Sorties ciné de la semaine du 4 mai 1972
Chaque semaine au cinéma c'est la même chanson. Des dizaines de films sortent en salle chaque mercredi et il faut faire son choix. Retrouvez ici toutes les sorties cinéma de la semaine et naviguez d'une semaine à l'autre dans les sorties ciné de 1972. Avec les micro-critiques et la note moyenne, vous avez ici le guide idéal pour organiser vos sorties ciné.
-
(1972)de Claude Lelouch avec Lino Ventura, Jacques Brel, Charles DennerComédie | 1h56JaphyRider(à propos de L'Aventure, c'est l'aventure)“ La politique et l'anarchie, remplaçant le crime, règnent à tous les niveaux pour une farce loufoque et jouissive. "Vive la Suisse libre". ” — JaphyRider 4 avril 2015
-
(1971)de Woody Allen avec Woody Allen, Louise Lasser, Carlos MontalbanComédie | 1h22JZed(à propos de Bananas)“ Satire gaguesque de la politique étrangère américaine de l'époque sous fond de références judéo-allennienes. Absolument timbré ! ” — JZed 8 juillet 2013
-
(1972)Drame | 1h40K_Sania(à propos de Liza)“ Blonde au soleil cru, loin des esclaves civilisés; l'île isolée de l'amour premier. Un monde en laisse dont personne ne peut s'échapper. ” — K_Sania 27 juin 2019
-
de Jean Yanne avec Michel Serrault, Jean Yanne, Bernard BlierComédie | 1h46K_Sania(à propos de Tout le monde il est beau, tout le monde il est gentil)“ Raillerie assaisonnée où, en indépassable redresseur de torts, Yanne se paye le petit monde de la radio et le commerce des bons sentiments. ” — K_Sania 27 juillet 2023
-
(1972)de Kinji Fukasaku avec Bunta Sugawara, Noboru Andō, Mayumi NagisaThriller, Film d'action | 1h32kamwatka(à propos de Okita le pourfendeur)“ On a connu KF plus inspiré, la caractérisation et le contexte sont sommaires et les scènes d'action souvent illisibles. Le final est réussi. ” — kamwatka 2 janvier 2018
-
(1971)Western | 1h45Jed_Trigado(à propos de Blindman)“ Le mythe de Zatoichi s’incrustant dans le western, impossible n'est pas italien voyons ! Le cinéma bis dans ce qu'il a de plus fou a offrir. ” — Jed_Trigado 11 mai 2016
-
1h55Synopsis : Bernadette, femme d'avocat, quitte la vie urbaine pour aller vivre à la campagne avec son fils de 5 ans. Elle y rencontre Thomas, un paysan qui conteste les monopoles dans l’agro-alimentaire. Dans sa représentation naïve, le retour à la terre, fort populaire chez les intellectuels des années 1970, fournit la principale cible à l’ironie de Gilles Carle. Quand elle met les pieds sur la vraie terre, elle découvre que les feuilles multicolores recouvrent souvent une bonne couche de boue, que des effluves de merde traversent souvent l'air pur de la campagne, que la tranquillité n'existe nulle part, que la simplicité des gens n'apparaît qu'occasionnellement et toujours comme une victoire sur la complexité de la vie. À son tour et un peu malgré elle, Bernadette reprend ce regard.
-
(1972)de Silvio Amadio avec Hiram Keller, Rosalba Neri, Jenny Tamburi1h25K_Sania(à propos de Il sorriso della iena)“ Des amants maléfiques au contact desquels Amadio se dévergonde sans se faire prier jusqu'à un dénouement tout en rebondissements. ” — K_Sania 2 juillet 2022
-
(1972)de Leon Klimovsky avec Jack Taylor, Paul Naschy, Barta Barri1h36Synopsis : This is the fifth film to feature Spanish actor Paul Naschy as Waldemar the Wolfman. Here he comes to swinging seventies' London, seeking a cure to his malady. Unfortunately he meets Dr. Jekyll who injects him with a serum that turns him into the lascivious killer Mr. Hyde. In his top hat and black cloak, Hyde haunts the flesh pots of Soho, while two gorgeous women fight for possession of his wolfman soul... Top grade Euro-horror and definitely the craziest werewolf film ever.
-
(1972)1h17Synopsis : « Roger Andrieux a écrit d'après un simple fait divers, l'histoire d'une famille noire qui fuit la ségrégation de la Louisiane pour monter une petite boulangerie à la limite du quartier noir de Los Angeles. Ce film limpide frappe l'esprit avec force et clarté. On reste stupéfait devant le merveilleux talent des comédiens et la maîtrise totale de R. Andrieux en tant que cinéaste. C'est le film que la gauche américaine n'avait pas encore su faire. » (Bernard Tremege, Le Quotidien de Paris, 21 juin 1974).