Barbara Stanwyck
Elle a tout osé avec grâce et avec son sourire moqueur...
Mon ami @Torrebenn a également créé une liste Barbara Stanwyck... c'est là (il y en a plus... évidemment ! :-) : http://www.vodkaster...ara-stanwyck/1034825
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1(1944)elge“ Retenons le visage de poupée de porcelaine de Barbara Stanwick: blonde platine, bouche constamment entrouverte, sourire entre grâce et venin ” — elge 9 août 2011
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2(1950)elge“ Violences et passions enflamment rois et reines de la prairie. Et le grand rire de Walter Huston et le sourire insolent de Barbara Stanwick. ” — elge 7 août 2014
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3(1941)de Frank Capra avec Barbara Stanwyck, Gary Cooper, Walter Brennanelge“ Avec ses frères, Longfellow Deeds et Jefferson Smith, Long John Willoughby créé une figure de "nouveau messie". Un brin plus tragique... ” — elge 29 octobre 2013
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4(1933)de Alfred E. Green avec Arthur Hohl, Donald Cook, Alphonse EthierDrame | 1h11elge“ Un petit conte abstrait et sexy, avec une Barbara Stanwyck toujours aussi canaille. Dont la morale pourrait être: Nietzche s’est trompé ! ” — elge 15 mars 2014
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5(1941)de Howard Hawks avec Gary Cooper, Barbara Stanwyck, Oskar HomolkaComédie | 1h51elge“ Wilder au scenario, Hawks à la caméra, Cooper à l’esprit simple, Stanwyck à la beauté vulgaire : tout le monde est à sa place, on tourne ! ” — elge 7 juin 2020
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6(1933)Drame | 1h28elge“ Syndrome de Shanghai = s’éprendre du bandit et, donc, le détruire… L’autre face de Capra, en romantique extravagant. ” — elge 16 octobre 2014
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7(1931)de Frank Capra avec Barbara Stanwyck, David Manners, Sam HardyDrame | 1h30elge“ Avant J. Stewart et G. Cooper, Barbara Stanwyck, la première, endossa le rôle du personnage christique Capraïen. La matrice d’un genre. ” — elge 13 octobre 2014
J'avais fait mon Top ici -> http://www.vodkaster...ara-stanwyck/1034825
Et il ne faut pas oublier sa contribution inestimable au Western (je suis indécrottable, n'est-ce pas ?!) : http://www.vodkaster...ara-stanwyck/1214863
Pour moi, Ruby alias Barbara, c'est Meet John Doe dans lequel sa jeunesse resplendit, dans lequel ses larmes en fin de compte assez fades vous marquent parce qu'elle se fait en quelque sorte rattraper par son histoire et ce sont des larmes d'une fille "paumée". Pas de distanciation.
Enfin, Barbar, c'est surtout ce film qui représente ce qui peut rendre quiconque cinéphile : Escape to Burma. Le scénario est à la fois simple et compliqué, c'est à la fois prévisible et imprévisible, elle est plus belle que jamais dans la force de l'âge, les