Torso

(1973)

un film de Sergio Martino

Ce qu'en pense la communauté

79%
32 notes
30 veulent le voir

Micro-critique star (moviesgeek) :

(à propos de Torso)

Sa note :

“ Le haut du panier du Giallo, Martino prend son temps, fait monter la tension en permanence et illustre parfaitement "l'ambiance" de l'époque ” — moviesgeek 1 mars 2015

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cath44
(à propos de Torso)

Sa note :

“ À la base du slasher, trauma infantile et poupées de chair et de sang. Ambiance paranoïaque mêlée de voyeurisme, de sadisme et d’érotisme. ” — cath44 5 juillet 2024
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- cath44
  
  commentaire modéré Crimes sadiques, faux coupables et victimes sacrificielles ...Dès le début, le film distille une ambiance assez paranoïaque, où les suspects potentiels sont multiples. Le film comporte deux parties assez distinctes mais qui s'harmonisent très bien. On campe les personnages ainsi que les suspects avec leurs possibles motivations, suivent les 1er meurtres (Martino distille des indices concernant le modus operandi...) puis la seconde partie, qui devient un huis clos anxiogène ( qui m'a fait penser à Seule dans la nuit avec Audrey Hepburn) Des scènes remarquables ( ex. une poursuite dans une forêt brumeuse avec des marécages...) Des scènes de meurtres inventives... Le bémol reste effectivement la propension à filmer les filles nues et de scènes érotiques qui n'apportent rien à l'histoire.
  6 juillet 2024 Voir la discussion...
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moviesgeek
(à propos de Torso)

Sa note :

“ Le haut du panier du Giallo, Martino prend son temps, fait monter la tension en permanence et illustre parfaitement "l'ambiance" de l'époque ” — moviesgeek 1 mars 2015
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- musashi1970
  
  commentaire modéré Vu par hasard, une véritable claque. Moi qui jurais Giallo que par Argento, clairement l'un des meilleur du genre.....
  16 mars 2015 Voir la discussion...
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Cocodeal
(à propos de Torso)

Sa note :

“ Chez Martino, les hommes regardent les filles. Tout le temps. Ils les tuent même, parfois. Mais les filles ne baissent jamais les yeux. ” — Cocodeal 14 juillet 2024
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- Cocodeal
  
  commentaire modéré Je pense surtout à l'extraordinaire regard de Tina Aumont, plein de défi et d'insouciance. Martino filme la beauté des filles (et les dénude un peu trop), mais il sait aussi filmer la beauté architecturale de l'Italie et trouver des décors marquants pour ses meurtres (de nuit sous un viaduc ou dans un bois brumeux et marécageux, dans une villa perchée au bord d'une falaise).
  14 juillet 2024 Voir la discussion...
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