Satisfaction communauté
87%
Bande-annonce
Ce qu'en pense la communauté
- 87%
- 363 notes
- 115 veulent le voir
Micro-critique star (lebateausobre) :
lebateausobre
(à propos de Sonate d'automne)
“ Le tsunami Bergman passe sur les nerfs corrodés. Mère et fille, face à face, s'entr'incarnent pour un dernier combat avant la fin du monde. ”
— lebateausobre
30 août 2013
-
MFlorian38(à propos de Sonate d'automne)“ Hérédité enracinée, la saison des feuilles mortes éclôt la scène, visages effrontés. Le poids des mots, embellir la destruction: maternité. ” — MFlorian38 5 février 2022
-
Shinbone5 février 2022 Voir la discussion...
-
MFlorian386 février 2022 Voir la discussion...
-
Eforie8 février 2022 Voir la discussion...
-
-
cath44(à propos de Sonate d'automne)“ Violence des regards,cruauté des mots et des visages dans la mise au monde d’une mère par sa fille. Une sonate d’amour universelle. ” — cath44 30 août 2013
-
acesite
-
jroux86
-
-
Kikuchiyo(à propos de Sonate d'automne)“ Bergman fait TOUT se dire à ses héroïnes. C'est ce vertige, cette poésie cruelle qui fait événement, et creuse ou illumine les visages... ” — Kikuchiyo 4 octobre 2013
-
Kikuchiyo
Pur Bergman : pas de Dieu pour consoler les êtres de leur détresse, parfois liée à leurs rapports avec leurs semblables. L'issue à la violence des rapports humains ne se trouve que dans les rapports humains eux-mêmes... -
ProfilSupprime
-
Kikuchiyo
Les maux ne me paraissent pas si unilatéraux que ça : Ingrid Bergman aurait pu être détestable, et pourtant son jeu s'apaise tout au long du métrage, à mesure que sa propre horreur lui est renvoyée à la face et la fait s'effondrer intérieurement. Réciproquement, la véhémence terrible de Liv Ullmann rend son personnage de victime presque terrifiant au final.
Etrange : c'est face à d'autres films de Bergman, "La Honte" surtout, que j'ai eu cette impression d'un cinéma trop schématique qui peinait à me toucher. "Sonate d'Automne", en formulant avec une qualité d'écriture folle bien des sentiments indicibles que son public a pu éprouver sans même se l'admettre (et Bergman le premier à vrai dire, puisque tout personnage d'"analphabète émotionnel" renvoie à son père), offre une purge émotionnelle incroyable !
-