Ce qu'en pense la communauté
- 27%
- 91 notes
- 28 veulent le voir
Micro-critique star (HyacintheFont) :
HyacintheFont
(à propos de Pinocchio)
“ A la lisière du ridicule, la direction artistique pousse l'étrangeté du conte de Pinocchio à son paroxysme. Une relecture sombre et baroque. ”
— HyacintheFont
5 mai 2020
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quentinhos
(à propos de Pinocchio)
“ Parfois un dessin animé devrait rester.........un dessin animé.... ”
— quentinhos
18 novembre 2020
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Yohanes
(à propos de Pinocchio)
“ Non pas qu'il s'articule à vide, ce Pinocchio reste cependant bien trop droit dans ses bottes. Fonctionnel, oui, mais sans grain de folie. ”
— Yohanes
14 avril 2020
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SpectateurLambda
commentaire modéré J’attendais vraiment de voir ce film et je regrettais vraiment de ne pas pouvoir le voir au cinéma en raison de la période particulière que nous vivons.
D’une part, parce que l’univers de Pinocchio m’a depuis l’enfance passionné et que j’étais curieux de voir le traitement qui allait en être fait, d’autre parce que du réalisateur Matteo GARRONE j’apprécie énormément son travail sur la photographie et sur la gestion des caméras pour rendre un ressenti très brut, poisseux et cru des univers qu’il décrit. L’idée de ce point de vu transposé à l’univers du conte m’intéressait au plus haut point.
Je suis sorti de ce film complètement séduit, et pour être honnête, j’ai été absorbé et conquis par la proposition des les premières minutes du film et n’ai pas détaché ou senti la moindre lassitude ou réserve tout du long. J’ai adoré le traitement de l’histoire, plus proche du conte original que de la version de Disney, ses dialogues constants entre un réel peu reluisant mais empli de sentiments positifs et la féerie d’un monde plus attirant mais en définitive malsain, sa direction artistique m’a enchanté tant dans les décors, les costumes, les paysages que dans le traitement des personnages. Le mélange live et prises en motion capture tient la limite entre onirisme étudié et boulimie de trop en faire nous permettant de plonger dans l’univers sans jamais s’y sentir forcé.
Vraiment ravi d’avoir pu découvrir ce film, qui restera hélas peu connu à cause d’une naissance perturbée par des éléments externes.
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rkoster
(à propos de Pinocchio)
“ Effrayant pour les enfants, platement illustratif pour les adultes, laid pour tout le monde. ”
— rkoster
12 avril 2020
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rkoster
commentaire modéré @SpectateurLambda Ho la la, mais n'importe quoi! Je n'ai jamais écrit ça! Décidément, ce mot "vaccin" déchaîne les passions, tu déroulés immédiatement un discours qui n'est pas du tout le mien. J'aurais pu prendre n'importe quel autre exemple d'ailleurs, j'ai peut être été maladroit. Mon propos porte sur la réception du film, pas sur sa production. Je parle du contexte de diffusion qui n'est pas neutre, et du fait qu'au cours de ces 3 années 2020-2021-2022, Pinocchio est apparu sur le devant de la scène avec pas moins de 3 adaptations sur les plateformes. Bien sûr, ce n'est pas volontaire, mais le fait est là : on a bouffé du Pinocchio pendant le confinement. Et de quoi parle Pinocchio? De l'obéissance. Et qu'avons-nous vécu pendant ce temps? Des injonctions permanentes à l'obéissance. Aucun complotisme là dedans, je ne verse pas du tout sur ce sujet : je dis juste qu'il est intéressant de voir le cinéma comme un reflet de nos imaginaires, dans la perspectives de ce que nos sociétés traversent.
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rkoster
commentaire modéré C'est terrible ça, on s'est tellement habitué à lire des pensées délirantes, qu'on ne peut même plus proposer un rapprochement, une mise en perspective, sans être suspecté d'ésotérisme. Tout ce qui ne se lit pas rapidement comme une opinion tranchée fait peur, à ce qu'il semble. Je ne suis pourtant pas en train de remonter à la création des pyramides! Le succès d'un film, ses conditions de production, son contexte de diffusion disent quelque chose des sociétés qui les reçoivent. C'est tout. C'est un principe de base des théories de la réception cinématographique. Si ça fait de moi un Pr Raoult, franchement...
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Massimo Ceccherini
Massimiliano Gallo
Gianfranco Gallo
Matilda De Angelis
Marcello Fonte
Alida Baldari Calabria
Federico Ielapi
Teco Celio
Davide Marotta
Paolo Graziosi
Maria Pia Timo
Nino Scardina
Maurizio Lombardi
Alessio Di Domenicantonio
Enzo Vetrano
Marine Vacth
Ciro Petrone
Domenico Centamore
D’une part, parce que l’univers de Pinocchio m’a depuis l’enfance passionné et que j’étais curieux de voir le traitement qui allait en être fait, d’autre parce que du réalisateur Matteo GARRONE j’apprécie énormément son travail sur la photographie et sur la gestion des caméras pour rendre un ressenti très brut, poisseux et cru des univers qu’il décrit. L’idée de ce point de vu transposé à l’univers du conte m’intéressait au plus haut point.
Je suis sorti de ce film complètement séduit, et pour être honnête, j’ai été absorbé et conquis par la proposition des les premières minutes du film et n’ai pas détaché ou senti la moindre lassitude ou réserve tout du long. J’ai adoré le traitement de l’histoire, plus proche du conte original que de la version de Disney, ses dialogues constants entre un réel peu reluisant mais empli de sentiments positifs et la féerie d’un monde plus attirant mais en définitive malsain, sa direction artistique m’a enchanté tant dans les décors, les costumes, les paysages que dans le traitement des personnages. Le mélange live et prises en motion capture tient la limite entre onirisme étudié et boulimie de trop en faire nous permettant de plonger dans l’univers sans jamais s’y sentir forcé.
Vraiment ravi d’avoir pu découvrir ce film, qui restera hélas peu connu à cause d’une naissance perturbée par des éléments externes.