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L'arbre (Drvo)
(2018)
un film de
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L'arbre (Drvo)

L'arbre (Drvo)

(2018)
un film de
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Micro-critique star (JohnnyCowboy) :
JohnnyCowboy
(à propos de Drvo : L'Arbre)
Sa note :
Drvo : L'Arbre “ C'est beau de voir qu'il y a encore des cinéastes pour qui ce qui est important, c'est l'image et le son. ” — JohnnyCowboy 26 mai 2021
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  • JohnnyCowboy
    (à propos de Drvo : L'Arbre)
    Sa note :
    Drvo : L'Arbre “ C'est beau de voir qu'il y a encore des cinéastes pour qui ce qui est important, c'est l'image et le son. ” — JohnnyCowboy 26 mai 2021
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  • fabior.denullepart
    (à propos de Drvo : L'Arbre)
    Sa note :
    Drvo : L'Arbre “ Poème cinématographique sorti d'on ne sait ou pour aller on ne sait où, mais ce qui est sur c'est qu'il se mérite et rassure sur cet art ” — fabior.denullepart 26 mai 2021
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  • nibab_lacsap
    (à propos de L'arbre (Drvo))
    Sa note :
    L'arbre (Drvo) “ Louons l'audace formelle et l'ambition artistique, tout en regrettant qu'une certaine complaisance hiératique en limite la portée sensible. ” — nibab_lacsap 24 juillet 2022
    1 commentaire
    • nibab_lacsap
      commentaire modéré Le film bien que magnifique visuellement cumule bien des archétypes artistiques sans jamais s'en départir complètement : des personnages erratiques, une lenteur particulièrement appuyée du rythme, du montage, des mouvements, des plans, une certaine façon ostentatoire d'éclairer la nuit (où les lumières ne sont jamais justifiées par leur source, ce qui fait qu'on imagine aisément les grands projos hors champ - qu'on se rappelle l'audace du noir complet pdt de longue minute dans "le temps du loup"), l'influence plus qu'écrasante de Belà Tarr dans les pas duquel le réal s'inscrit, jusqu'à la chute narrative aussi datée que les premiers récits de SF (cf "les maître du temps" : le vieux qui se croise jeune).
      Tout ceci confère à l'ensemble une lourdeur d'autosatisfaction qui corrompt notre envie pourtant sincère de l'aimer. Au final, la posture arty prend le pas.
      24 juillet 2022 Voir la discussion...
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