Pierre Roussel est né à Paris le 28 septembre 1723. Il est le fils de Michel Roussel (compagnon ébéniste) et de Barbe Dulin. Issu d'une famille pauvre, ses trois frères (Jacques, Michel et Louis) devinrent menuisiers et une de ses soeurs, Françoise, épousa un boucher (Pierre Bérard) en 1743 à environ 20 ans. La même année, il convola en juste noce avec Marie-Antoinette Fontaine sans contrat de mariage. De cette union, naquirent deux fils : Pierre-Michel l'ainé et Pierre dit « le jeune » et quatre filles : Marie-Françoise, Françoise, Catherine et Marie. Il fut reçu Maitre ébéniste le 21 août 1745 et s'installa dans le Faubourg Saint-Antoine, Rue de Charenton en face de la Rue Saint-Nicolas à l'enseigne "L'Image de Saint Pierre". Rapidement, sa carrière commence à prospérer en tant qu'ébéniste, mais surtout comme marqueteur talentueux, à tel point qu'il devint juré de sa communauté dès 1762, puis juré comptable en 1763-1764. Il établit alors une liste des pauvres maitres ébénistes devant être assistés par la Jurande. (Le fait d'être maître ne garantissant pas forcément un revenu suffisant pour vivre!) Sa notoriété atteint des sommets dès 1767, comme le confirme Salverte qui mentionne que Pierre Roussel, qui avait été choisi comme expert pour arbitrer un différend entre deux collègues, était considéré comme l'un des tout meilleurs ébénistes de sa période. Affirmation reprise dans « l'Almanach d'indication générale ou du vray mérite » de 1769 qui le cite comme l'un des tout premiers ébénistes de Paris. Ses deux fils, devenus ses élèves et assistants, furent reçus « maitres », le 28 août 1766 pour Pierre-Michel et le 13 août 1771 pour Pierre dit « le jeune ». Pour preuve supplémentaire de notoriété et de fortune, s'il en est besoin, il maria au moins trois de ses filles à des personnages relativement importants pour l'époque : Marie Françoise à Nicolas Balthazar Coulon (Commis de greffe), Françoise à Pierre Préaux (Notaire royal) et Catherine à Jean Jacques Retou (Maitre Carteur). Son fils ainé, Pierre-Michel épousa Marie Anne Josèphe Lemarchand à Dieppe le 5 octobre 1773. La même année, Pierre Roussel s'achète une maison de 25 000 livres et loue deux autres maisons : la première location pour exposer ses oeuvres, rue du Faubourg St Antoine à l'enseigne « Coupe d'or » et la seconde comme entrepôt. Reconnu et apprécié par ses pairs, il devient député du corps des ébénistes en 1777, puis syndic adjoint en 1779 et enfin syndic l'année suivante. À sa mort, en 1782, sa veuve prit la gérance de l'établissement aidée du cadet de ses fils : Pierre le jeune. Sa succession comprenait 244 pièces représentant un total de 18 000 livres. Pierre le jeune figure en 1785 et 1786 comme fournisseurs aux Menus Plaisirs de Versailles, mais semble n'avoir survécu que peu de temps et mourut avant 1789 Pierre-Michel s'installa au 310, rue St Honoré et vendit son fonds de commerce au mois de fructidor de l'an II. (Soit en aout - septembre1793) et se retira rue de Grammont. Veuf en 1810, il décéda le 15 décembre 1822 à la tête d'une importante fortune.
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