Ce qu'en pense la communauté
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Micro-critique star (Vilaboa) :
Vilaboa
(à propos de Des hommes)
“ Déchirements familiaux sinistres et pesants, évocation de la guerre d'Algérie d'un parfait conformisme et un Depardieu mal dans son rôle... ”
— Vilaboa
20 juin 2021
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Vilaboa
(à propos de Des hommes)
“ Déchirements familiaux sinistres et pesants, évocation de la guerre d'Algérie d'un parfait conformisme et un Depardieu mal dans son rôle... ”
— Vilaboa
20 juin 2021
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Anna_K
commentaire modéré @cinephile54 "la France des années 70 était profondément raciste", cela sent tellement l'air du temps d'aujourd'hui que je suis tout de même un peu déçue de te voir t'aligner, mais bon ...23 juin 2021 Voir la discussion... -
cinephile54
commentaire modéré @Anna_K Que veux-tu dire? J'ai des souvenirs, petite fille, de propos racistes...Je n'y peux rien et je n'ose pas les prononcer ici...23 juin 2021 Voir la discussion... -
Vilaboa
commentaire modéré Vient de repasser sur une grande chaîne TV. Rien à rajouter à ma MC et à mes commentaires. Je persiste et signe.19 mars 2024 Voir la discussion...
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cath44
(à propos de Des hommes)
“ L’indicible des flash-backs et les monologues pesants creusent les sillons d’une culpabilité intime et collective. Le trauma du silence. ”
— cath44
7 juin 2021
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bredele
commentaire modéré @cath44 @veroniquevergnau bizarrement pour ce genre de film, sans doute est-il préférable de voir des inconnus -
Nielas
commentaire modéré Nielas : Je suis un ancien d'Algérie, classe 58-1. Je n'étais pas à proprement parler dans une unité combattante comme d'ailleurs de nombreux appelés, je ne suis allé que trois fois en opération. Si nous n'avons rien raconté, c'est que nous n'avions rien à raconter de ce que nous avions vu. Les exactions importantes je les apprenais en lisant l'Express, Témoignage chrétien et la Canard enchainé. Mon plus beau souvenir, j'en rêve encore parfois c'est, bravant tous les interdits, d'avoir été à Tipasa depuis Alger en scooter et en civil. Seuls dans les ruines de Tipasa face au massif du Chenoua et devant une mer d'un bleu transparent ce fut un moment de bonheur intense, magnifique pays. Cependant il ne m'a pas fallu 15 jours là bas pour savoir qu'on y resterait pas et que l'indépendance n'était que justice : des départements français dont tous les habitants n'avaient pas les mêmes droits mais le mêmes devoirs dont celui de venir combattre avec nous pendant les deux guerres mondiales ! Un film vrai sur la guerre d'Algérie reste à écrire ! -
mineck
commentaire modéré je sors du film. bien d'accord un film vrai reste à écrire sur ce sujet. je m'en veux presque d'y être allée. le livre de Mauvignier m'avait bouleversée. ce film est trop littéraire et comment dire tape à côté en ne montrant pas vraiment les scènes , entre frère et soeur par exemple où on n'est que trop briévement dans un vécu affronté et encore commenté par Rabut. je ne trouve pas que ce film donne suffisamment place à la complexité humaine au présent. D'autres Belvaux étaient meilleurs.
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KidB
(à propos de Des hommes)
“ La blessure des mots que l'on ne peut plus retirer, celle de ceux qu'on n'a jamais pu dire. L'Algérie, plaie ouverte emmurée de nos mémoires ”
— KidB
16 juin 2021
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Berzine
commentaire modéré J'aime Laurent Mauvignier . " La foule" m'a boulversé.et j'ai lu " Des hommes " . Ce dernier roman n 'est déjà pas très bon . Il est déjà bourré de poncifs . En particulier sur les rebelles algériens qui eux n'ont pas de noms , n'ont pas de chefs , n'ont pas de revendications . Bien sûr ils ne se battent que la nuit et à l'arme blanche . Comme chacun sait ils ne savent qu'égorger . Ils ne ressentent pas la peur . Ils ne sont pas mus par plusieurs décennies de colonialisme ., ni contre les conséquences du " cruel code de l'Indigénat "Ce roman et donc ce film fait l'impasse sur le vrai début de la guerre d'Algérie: c'est à dire à partir de la cruelle et longue répression de Mai et Juin 1945 , où l'armée , la police, la gendarmerie et surtout les milices coloniales ont tué , éventré , enfumé , porté des colliers d'oreilles au bistro en buvant l'anisette à l'apéro ....Bref ses sodats de la l'indépendance sont encore déshumanisés . Encore du dos à dos ;: rien de nouveau sur l'aune de la bonne subjectivité ou de l'honnêteté en matière cinématographique sur ces périodes historiques ... Et pui que dire de ce personnage grotesque qu'est devenu Depardieu , qui plombe ( sans jeu de mots ) ce film encore plus générateur de "diversion historique "que le roman ..
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