Ce qu'en pense la communauté
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Micro-critique star (RemyEnImages) :
RemyEnImages
(à propos de Demonlover)
“ Totalement fasciné par l'univers du film, la violence qui, à chaque instant, habite tous les personnages. Peut être mon Assayas préféré... ”
— RemyEnImages
2 janvier 2018
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RemyEnImages
(à propos de Demonlover)
“ Totalement fasciné par l'univers du film, la violence qui, à chaque instant, habite tous les personnages. Peut être mon Assayas préféré... ”
— RemyEnImages
2 janvier 2018
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RemyEnImages
commentaire modéré @bredele ce que je dis n'est pas forcément vrai mais c'est bel et bien ce que je ressens ;)3 janvier 2018 Voir la discussion...
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bredele
commentaire modéré @RemyEnImages j'aime les cinéastes qui portent à contreverse au gré de leurs films ;)3 janvier 2018 Voir la discussion... -
RemyEnImages
commentaire modéré @bredele oui c'est sur !3 janvier 2018 Voir la discussion...
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bredele
(à propos de Demonlover)
“ Bienvenue au Hellfire Club un monde de jeux de séductions et de pouvoirs. Un monde intangible mais si réel. Celui du cynisme des illusions. ”
— bredele
8 janvier 2017
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bredele
commentaire modéré @Dave_Vador69 je vais reprendre à mon compte la citation de Cukor que tu mets en exergue sur ton profil . Personnellement j’ai trouvé ce film fascinant et tellement en avance sur son époque. Nous sommes d’accord sur Connie Nielsen, c’est déjà énorme
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Dave_Vador69
commentaire modéré @bredele Oui c'est déjà énorme ;) En 2002, elle était vraiment au summum de sa beauté ! Pour en revenir au film, j'aurais dû le regarder à sa sortie, je pense que mon regard aurait peut-être été différent...
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cath44
(à propos de Demonlover)
“ Faux thriller où se questionnent l’exploitation du corps et la violence. De chaque côté de l’écran, Assayas fait basculer réel et virtuel. ”
— cath44
5 janvier 2022
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cath44
commentaire modéré @bredele Perturbant est le mot, d’autant que le thriller classique cède la place à autre chose qui nous dérange (plein de faux semblants, prenant plusieurs directions, jouant avec l’ambiguïté des images (entre fantasmes, réel et imaginaire devenus interchangeables) . En installant tout du long un mouvement de fascination- attraction, autour de la dimension de la violence, de l’exploitation du corps, du pouvoir cynique des milieux d’affaire et des ambitions démesurées. Quand je pense qu’il a 20 ans, c’est très prémonitoire de sa part avec le développement du virtuel des images et de leur exploitation parfois plus que malsaine.
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