La Vendeuse de roses
(1998)
La Vendeuse de roses

La Vendeuse de roses

(1998)
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Micro-critique star (Limdebois) :
Limdebois
(à propos de La Vendeuse de roses )
Sa note :
La Vendeuse de roses “ Film touché par la grâce. ” — Limdebois 3 décembre 2017
3 commentaires
  • Limdebois
    (à propos de La Vendeuse de roses )
    Sa note :
    La Vendeuse de roses “ Film touché par la grâce. ” — Limdebois 3 décembre 2017
    3 commentaires
    • Bosco
      commentaire modéré Cette micro-MC intrigue d'autant plus que tu n'avais pas apprécié Rodrigo D. Futur : néant du même réalisateur...
      4 décembre 2017 Voir la discussion...
    • Limdebois
      commentaire modéré Très bonne remarque, parce qu'en effet, je n'ai cessé en voyant celui-ci d'essayer de comprendre ce qui les séparait. Les deux usent des mêmes procédés narratifs (montage alterné très dense nous faisant naviguer d'un personnage à un autre, naturalisme très cru, voire violent, probablement une même technique de direction d'acteurs basés sur de l'improvisation dirigée), mais pour moi le précédent (dans l'ordre de visionnage) souffre au moins de deux défauts : les personnages sont antipathiques et leur introduction est complètement raté (les deux étant peut-être liés). C'est sans doute une perception personnelle, j'ai souvent du mal à comprendre les histoires avec trop de personnages et avec un enchevêtrement d'enjeux complexes, et j'ai un gros faible pour les personnages non seulement féminins mais encore plus les enfants. D'ailleurs les personnages masculins de La Petite Marchande de roses valent bien ceux de Rodriguo : des idiots. Là la force du film, ce sont principalement la grâce, le charme, l'intelligence, la fragilité de ces jeunes adolescentes livrées à elles-mêmes dans les rues de Medellin les deux jours précédents Noël. J'y retrouve un peu la même grâce que dans Certificat de naissance par exemple (et peut-être dans Los Olvidados mais j'avoue ne plus avoir un grand souvenir du film). Le film fait mal, c'est pas tous les jours qu'on voit des gosses drogués quasiment en permanence dans le film, et ç'a sans doute été l'écueil le plus difficile dans sa mise en scène (et si on y croit c'est sans doute aussi parce que les enfants y sont réellement drogués...), et pourtant ce qui éveille la sympathie, la pitié dirait mon pote Aristote, c'est bien que drogués, ils vivent, se débattent avec une énergie toute enfantine pour survivre. Elle est là la grâce. Chose qu'on ne retrouve pas du tout dans l'autre film.
      4 décembre 2017 Voir la discussion...
    • Bosco
      commentaire modéré @Limdebois Merci pour ces précisions qui incitent à voir ce film.
      4 décembre 2017 Voir la discussion...
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