q Bien
Amen.
(2002)
un film de
Bien q
Satisfaction communauté 67%
Amen.

Amen.

(2002)
un film de
Ce qu'en pense la communauté
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Micro-critique star (livinien) :
livinien
(à propos de Amen.)
Sa note :
Amen. “ Gavras pose le vrai problème des déportés dans les camps de concentrations, avec la religion au service du nazisme. Belle œuvre de Gavras. ” — livinien 12 novembre 2014
8 commentaires
  • jenanaipa
    (à propos de Amen.)
    Sa note :
    Amen. “ Quand le train de la mort roule sur les rails de l'indifférence, les cendres des martyrs portent à jamais le parfum de la sainte omission. ” — jenanaipa 24 juillet 2016
    12 commentaires
    • Bosco
      commentaire modéré @jenanaipa C'est exactement ce que j'avais compris. Fort de tes certitudes idéologiques, tu as jugé : il a fait des trucs dégueulasses - notamment celle-ci. Aurait-il effectivement fait tous les trucs "dégueulasses" q'"on" lui attribue qu'il resterait à les prouver les unes après les autres et, pour chacune, à entendre ce qu'il a dire qui pourrait prouver que l'on s'est trompé dans l'accusation. Que penserais-tu d'accusations qui seraient mal fondées ? Qu'elles seraient de simples erreurs dues aux circonstances ? à une mauvaise interprétation ? que cette erreur avait de bonnes excuses ? Allez, je suis sûr qu'à l'égard du Vatican, tu ne la jugerais pas dégueulasse ! Et pourtant, dégueulasse, elle le serait profondément.
      3 février 2023 Voir la discussion...
    • Kokeshi_Kitano
      commentaire modéré @jenanaipa tu n'as pas honte de douter du Vatican et des papes qui y ont oeuvré avec pour seule mantra l'amour de l'autre? Remettrais tu en cause la blancheur immaculée de leur soutane ? ;) (ironie puissance infini)
      3 février 2023 Voir la discussion...
    • Bosco
      commentaire modéré Oui, l'Eglise se trouve très mal face aux errements qu'elle a pu commettre parfois en son histoire -et un seul errement pourrait être jugé par des puristes absolus comme un "trop souvent" - et face aux crimes qui ont été commis en son sein. Oui, elle doit rabattre de sa superbe pour autant qu’elle en fasse montre aujourd’hui. Et alors ? ajouterais-le. L'Eglise n'a jamais dit d'elle-même qu'elle formait une communauté immaculée ; elle a toujours su bien entendu et n'a cessé de dire qu'elle était faite dans le bois des hommes tous sensibles au mal. Elle doit être traitée comme telle dans sa part humaine (dans le bien comme dans le mal donc) ; et si ce n'est pas dans sa part humaine ce ne pourrait être que dans sa part divine (je ne crois pas que vous envisagiez pareille chose !) : ce serait Dieu qu'il faudrait juger... Dès lors, les arguments qu'elle-même avance ou ceux que présentent les historiens que ne lui sont pas hostiles a priori doivent être entendus avant tout jugement, comme pour tout jugement. C'est tout ce que met en avant le propos que je tiens. S'en prendre à elle en s'appuyant sur un film de fiction, lui-même repris d’une pièce de théâtre, Le Vicaire (Der Stellvertreter) écrite par Rolf Hochhuth, dans la RDA du début des années 60, n'est pas de bonne méthode ; c'est une méthode plus que critiquable, même si je sais, par ailleurs, que bien des films sont produits pour nourrir et entretenir des réflexes pavloviens de détestation à l'encontre de tout ce que la bienpensance actuelle déteste et voudrait voir disparaître de la surface de la terre ou du moins faire cesser de parler, si je sais en outre, et que vous ignorez manifestement, que le dramaturge allemand, après avoir écrit Le Vicaire, a été l'auteur de Soldaten, Nekrolog auf Genf (Soldats, Nécrologie de Genève, 1967), une pièce "controversée" comme on dit plaisamment (par fausse prudence insinuante ou polie) aujourd'hui pour ses assertions historiques pour le moins mal fondées sur le rôle joué pendant la Seconde Guerre mondiale , non pas par "le Vatican", cette fois-ci, mais par Winston Churchill. Vous m'avez compris, je l'espère, ce n'est pas tant des représentations et des opinions que je conteste et qu'en effet que je ne partage pas - chacun à les siennes - ce sont les méthodes. Sans doute le fais-je en vain car je sais bien que dans le relativisme contemporain où l'on barbotte, il y aura toujours des personnes en grand nombre pour accepter l'injustice (ou, ce qui revient au même, que les faits soient suivant les cas soumis à des justices différentes) au nom de ce qu'ils estiment être la « justice » - ces personnes qui, comme on le disait dans les années quatre-vingt, préféreront (voire se vanteront de) avoir tort avec Sartre plutôt que raison avec Aron.
      3 février 2023 Voir la discussion...
  • livinien
    (à propos de Amen.)
    Sa note :
    Amen. “ Gavras pose le vrai problème des déportés dans les camps de concentrations, avec la religion au service du nazisme. Belle œuvre de Gavras. ” — livinien 12 novembre 2014
    8 commentaires
    • Woodystwood
      commentaire modéré @livinien Les camps, c'est bien davantage qu'un «problème», pardon ! D'autre part, «la religion au service du nazisme», faut quand même pas exagérer. C'est très complexe, comme l'explique bien l'article que je viens de poster.
      11 janvier 2022 Voir la discussion...
    • Bosco
      commentaire modéré @Woodystwood Ben voyons ! ;-))
      12 janvier 2022 Voir la discussion...
    • Woodystwood
      commentaire modéré @Bosco Ah mais pardon j'ai compris. En fait vous ÊTES Éric Zemmour :-D lol
      13 janvier 2022 Voir la discussion...
  • blacktide
    (à propos de Amen.)
    Sa note :
    Amen. “ "Certaines trahisons sont la dernière ressource des justes". Partition de haute volée pour un requiem éminent contre la Barbarie ignorée... ” — blacktide 7 février 2016
    2 commentaires
    • blacktide
      commentaire modéré ... Seuls contre l'inconcevable, face au désintérêt général. L'indifférence léthargique des plus hautes instances face à l'inavouable sert la dénonciation silencieuse de Gavras, suggestive de brutalité, aussi poignante qu'objective.
      7 février 2016 Voir la discussion...
    • Michel_XL
      commentaire modéré Copain de profil pic.
      15 août 2017 Voir la discussion...

Casting de Amen.

Infos sur Amen.

Réalisé par Costa-Gavras

Allemagne, France, Roumanie - 2h10 - Drame
Sortie le 27 février 2002

Synopsis

Durant la Seconde Guerre mondiale, en Allemagne. Kurt Gerstein, médecin en poste à l'institut d'hygiène de la Waffen SS, devient le superviseur de l'approvisionnement en gaz Zyklon B des camps de la mort nazis. De passage à Auschwitz, il découvre, horrifié, la terrible réalité des chambres à gaz. Chrétien convaincu, il décide de porter témoignage, de se faire «espion de Dieu» pour alerter la communauté diplomatique internationale. Aidé par un jeune prêtre italien, il tente surtout de prévenir le Vatican, certain alors de pouvoir stopper ces trains qui alimentent chaque jour les camps en milliers de vies humaines. Inlassablement, jour après jour, sans se décourager, au péril de sa vie, Gerstein poursuit son entreprise de dénonciation, accumulant les documents et les preuves matérielles, s'enfonçant dans le double jeu et le désespoir...

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