Theophánis Lamboukas était le fils d'un couple d'origine grecque orthodoxe. Son père, coiffeur, s'était établi à Paris. Il commença à chanter de bonne heure et participa à dix-huit ans à un concours de chant. Il fréquenta une école de commerce et travaillait aussi dans le salon de coiffure de son père. En 1956, son service militaire l'amena à partir pendant treize mois en Algérie.
Revenu à Paris, il passait ses soirées à Saint-Germain-des-Prés, où un ami le fit connaître à Édith Piaf, qui le prit rapidement comme secrétaire. La grande chanteuse, divorcée depuis 1956 de son premier mari, fut séduite par la voix remarquable du jeune homme ; elle l'encouragea à suivre des cours de chant professionnels et lui donna comme nom de scène Théo Sarapo.
Le 9 octobre 1962, Théo Sarapo, âgé de 26 ans, épousa Édith Piaf à Paris à la mairie du 16ème Arrondissement ; elle était gravement malade et avait vingt ans de plus que lui. Le mariage religieux eut lieu à l'église orthodoxe grecque.
Après le mariage, il joua en duo avec Édith Piaf. Le couple obtint un succès mondial, en particulier grâce à la chanson écrite par Michel Emer A quoi ça sert l'amour. D'autres projets de tournées en commun ne purent se réaliser qu'en partie du fait de l'état de santé d'Édith Piaf. Sarapo loua une villa au Cap Ferrat puis à Plascassier près de Grasse et se consacra à soigner sa femme jusqu'à la mort de cette dernière, survenue le 10 octobre 1963. Il ne se remaria pas et ce n'est qu'après une longue période de deuil qu'il recommença à jouer et à chanter.
Il mourut le 28 août 1970 à Saint-Léonard-de-Noblat (87, Haute-Vienne), à l'âge de 34 ans, des suites d'un accident de voiture. Il repose à Paris au cimetière du Père-Lachaise à côté d'Édith Piaf.
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“ Des scènes fascinent: le bal des oiseaux, l’escalade de la façade, le strip-tease de la nonne. Le scénario claudique. Comme un rêve filmé ! ”— elge12 février 2012
“ Franju rend un hommage réjouissant, drôle et vibrant aux serials qui ont bercé son enfance et nourri son imaginaire de cinéphile. ”— phylute25 septembre 2013
“ Des moments magiques, une passion indéfectible pour le cinéma des premiers temps, mais Cocteau a fait beaucoup mieux dans le merveilleux ! ”— Sylvain1er 6 décembre 2014
“ Après un début véritablement fascinant, Judex suit, en forme d'hommage, le chemin du sérial avc malheureusemnt moins de réussite & d'intérêt ”— LeoL15 juillet 2012
“ Hommage bien décevant au serial muet des années 1910-20. De rares séquences au charme poétique irréel et une histoire obscure et ennuyeuse. ”— Hedgehog 3 janvier 2015