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Osterman week-end
(1984)
un film de
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Osterman week-end

Osterman week-end

(1984)
un film de
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Micro-critique star (goodfeles) :
goodfeles
(à propos de Osterman week-end)
Sa note :
Osterman week-end “ Peckinpah signe un testament aussi paranoïaque que foutraque. On savoure toujours l'esprit contrarié d'un Oncle Sam qui mu(t)e violemment. ” — goodfeles 22 novembre 2021
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  • goodfeles
    (à propos de Osterman week-end)
    Sa note :
    Osterman week-end “ Peckinpah signe un testament aussi paranoïaque que foutraque. On savoure toujours l'esprit contrarié d'un Oncle Sam qui mu(t)e violemment. ” — goodfeles 22 novembre 2021
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  • bredele
    (à propos de Osterman week-end)
    Sa note :
    Osterman week-end “ La vidéo, instrument du mensonge et de la manipulation, nous sommes et serons tous ses victimes. Violent et laid. ” — bredele 14 janvier 2018
    2 commentaires
    • cancou
      commentaire modéré Après avoir vu Osterman week-end, j'ai eu envie de voir Major Dundee, toujours de Peckinpah. Quelle évolution durant ces 20 années. Quand on voit ces deux films à la suite, c'est flagrant. Dans Major Dundee, Peckinpah croyait dur comme fer au bel esprit américain, jeune, dépoussiéré. La vieille Europe avait fait son temps. Place à la fougue de la jeune Amérique. L'héroisme, la camaraderie, le rêve américain... Mais dans "Osterman Week end", quelle terrible et amer déception, l'amitié, la famille, tous cela est balayé par tous les mensonges et manipulations, télévision, CIA et magnat financier. On le comprend bien car ces deux décennies auront vu, assassinats politiques en masses, coups d'état fomentés, mis en place de dictatures, guerre abjectes, et des médias qui perdent vite leur rôle de contre pouvoir, pour la société du spectacle. De quoi freiner les ardeurs naïves de cette belle Amérique de liberté. c'est tout cela qu'exprime le très lucide et désillusionné, "Osterman week-end".
      22 janvier 2018 Voir la discussion...
    • bredele
      commentaire modéré @cancou pour ce dernier film, qui est également son dernier,je parlerais plutôt de chute...avant de le tourner, il a eu de nombreux projets avortés, ceci expliquant peut-être cette désillusion dont tu parles. Il pose effectivement un regard désabusé sur l'inhumanité du monde contemporain.
      Pour info Major Dundee est un film mutilé par les producteurs.
      Je ne suis pas certaine qu'il croyait au bel esprit américain( il est petit fils de chef indien), il croit aux héros et à leur violence, seule réaction possible quand on appartient à un monde qui s'étiole.
      22 janvier 2018 Voir la discussion...
  • cancou
    (à propos de Osterman week-end)
    Sa note :
    Osterman week-end “ Film testament du grand Sam, un "eyes whide open", uppercut puissant, lucide et visionnaire. Vous pouvez maintenant jeter votre télévision. ” — cancou 11 janvier 2018
    5 commentaires
    • orloff
      commentaire modéré @cancou oui, je te rejoins sur ton ressenti, d'ailleurs très bien retranscrit. Je vois ce film comme un chant du cygne avec un majeur non palmé aux majors comme Carpenter l'a fait avec le très bon "invasion Los Angeles". Il ne maîtrisait pas le choix du staff ni du montage mais s'est arrangé pour qu'ils ne puissent pas trop cutter ou modifier des plans, fort le mec surtout qu'à cette période il était fatigué par l'alcool, la coke & les décès.. mais sa lucidité artistique brilla de manière incan(in)descente pour son meilleur film, à mes yeux. Washing ton cerveau ;-)
      14 janvier 2018 Voir la discussion...
    • cancou
      commentaire modéré Dix ans avant le film,
      25 juin 2018 Voir la discussion...
    • cancou
      commentaire modéré PECKINPAH: I doubt whether he’s tough enough to cut it. If he turns out to be, they’d better throw a metal shield around the poor bastard and keep it there. The rifle shot that rang out in Dallas in 1963 was a very big and ugly noise. You know, I wouldn’t film any part of The Getaway in Dallas. We were set to go in there and shoot some railroad sequences. I was driving around and I stopped for a stop sign and I looked up and there was this plaque on a building and I realized I was at that crossing. I said, “Let’s get the hell out of here. We aren’t going to shoot any part of my picture in this town.” You want to go shopping at Neiman Marcus? Fine. Great store, the greatest in the world. But staying in Dallas to put some part of yourself on the line there? No. Anyway, to get back to politics, I guess I agree with something my brother said sometime back. The time will come, he said when you’ll look back on Harry Truman as possibly the best President this country ever had. Even Eisenhower was better than these guys. At least he knew who he was.He wasn’t dead and the society wasn’t dead.

      PLAYBOY: What about those who are fighting to change things? America seems to be full of good causes these days and good people actively committed to them. Don’t you think there are some grounds for optimism, for hope?

      PECKINPAH: No. Boredom will kill them off. The country has no attention span. We’re television oriented now. We’d better all wake up to the fact that Big Brother is here. And now, with cable TV and videocassettes coming in, no one will ever have to get up off his ass, even to go to the corner for a movie. It’s awful. One of the great things about going to a movie or the theater is the act itself — the getting out, the buying of the tickets, the sharing of the experience with a lot of other people. Eighty percent of the people who watch television watch it in groups of three or less, and one of those three is half stoned. Most people come home at night after work, have a couple of knocks before dinner and settle down in their living-death rooms. The way our society is evolving, doctor, has been very carefully thought out. It’s not accidental.We’re all being programed, and I bitterly resent it.
      25 juin 2018 Voir la discussion...

Casting de Osterman week-end

Infos sur Osterman week-end

Réalisé par Sam Peckinpah

États-Unis - 1h42 - Thriller, Drame
Titre original : The Osterman week-end
Sortie le 18 avril 1984

Synopsis

John Tanner est un journaliste à succès qui anime un talk show au cours duquel il met sur la sellette des personnalités politiques éminentes. L'émission de Tanner est produite par son ami Bernard Osterman. Avec d'autres amis de Berkeley, ils se retrouvent régulièrement pour des week-ends de détente surnommés "week-end Osterman". Le prochain doit se dérouler chez Tanner et peu avant ce dernier est contacté par Maxwell Danforth, un politicien conservateur qui prône une lutte sans merci contre le communisme. il révèle à Tanner que ses amis sont des agents soviétiques qui préparent une opération de déstabilisation des Etats-Unis. Les preuves ont été réunies par un agent de la CIA nommé Lawrence Fassett. Quelques années auparavant, la femme de Fassett, une espionne de l'Est, a été assassiné par des agents du KGB russe. Danforth avait autorisé à l'époque les Russes à l'assassiner...

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