convainc de f...
Following the banning and burning of his novel, "The Rainbow," D.H. Lawrence and his wife, Frieda, move to the United States, and then to Mexico. When Lawrence contracts tuberculos...
“ Première partie d'une trilogie dont la suite ne verra jamais le jour parce que les spectateurs n'aiment pas les films de merde. ”— tomsias10 avril 2013
“ Cinema de boulevard qui fait toujours plaisir à voir. Son nombrilisme a tellement envie de se faire pardonner qu'il en réinvente l'ecriture. ”— piver17 juin 2016
“ Intéressant d'un point de vue purement conceptuel, ce "reboot-remake" se révèle pourtant d'une profonde inutilité. Préférez "Les Parisiens". ”— CourteFocale27 avril 2017