Ce qu'en pense la communauté
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Micro-critique star (Julewitz) :
Julewitz
(à propos de Rencontres du troisième type)
“ Le seul film où l'on peut voire des scientifiques faire un boeuf avec un vaisseaux spatial. Rien que ça, c'est déjà très fort quand même ! ”
— Julewitz
8 avril 2013
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cath44
(à propos de Rencontres du troisième type)
“ Révélation subliminale et signature sonore d’une lumineuse rencontre avec l’inconnu. Dans les étoiles, la guerre des mondes n’aura pas lieu. ”
— cath44
7 avril 2019
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LaKinopitheque
commentaire modéré Je vous rejoins sur les premières remarques faites et pour le reste merci pour votre lecture !10 avril 2019 Voir la discussion... -
LaKinopitheque
commentaire modéré Avant la cinéphilie, Rencontres vu enfant au collège m'a je crois donné accès à la magie du cinéma. Il occupe donc une place à part dans mes représentations. Mais je crois que c'est le cas pour beaucoup de ceux qui ont vu ce film gamin.10 avril 2019 Voir la discussion...
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cath44
commentaire modéré @zeyken l'a abordé sous un angle plus sombre que je trouve intéressant https://www.vodkaste...me-type/55119#Zeyken12 avril 2019 Voir la discussion...
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Julewitz
(à propos de Rencontres du troisième type)
“ Le seul film où l'on peut voire des scientifiques faire un boeuf avec un vaisseaux spatial. Rien que ça, c'est déjà très fort quand même ! ”
— Julewitz
8 avril 2013
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Zeyken
(à propos de Rencontres du troisième type)
“ Convoquant la peur, le rêve et l’obsession, Spielberg livre le miraculeux récit d’une réunion et d’un sacrifice face à l’énigme du monde. ”
— Zeyken
9 avril 2019
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cath44
commentaire modéré @Zeyken Je comprends ce que tu veux dire, car le film est traversé par cette double polarité, le sombre et la lumière. Je me suis centrée sur l’aspect lumineux d’une révélation, la beauté éblouissante d’une rencontre… Le sombre c’est la description d’un délitement familial, d’une entrée dans la « psychose », avec une obsession qui devient morbide chez ce père ; plus exactement comme tu le dis , d’une dépression paternelle, qui frôle le délire. Cela au point de non retour dans son couple en crise, dans sa famille, au point où dans son isolement psychologique, il abandonne tout pour poursuivre sa quête. Il y a quelque chose d’effrayant que l’on ne retrouve pas chez la mère de Barry pourtant habitée par les mêmes images subliminales, la même obsession de la « Devil’s Tower » Je pense à deux scènes marquantes (celle de la purée et celle où son fils effrayé par la « folie paternelle » se met à détruire une poupée contre le mur. Et lui, il reste stoïque, comme absent à lui-même et aux autres.
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