“ Désastre d’une enfance volée où se heurtent innocence et monstruosité. Ivan, étoile perdue dans le puits sans fond des guerres assassines. ”— cath4410 juin 2018
“ Entre illusion, doute et foi, Tarkovski explore la cartographie onirique d’un dernier espoir. La quête intérieure des arpenteurs de la Zone. ”— cath4422 février 2021
“ Face au chaos du monde meurtri s’éprouve la foi de l’artiste. Au cœur de l’argile renaissent l’élan créateur et les vibrations de l’espoir. ”— cath4420 février 2021
Synopsis : La planète Solaris, recouverte d'un océan, a longtemps intrigué les chercheurs qui y ont installé une station. Faute de résultats concluants, le docteur Kris Kelvin, un homme bouleversé par le suicide de sa femme, y est envoyé afin de définir s'il faut fermer la station ou non. Sur place, il découvre l'équipe du laboratoire spatial pris par une folie à laquelle il risque de succomber lui-même.
Synopsis : Arrivé à la moitie de sa vie, un homme malade se penche sur son passé. C'est son enfance tout d'abord qui lui revient avec la vision de sa mère attendant le retour improbable de son mari, puis le souvenir de sa femme dont il s'est separé le hante. Passé et présent se melangent dans l'esprit d'un homme qui cherchait "seulement à etre heureux".
commentaire modéré@cinephile54 Tarkovski est un cinéaste incroyable. Un de mes réalisateurs préférés, je l'ai souvent mis en avant sur Vodkaster, même si hormis quelques uns mes conseils couplés à ceux de @ianov ont plutôt fait chou blanc.
Peut être la fameuse question de la "popularité" qu'on parlait toi et moi en MP l'autre jour.
Bref, quoiqu'in en soit, sache que c'est un cinéaste du ressenti, de la métaphysique, de la poésie, et il est difficile d'arriver à appréhender son cinéma. C'est souvent la lenteur de ces métrages qui ont trop souvent rebutés des personnes à sa découverte.
Perso, je trouve qu'il reste un cinéaste extrêmement pertinent, qui focalise l'attention du spectateur sur l'image au détriment de la mise en scène. Et pourtant le résultat est très souvent proche du songe, ou du désespoir c'est selon les titres de l'ami Andreï.
Si je peux t'en recommander un particulièrement ce serait sûrement Stalker, qui reste mon préféré chez Tarkovski. Mais dans le genre, Le Miroir se pose en subtil jeu de conscience et questionne sur le doute, la foi, la dualité, la mémoire.
Bref, des oeuvres comme je te disais esthétiques donc je ne me lasse jamais.
Peut être la fameuse question de la "popularité" qu'on parlait toi et moi en MP l'autre jour.
Bref, quoiqu'in en soit, sache que c'est un cinéaste du ressenti, de la métaphysique, de la poésie, et il est difficile d'arriver à appréhender son cinéma. C'est souvent la lenteur de ces métrages qui ont trop souvent rebutés des personnes à sa découverte.
Perso, je trouve qu'il reste un cinéaste extrêmement pertinent, qui focalise l'attention du spectateur sur l'image au détriment de la mise en scène. Et pourtant le résultat est très souvent proche du songe, ou du désespoir c'est selon les titres de l'ami Andreï.
Si je peux t'en recommander un particulièrement ce serait sûrement Stalker, qui reste mon préféré chez Tarkovski. Mais dans le genre, Le Miroir se pose en subtil jeu de conscience et questionne sur le doute, la foi, la dualité, la mémoire.
Bref, des oeuvres comme je te disais esthétiques donc je ne me lasse jamais.