r Très Bien
La Chambre verte
(1978)
un film de
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Satisfaction communauté 64%
La Chambre verte

La Chambre verte

(1978)
un film de
Ce qu'en pense la communauté
  • 64%
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Micro-critique star (sudroxaz) :
sudroxaz
(à propos de La Chambre verte)
Sa note :
La Chambre verte “ À même le Moi à nu, dans la chambre d'enfance calcinée se greffera une peau réparatrice. Mort, vivre encore dans la lumière du projecteur... ” — sudroxaz 11 juin 2018
4 commentaires
  • Bosco
    (à propos de La Chambre verte)
    Sa note :
    La Chambre verte “ Salle de cinéma en chapelle de sa propre religion: la chambre verte, camera obscura où sur l’écran-linceul Truffaut projette ses obsessions. ” — Bosco 25 août 2019
    10 commentaires
    • Bosco
      commentaire modéré @Alan_Smithee Oui, à a différence de Nathalie Baye, Fanny Ardant, tempérament de feu, peut faire éclater ce qu'il peut y avoir de trop serré chez Truffaut. J'aime aussi ce Truffaut qui reprend alors la taille qui le range parmi les grands. Paradoxe de l'artiste moderne qui doit trouver en lui la matière de son oeuvre et doit en même temps sinon s'oublier du moins se dépasser. Sinon il peut être parfois le bon cinéaste à la poursuite non du temps passé mais de son double et d'autres ombres.
      25 août 2019 Voir la discussion...
    • Alan_Smithee
      commentaire modéré @Bosco Tout à fait. En cela, son mode opératoire est à rapprocher du concept de saga, et pas seulement celle consacrée à Antoine Doinel, mais bien de rendre compte de ses doubles à des moments donnés. À l'image d'une vie en images, il y a de cette fresque chronologique, la pulsation d'un temps éprouvé. Vivement dimanche !
      25 août 2019 Voir la discussion...
    • Bosco
      commentaire modéré @Alan_Smithee Jour de repos et de célébration;..
      26 août 2019 Voir la discussion...
  • ianov
    (à propos de La Chambre verte)
    Sa note :
    La Chambre verte “ Livrant ici sa musique intérieure, T. conçoit le cinéma comme vecteur de mémoire, édifiant sa chapelle comme une ardente adresse au monde. ” — ianov 14 mai 2015
    3 commentaires
    • ianov
      commentaire modéré Avec une photographie superbe de Nestor Almendros...et une troublante Nathalie Baye
      14 mai 2015 Voir la discussion...
    • jenanaipa
      commentaire modéré @ianov Tu mas interpelé, je le mets en wishlist.
      14 mai 2015 Voir la discussion...
    • ianov
      commentaire modéré J'en suis bien aise, ça vaut le détour. Je reste encore un peu secoué, l'ayant vu hier soir... Certes il y a beaucoup à redire, mais Truffaut a fait là un film étonnant! Tu me diras..
      14 mai 2015 Voir la discussion...
  • sudroxaz
    (à propos de La Chambre verte)
    Sa note :
    La Chambre verte “ À même le Moi à nu, dans la chambre d'enfance calcinée se greffera une peau réparatrice. Mort, vivre encore dans la lumière du projecteur... ” — sudroxaz 11 juin 2018
    4 commentaires
    • sudroxaz
      commentaire modéré Truffaut, vivant parmi les morts, mort parmi les vivants livre son film de chambre. Écartelé par l'enfance, grand brûlé, enfant sans peau s'en cherchant inépuisablement une de rechange. Son enfance a été consumée, sa chambre intime aussi. L'incursion se fait impudique dans le cabinet de curiosités Truffaldien, dans sa chapelle intérieure, dans l'âme profonde de Truffaut. C'était un homme qui n'était pas fou, mais qui avait des idées fixes. La Chambre verte est comme la quasi-totalité des films de Truffaut un condensé des thèmes de l'ensemble de ces films : la Mort évidemment, mais également l'Enfance, la Femme (cette lumière de cierge incarnant l'être absent et adoré), le Feu et l'embrasement de la chair par la passion et enfin les lettres (la lettre qu'il écrit au final). Dans ce film intime se retrouve également une certaine allusion à Vertigo où la femme aimée et perdue est perçue morte vêtue de vert.
      11 juin 2018 Voir la discussion...
    • sudroxaz
      commentaire modéré @bredele Voici un début d'explication... ;) "Croyez-moi, nos morts peuvent continuer à vivre", prédit Davenne, mais où sinon dans la lampe du projecteur ? La matière même des films : pellicula, "petite peau"; pellis, "peau".
      11 juin 2018 Voir la discussion...
    • bredele
      commentaire modéré @sudroxaz il dit surtout, grosso modo, nos morts nous appartiennent, si nous acceptons de leur appartenir.
      11 juin 2018 Voir la discussion...
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