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Micro-critique star (Zepequeno) :
Zepequeno
(à propos de Vingt-quatre heures de la vie d'un clown)
“ Bien avant les histoires de malfrats, Melville conte à merveille le quotidien d'un clown de Pigalle, arène à ciel ouvert. Béby le farceur. ”
— Zepequeno
16 avril 2020
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Zepequeno
(à propos de Vingt-quatre heures de la vie d'un clown)
“ Bien avant les histoires de malfrats, Melville conte à merveille le quotidien d'un clown de Pigalle, arène à ciel ouvert. Béby le farceur. ”
— Zepequeno
16 avril 2020
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Zepequeno
commentaire modéré @Store je savais que ça allait te taper dans l’œil !16 avril 2020 Voir la discussion...
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Store
commentaire modéré Carrément! Je l'avais brièvement cherché à un moment, c'est le seul qu'il me manquait dans sa filmo.16 avril 2020 Voir la discussion... -
Zepequeno
commentaire modéré Complétiste melvillien ;)17 avril 2020 Voir la discussion...
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ianov
(à propos de Vingt-quatre heures de la vie d'un clown)
“ Les mystères du cirque cernés par le réel, le clown au crible du quotidien, quelle belle idée !! Clopin clopant, Melville, pour commencer. ”
— ianov
16 avril 2020
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ianov
commentaire modéré Merci à @Zepequeno, il m'avait échappé celui là. Jolie découverte sur Melville. Etonnant.., et en même temps pas tant que ça...
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Zepequeno
commentaire modéré @ianov tout le plaisir est pour moi. Je partage ton constat. Avant de se lancer dedans on se dit "Melville ? Un docu sur la vie d'un clown ?" et à la fin ça fait plutôt sens. Il y a quelques motifs (le chapeau feutre dans un jeu d'ombres), le quartier de Pigalle et sa faune, que l'on retrouvera plus tard dans ses films.
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ianov
commentaire modéré @Zepequeno Oui tout est déjà là en fait, et principalement ces attaches au réel, cet ancrage dans les quartiers interlopes, si prégnant chez Melville, et que nous retrouverons de façon plus nette et plus aboutie dans Bob le flambeur notamment.
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orloff
(à propos de Vingt-quatre heures de la vie d'un clown)
“ Clown claudiquant s'inspire de la rue flamboyante & restitue le soir son 2ème souffle sous l'oeil d'une silhouette au doulos en clair obscur ”
— orloff
16 avril 2020
