Il décroche son baccalauréat arts plastiques en 1982 puis, en 1984, il s'inscrit à l'École supérieure des arts appliqués Duperré section stylisme et expression visuelle. Il abandonne en cours d'année et part alors pour Angoulême, où il est diplômé de l'École supérieure de l'image en 1987. L'année précédente, il publiait sa première bande dessinée Le Secret des libellules (Futuropolis) puis en collaboration avec Nicolas de Crécy, il sort une adaptation du premier roman de Victor Hugo, Bug-Jargal. Il part ensuite pour l'Angleterre où il réalise quelques spots publicitaires en free lance (Renault, Swissair, Swinton...) puis, de retour en France, il réalise le clip vidéo Ça va, ça va pour le groupe vocal TSF. Il s'attaque ensuite au scénario de Le Pont dans la vase (Glénat), dessiné par Hubert Chevillard puis de Léon la came (Casterman), avec Nicolas de Crécy. En 1991, il entame la production de La Vieille Dame et les Pigeons avec la collaboration de Nicolas de Crécy aux décors. Il part ensuite pour le Canada et termine son film en 1996. Il reçoit un grand nombre de prix dont le Cristal du court métrage au festival d'Annecy et une nomination aux oscars pour le Meilleur court métrage d'animation. En 2003 sort Les Triplettes de Belleville, son premier long métrage qui lui aussi reçoit une nomination aux oscars dans deux catégories (Meilleur film d'animation et Meilleure chanson originale, musique de Benoît Charest interprétée par Matthieu Chedid). En 2004, il ouvre son propre studio d'animation à Édimbourg en Écosse, le studio Django. En 2005, il passe à la caméra en réalisant, pour le film Paris, je t'aime, le court métrage 7e arrondissement (tour Eiffel). Depuis, il a produit et réalisé à Édimbourg L'Illusionniste, basé sur un script inachevé de Jacques Tati et Henri Marquet. Tati a écrit le manuscrit de L'Illusionniste comme lettre personnelle à sa fille aliénée. ,
A l’apogée de sa gloire, Marcel Pagnol reçoit la commande d’une rédactrice en chef d’un grand magazine féminin pour l’écriture d’un feuilleton littéraire, dans lequel il pourra rac...
Paul a la trentaine, il vit dans un appartement parisien avec ses tantes, deux vieilles aristocrates qui l’ont élevé depuis ses deux ans et rêvent de le voir devenir pianiste virtu...
À la fin des années 50, une révolution agite l’univers du music-hall : le succès phénoménal du rock, dont les jeunes vedettes attirent les foules, tandis que les numéros traditionn...
Génération AMOUR...Au fil des quartiers, des histoires d'amour passager, voilé, mimé, vampirisé, malmené ou révélé...Un Pari(s) moderne émouvant et drôle, un film plein de vie(s) s...
L'idée de génie qu'eût madame Souza en offrant un vélo à son neveu alla bien au-delà de ses espérances. L'entraînement, une alimentation adaptée et le Tour de France n'était pas lo...
Un petit bijou de poésie presque sans dialogues racontant l'histoire d'une vieille dame qui régale les pigeons et d'un brigadier famélique qui l'observe dans un square. Précédé de ...
“ Chomet a terminé 1er grâce à une équipe soudée, un univers attachant et des situations uniques. Le côté obscur de Belleville. ”— ProfilSupprime29 novembre 2014
“ Tati imagina cette histoire douce et amère, Chomet la conte à sa façon. Ode à une époque révolue, à la vie, au temps qui passe. ”— Vince49015 septembre 2013
“ Chomet lâche l'animation mais garde son âme. Poétique, drôle, émouvant, très musical, voici un vrai film d'auteur. Un bel adieu à B.Lafont. ”— fabs8 5 novembre 2013
“ Le grotesque n’est pas le contraire du sublime, c’est juste son décalage désabusé et traumatisant. Merci à Sylvain Chomet de nous déranger. ”— elge25 novembre 2014
“ Les mauvais souvenirs il faut les noyer sous des flots de petits bonheurs et de madeleines. La poésie de Chomet a le gout du temps retrouvé
”— Theus23 mars 2014