r Très Bien
J’étais à la maison, mais...
(2019)
un film de
Très Bien r
Satisfaction communauté 78%
J’étais à la maison, mais...

J’étais à la maison, mais...

(2019)
un film de
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Micro-critique star (pierbf) :
pierbf
Sa note :
J’étais à la maison, mais... “ Histoires de deuils. ” — pierbf 12 janvier 2022
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  • Kikuchiyo
    (à propos de Ich war zuhause, aber)
    Sa note :
    Ich war zuhause, aber “ AS préfère aux événements leurs traces et filme la ville comme recouvrement d’une nature qui rejaillirait en lâcher-prise dans la grisaille. ” — Kikuchiyo 12 octobre 2020
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  • PharaonDeWinter
    Sa note :
    J’étais à la maison, mais... “ La rigueur domestique imaginée par S se mérite, les tressaillements sensibles qui en émanent, douloureux ou poétiques, sont d'un charme rare ” — PharaonDeWinter 31 octobre 2020
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  • nibab_lacsap
    Sa note :
    J’étais à la maison, mais... “ Le film se complaît dans un hermétisme pompeux et n'arrive pas à se départir d'une solennité affectée qu'il voudrait sensible et référencée. ” — nibab_lacsap 4 juillet 2022
    1 commentaire
    • nibab_lacsap
      commentaire modéré On sent que la réalisatrice voudrait s'affilier à ses idoles cinéastes, d'Ozu à Bresson, en passant par Straub et Akerman, sans oublier Wenders pour le traitement de la "solitude humaine", blabla... mais force est de constater que son cinéma bien trop figé, bien trop théorique, pas assez inspiré, ou spontané, ne se résume qu'à un sens peu tendu du cadre. Nul enjeu, jeu, ni plaisir cinématographique qui passerait par le montage, le son (à noter ce seul moment intéressant où une moto envahit le son direct du plan séquence devant la vitrine réfléchissante, comme le personnage). Cette fixité automatisée ne produit rien d'intéressant, ni d'émouvant (passons sur la scène grotesque de la dispute envers les enfants dans la cuisine), ni d'incarné (la femme affalée aux pieds de son fils, de la tombe de son mari, vraiment ?), lorgne vers des compositions à la Jarmush ou Délépine mais sans l'humour (le comble, car la pédanterie est lourdement présente dans ce film qui ne sourit jamais, même pas de lui-même) pour desservir un propos d'une rare (et c'est doute la clé de l'échec) banalité et convenu à la mode, du type : les parents sont faibles et avachis, les enfants sont forts comme des rois, ils sauveront le monde qu'on a détruit, sauront dépasser notre besoin de consolation... la nature nous regardera, etc.
      Pour ma part, le mauvais goût et la laideur a pris définitivement le pas sur l'espoir que je mettais dans le film dans la scène en plein milieu où surgit une reprise post-moderne de "Let's dance" de Bowie, en mode guitare acoustique et voix ridiculement lambine. C'est nul, c'est moche, c'est con. Mais ça se croit tout l'inverse.
      Trop de forfanterie pour un seul film. Au point qu'on peut difficilement voir dans l'engouement qu'il suscite ici et là autre chose qu'une distinction purement exclusive d'un cinéma qu'on voudrait réservé aux seuls initiés, comme une chasse gardée qui satisfait d'abord l'entre-soi. A gerber.
      4 juillet 2022 Voir la discussion...

Casting de J’étais à la maison, mais...

Infos sur J’étais à la maison, mais...

Réalisé par Angela Schanelec

Allemagne, Serbie - 1h45 - Drame
Titre original : Ich war zuhause, aber...
Sortie le 5 janvier 2022

Synopsis

Après avoir disparu pendant une semaine, Phillip, le fis de 13 ans d'Astrid, rentre à la maison sans dire un mot. Sa mère et ses enseignants soupçonnent tous que sa disparition pourrait être liée à la perte de son père. Ce n'est que progressivement que la vie quotidienne se remet sur les rails. Astrid se trouve maintenant confrontée à des questions qui donnent une toute nouvelle perspective à son existence et à sa carrière dans le secteur culturel berlinois. Ses idées sur l'art commencent également à changer. À la maison, il est de plus en plus difficile pour cette mère célibataire d’accepter que son fils mène sa propre vie. Puis, Phillip est admis à l'hôpital avec une intoxication. Astrid est anéantie par l'inquiétude, la culpabilité et son sentiment d'échec. Mais Phillip et sa petite sœur ne se détournent pas d'elle. La famille n'est peut-être pas en train de se désintégrer mais seulement de se reformer.

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