Comme chaque dimanche de cette année de 1912, un vieux peintre au crépuscule de sa vie accueille ses enfants dans sa maison de campagne. Le sérieux de son fils contraste fortement ...
“ Grand par son éloquence, Tavernier filme, apaisé, la déliquescence d'une famille et la solitude. Les émotions se confondent et se partagent. ”— gaugamelle23 avril 2015
“ Une mélancolie trop fastidieuse, Tavernier essaye d'entraîner le spectateur à la nostalgie mais Azéma plombe le rythme d'exubérance inutile. ”— Joe_Shelby 7 janvier 2016