Ce qu'en pense la communauté
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Micro-critique star (Bosco) :
Bosco
(à propos de Fellini Roma)
“ Le temps retrouvé s’y efface : trop d’histoire dressée en ruines et palais se moque de l’histoire. Elle fut vivante d'un peuple de familles. ”
— Bosco
2 juin 2023
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bredele
(à propos de Fellini Roma)
“ Les enfants de la louve s'étouffent de stupre, de religion, de trafic, de bouffe, et pourtant ils défient le temps. ”
— bredele
26 septembre 2017
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bredele
commentaire modéré @ianov tu viens avec @cath44 et moi alors?27 septembre 2017 Voir la discussion...
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ianov
commentaire modéré @bredele sûr!!!27 septembre 2017 Voir la discussion... -
cath44
commentaire modéré @ianov @bredele Rome nous attend!27 septembre 2017 Voir la discussion...
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georges.b1
(à propos de Fellini Roma)
“ La Rome antique ou la Rome moderne et angoissante... De la nostalgie à la satire, de la truculence au lyrisme. Féérie visuelle spectaculaire ”
— georges.b1
22 mars 2015
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Bosco
(à propos de Fellini Roma)
“ Le temps retrouvé s’y efface : trop d’histoire dressée en ruines et palais se moque de l’histoire. Elle fut vivante d'un peuple de familles. ”
— Bosco
2 juin 2023
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Bosco
commentaire modéré Ce film déconcerte parfois par sa forme et c'est cependant un film en pur Fellini comme on le dirait de vêtements tissés en matières précises et précieuses. Il filme ses souvenirs en même temps qu'il les dilate, les avive pour mieux les ressusciter, sans illusion : la mort brandit sa faux et son cierge à tous les détours du film cependant que sur sa lame s’aiguise la vie toujours menacée que la flamme éclaire d'une troublante et presque consolante caresse. Et ses souvenirs extravagancés, Fellini les mêle de purs phantasmes, de « vues d'artistes » comme l’on disait – et ce à quoi Rome, longtemps rendez-vous des peintres, se prêtait tout particulièrement. Le vu - ce que l’on appel d’habitude le réel - est transformé en visions, la caméra - tout aussi présente que la mort - filme moins ce qu'elle voit qu'elle ne le rêve car son objectif, contrairement à ce qu’a cru pouvoir dire le trop rapide Godard, n’est pas une froide lentille mais bien l'œil d'un certain Maître.
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Bosco
commentaire modéré Roma n’est pas une narration, c’est une dérive construite. En rien un récit mais une navigation abandonnée aux courants profonds et sûrs du génie. Pour ceux qui douteraient cependant de la sureté et de la virtuosité généreuse du Maître, il suffit d’observer la composition aussi fluide que complexe de ces séquences où mille vies s’entrecroisent en un même lieu - salle de spectacle populaire, bordels, restaurants populaires... Mille scènes et portraits en un tableau, dans la plus parfaite unité de composition chaque fois. Et là, toute épicée qu’elle soit de couleurs saturées ou noircies, de gueules, de poitrines, de fessiers et de mots exagérés, c’est la vie même qui se donne (qui semble se donner – tout l’art de l’artiste est de s’effacer alors) dans son propre mouvement. Rêve mis en chair dans la danse souplement conduite de riches images.
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Alfredo Adami
Britta Barnes
Pia De Poses
Fiona Florence
Paule Rout
Marcelle Ginette Bron
Renato Giovannoli
Paolo Natale
Mario Del Vago
Stefano Mayore
Gore Vidal
Federico Fellini
Galliano Sbarra
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Eleonora Giorgi
Dennis Christopher
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Ginette Marcelle Bron
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Marcello Mastroianni
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