Hannah souffre d'une sensation grandissante d'isolement. Jour et nuit hanté par les cassettes, Clay ne fait plus la distinction entre cauchemars et réalité.
“ Araki pose son cadre pour retranscrire la folie déconcertante d'un personnage perdu. Réalisation irréprochable, évolution pesante. ”— Louan 5 mai 2017
“ Tout le long de l'épisode je me disais que Gregg Araki aurait très bien pu le réaliser et à la fin je vois son nom. Comme quoi ! 4 ”— MeDiT10 mai 2017