Ce qu'en pense la communauté
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Micro-critique star (Hobbit77) :
Hobbit77
(à propos de Les 7 mercenaires)
“ Il était une fois au Mexique, sept rônins à la gâchette facile, sans peur et (presque) sans remords... Classique mais néanmoins grandiose. ”
— Hobbit77
18 juillet 2018
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cath44
(à propos de Les Sept mercenaires)
“ Menés par un cavalier noir, ange glacial et silencieux, ils ne connaitront ni la peur, ni le remords dans le combat final d’une juste cause. ”
— cath44
6 octobre 2014
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lekid
commentaire modéré @cath44 Pour être glacial et silencieux, il est glacial et silencieux. Un peu trop peut-être ?14 décembre 2020 Voir la discussion... -
cath44
commentaire modéré @lekid Oui, mais j’ai un petit faible pour lui, j’avoue, malgré son air sombre et taciturne , sa tenue noire je lui trouve du charisme …Autre personnage qui m’a plu, c’est Charles Bronson en homme courageux, qui s’humanise au contact des enfants et des paysans (pour lui les véritables héros ne sont pas les mercenaires mais les parents de ces enfants qui se tuent au travail pour les élever )14 décembre 2020 Voir la discussion...
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cath44
commentaire modéré @lekid Ce fut Un tournage très mouvementé, cela d’autant que La maison de production de Yul Brynner a bloqué les droits de l’adaptation du film de Kurosawa, annonçant que le comédien devrait avoir le rôle vedette… Par ailleurs, les relations entre McQueen et Yul Brynner ont été tendues, le 1er tentant à plusieurs occasions de voler la vedette à Brynner Des querelles d’ego ( c’est à qui aura le plus grand flingue et le meilleur cheval…14 décembre 2020 Voir la discussion...
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Bosco
(à propos de Les 7 mercenaires)
“ Américanisation radicale et conjugaison de vedettes. Ainsi Hollywood transforme un très grand film de samouraïs en un classique du western. ”
— Bosco
6 novembre 2019
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Bosco
commentaire modéré @Vilaboa J'aime bien quand le Macbeth de Shakespeare et à la fois magnifiquement transposé et radicalement niponnisé dans le Château de l'Araignée de Kurosawa et quand les Sept Samouraïs de ce même Kurosawa est bien transposé en Amérique et digéré par les codes westerniens. Ce genre de mondialisation là me plaît qui transpose l'universel en le réenracinant profondément chaque fois. Il est rarement pratiqué dans cet esprit d'ouverture et de fidélité.
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Vilaboa
commentaire modéré @Bosco Depuis mon premier commentaire à ta MC ci-dessus en novembre, j'ai pu effectivement revoir -et apprécier- "Les 7 mercenaires" (voir ma MC).
Oui, cette "transposition/réenracinement", telle que tu l'évoques, est une belle démarche vivante et artistique qui n'a rien à voir avec la réutilisation confuse d'un thème existant, liée à une simple préoccupation commerciale à la recherche de sujets... Ce que tu décris implique, au contraire, de la sensibilité et de la qualité, aussi bien dans l'oeuvre d'origine que dans sa transcription. Ta remarque m'incite à me procurer "Le château de l'araignée" dès que je le pourrai. Dans le même esprit, il ne faut pas oublier "Ran" du même Kurosawa, transposition du "Roi Lear" shakespearien. Je l'ai découvert il y a longtemps, à sa sortie, et ne peux en parler correctement avant de l'avoir revu.
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MFlorian38
(à propos de Les Sept mercenaires)
“ Au bas-fond de l'embûche désertique, l'insondable ne peut abattre le sens de l'honneur. Ondes aux vents impérissables, balles des Cavaliers. ”
— MFlorian38
14 décembre 2020
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lekid
commentaire modéré @MFlorian38 Je lui ai trouvé quelques facilités, ce qui m'a empêchée d'adhérer entièrement.
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Roberto Contreras
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