Sexycon

(1976)

un film de Sergio Martino

Ce qu'en pense la communauté

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1 note

Micro-critique star (Cocodeal) :

(à propos de Sexycon)

Sa note :

“ Des sketches plaisants dominés par 5 sublimes actrices en porte-jarretelles qui rivalisent de sex-appeal malicieux. Inégal mais sexy. ” — Cocodeal il y a 6 jours

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Cocodeal
(à propos de Sexycon)

Sa note :

“ Des sketches plaisants dominés par 5 sublimes actrices en porte-jarretelles qui rivalisent de sex-appeal malicieux. Inégal mais sexy. ” — Cocodeal il y a 6 jours
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- Cocodeal
  
  commentaire modéré Face à Edwige Fenech, Giovanna Ralli, Barbara Bouchet, Dayle Haddon et l'adorable Sydne Rome, les hommes jouent les seconds rôles. Parmi eux, Tomás Milián, totalement méconnaissable, est étonnant dans un rôle d'homme laid et coincé qui rappelle le professeur Kelp de Jerry Lewis. C'est la première fois que je vois Aldo Maccione (bourré de tics nerveux) dans un rôle en italien. Les situations sont parfois vulgaires ou scabreuses, mais les 5 actrices ne le sont jamais. Le sketch avec Edwige Fenech et Tomás Milián est mon préféré, mais il a été censuré. J'aime aussi beaucoup celui avec la somptueuse Giovanna Ralli; la chute est super drôle.
  il y a 6 jours Voir la discussion...
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Casting de Sexycon

Aldo Maccione

Sydne Rome

Mimmo Crao

Infos sur Sexycon

Réalisé par Sergio Martino

Italie - 1h40 - Comédie
Titre original : 40 gradi all'ombra del lenzuolo
Sortie le 18 mai 1977

Synopsis

Cinq sketchs comiques courts, tout sans rapport l'un à l'autre, sauf qu'ils ont tous les expressions d'humour sexuel italien. Dans un sketch, Marty Feldman joue un garde du corps, embauché par son père pour observer une jeune femme; il l'observe un peu de trop près. Dans un autre, tandis que le mari de Barbara Bouchet est à l'extérieur de la ville pour affaires, un étranger offre ses vingt millions de lires en échange du sexe. Trois fois qu'il offre, trois fois elle protestent et consentent ensuite, seulement découvrir à la fin que tant l'homme que ses soixante millions de lires sont - oh, mais cela gâterait la fin