q Bien
Sans un bruit
(2018)
un film de
Bien q
Satisfaction communauté 60%
Sans un bruit Bande-annonce

Sans un bruit

(2018)
un film de
Ce qu'en pense la communauté
  • 60%
  • 698 notes
  • 69 veulent le voir

Micro-critique star (Joe_Shelby) :
Joe_Shelby
(à propos de Sans un bruit)
Sa note :
Sans un bruit “ Redéfinition de l'effroi par le silence dans un audacieux film post-apocalyptique inspiré de Signes et Alien (tension par le hors-champs). ” — Joe_Shelby 1 juin 2018
9 commentaires
  • Joe_Shelby
    (à propos de Sans un bruit)
    Sa note :
    Sans un bruit “ Redéfinition de l'effroi par le silence dans un audacieux film post-apocalyptique inspiré de Signes et Alien (tension par le hors-champs). ” — Joe_Shelby 1 juin 2018
    9 commentaires
    • Ariane92
      commentaire modéré @Joe_Shelby exactement, je crois que j'avais pas ressenti une telle tension depuis Don't breath, la maison des ténèbres, qui joue aussi sur les silences et sons d'ailleurs :)
      24 juin 2018 Voir la discussion...
    • Bishop
      commentaire modéré Don't Breath lui est supérieur, car bien plus radical et crédible. Rien dans le scénario est tangible et casse l'immersion, et donc l'implication du spectateur. La mise en scène est le seul bon élément, car très sèche et pertinente. C'est dans ce qu'il ne veut pas être que le film est le plus convaincant, fort de son concept.
      24 juin 2018 Voir la discussion...
    • Joe_Shelby
      commentaire modéré @Bishop Ah pourquoi pas, chacun son ressenti là dessus. Je subodore que ce qui t'as empêché l'immersion dans A Quiet Place davantage que dans Don't Breath vient du climat "familial" volontairement dépeint par Krasinski ? Car, personnellement et donc subjectivement, j'ai trouvé que ce film se démarquait bien d'avantage de par non seulement son concept déjà un peu vu dans Don't Breath, mais surtout magnifié par cette volonté de vouloir "survivre pour vivre" tout simplement en nous dépeignant le deuil, l'incapacité à surmonter la mort de son enfant, le dépassement de soi auquel sont confrontés les 2 parents pour tenter, malgré toute ce danger qui rode et guette, d'inculquer une éducation à ses enfants, les voir grandir et pouvoir vivre même si c'est dans des conditions extrêmes et difficiles Qui plus est peu de jumpscares, mais un vrai rapport sur l'entité familiale face à la menace et la place prédominante des laissé pour compte qui deviennent importants. Chaque personnage (excepté l'ermite dans les bois) a son importance et le découvrira dans cette épreuve de survie, pour maintenir l'espoir via la vie à naître et renaître. Les sous lectures du film sont bien plus nombreuses et au delà de son concept, je le trouve pour ma part bien supérieur à Don't Breath car la mise en scène soignée, l'absence d'explications de cette situation post-apo, le confinement à cette ferme et ses environs seulement, entretiennent d'avantage le mystère et favorise une réelle empathie pour cette famille (sans compter le sound design exceptionnel couplé à une ambiance de fond stressante). Un grand film qui sera sûrement réévaluer avec le temps pour moi, car il dépasse le carcan du film d'effroi simple et pure, pour apporter de l'audace sur de nouvelles choses, même si je peux concevoir que le rythme comme la longueur des silences puisse lasser. Chacun le perçoit à sa manière et pour ma part c'est une bouffée d'air frais sur du cinéma d'ambiance aseptisée ces derniers années entre les possessions à jumpscare stupides et les torture porn complaisant (bien que j'ai adoré le dernier Von Trier je l'admets) ou les rape and revenge formatés.
      26 juin 2018 Voir la discussion...
  • cath44
    (à propos de Sans un bruit)
    Sa note :
    Sans un bruit “ Dans la tension des images et la sensorialité du silence, Krasinski ouvre un espace de terreur où vibre le tumulte monstrueux de la mort. ” — cath44 25 juin 2018
    1 commentaire
    • cath44
      commentaire modéré Quelle bonne idée que d’aborder la « menace » sous cet angle de mise en scène où seul le silence permet la survie des hommes… La tension est là dès le début, même si on ignore d’où viennent ces « monstres » qu’ils soient extraterrestres ou mutants ou issus d’un dérèglement des lois de la nature. Thématique assez classique où on retrouve le thème de la volonté de puissance et de destruction comme dans Signes ou La guerre des mondes, une menace à laquelle un héros doit se confronter avec sa famille. C’est l’occasion de développer la thématique de la transmission familiale . Quand se dévoilent les « monstres » c’est presque dommage. L’aspect spectaculaire du monstre caché, impalpable frappait davantage notre imagination faisant gagner en intensité le danger de la menace. « La monstruosité se reconnaît au pouvoir qui est le sien de brouiller les frontières, de confondre le monde de la normalité et de l’anormalité et de chercher à imposer un nouvel ordre» C’est peut être dans cette seconde partie que s’épuise un peu l’aspect fantastique pour le film horrifique.
      27 juin 2018 Voir la discussion...
  • CinemAtrium
    (à propos de Sans un bruit)
    Sa note :
    Sans un bruit “ Si la parole dort, le silence est une perle qu'il faut garder fermer comme une huître. Dans l'impasse, tout le monde vous entendra crier. ” — CinemAtrium 14 mai 2018
    9 commentaires
Télérama © 2007-2024 - Tous droits réservés - web1 
Conditions Générales de Vente et d'Utilisation - Confidentialité - Paramétrer les cookies - FAQ (Foire Aux Questions) - Mentions légales -