À l'âge de 13 ans, il joue en tant que batteur dans le big band de Ramon Olivero puis étudie la composition, l'orchestration et le piano à la Juilliard School of Music. Dès son enfance, il apprend à danser et la danse devient un axe majeur de sa carrière musicale, « Sans la danse, pas de musique, et sans la danse, la musique ne peut être populaire ». Très tôt, il s'est mis à penser comme un danseur et non comme un musicien. Puente a commencé sa carrière en jouant avec le pianiste cubain José Curbelo en 1939, puis avec Johnny Rodríguez, Anselmo Sacassas, et Noro Morales. En 1942, il joua avec Machito puis part faire son service dans la marine où il servira durant la Seconde Guerre mondiale. En 1945 il retourne à New York et travaille avec José Curbello, Fernando Alvarez, Charlie Palmieri et Pupi Campo. En 1947, il forme l'orchestre Piccadilly Boys et signe les albums Abaniquito, El Timbal (1949), Babarabatiri (1951). En 1949 il commence à jouer également du vibraphone. Tito Puente joue aussi des congas, des claves, du piano et occasionnellement du saxophone et de la clarinette. Sa formation a vu défiler les plus grands percussionnistes de l'époque : Chano Pozo, Manny Oquendo, Mongo Santamaría, Willie Bobo, Patato Valdés, Cándido, José Mangual, Julito Collazo, Francisco Aguabella, Johnny Pacheco, Willie Rodríguez et Ray Barretto. Pendant les années 1950, il joue du mambo presque tous les soirs au Palladium Ballroom à New York, lieu de rendez-vous des vedettes américaines. Il popularise ensuite le cha-cha-cha et il est le seul artiste non cubain à être invité à Cuba en 1952 à l'occasion de la célébration des 50 ans de la musique cubaine. En 1956, il s'oriente vers le jazz avec l'album Puente Goes Jazz puis vers la bossa nova durant les années 1960. Tito Puente enregistre des dizaines d'albums touchant à de nombreux styles différents et notamment à la salsa dans les années 1980. Il a joué avec les plus grands du jazz, de Miles Davis à Lionel Hampton, de Dizzy Gillespie à Dexter Gordon. En 1962, il compose Oye Como Va qui connaîtra un énorme succès en 1970 grâce à la reprise de Carlos Santana (qui reprendra également une autre de ses compositions, Para los Rumberos, en 1972). Vers la fin des années 1970, il rejoint avec "Patato" le Latin Percussion Jazz Ensemble avec qui il enregistre deux disques et part en tournée en Europe et au Japon. Les Japonais vont s'enflammer pour la salsa : C'est après avoir vu le groupe jouer que La Orquesta de la Luz se formera (plus tard, Tito Puente enregistrera avec eux leur plus célèbre titre : La Descarga de la Luz). Dans les années 1980, il collabore avec Azuquita et La India, et s'oriente vers la musique instrumentale et le jazz. Il travaillera avec le pianiste Jorge Dalto et le violoniste Alfredo de la Fe, puis le pianiste Sonny Bravo, Mario Rivera, Piro Rodríguez et les percussionnistes "Dandy" Rodríguez et José Madera. Ses enregistrements pour la Concord Picante compteront des invités de luxe, comme Maynard Ferguson, Terry Gibbs, Phil Woods et George Shearing.
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La radio a joué, dans les années trente, un rôle privilegié dans la vie de millions d'Américains. "Radio Days" est un hommage a cette ère légendaire. Ses héros sont une famille d'o...
Dooley, un policier, et Kane, un avocat démis de leurs fonctions se font engager dans une entreprise de sécurité où ils deviennent partenaires. Bientôt, Dooley suspecte que les som...
“ Parler d'un passé personnel et familial idéalisé ou réel avec la radio et ses chansons : simple, léger, agréable et intelligent : allénien. ”— JZed 1 juillet 2013
“ Très belle évocation des années radio. Elairage sans égal sur la construction de l'imaginaire, et par extension du cinéma, de Woody Allen. ”— IMtheRookie13 février 2013
“ Nostalgie d'une époque bercée par les feuilletons radiophoniques... Woody se souvient et nous remontons le temps au son de Glenn Miller ...
”— louetdad 5 mai 2014