♫ Chūji Kinoshita 木下忠司 compositeur pour son frère Keisuke Kinoshita 木下惠介
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2(1947)1h261 micro-critique | Sa note :Arch_Stanton“ Un brin faible, le scénario heureusement pacifiste ne va hélas pas au bout de tout ce que Kinoshita aurait sans doute voulu dire ou montrer. ” — Arch_Stanton 4 juin 2022
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3(1947)de Keisuke Kinoshita avec Kinuyo Tanaka, Keiji Sada, Isamu Kosugi1h221 micro-critique | Sa note :Arch_Stanton“ Magnifique Kinuyo Tanaka. Forcément magnifique ... Son amour disparu dans les tourbillons de la guerre traverse les décennies du Cinéma ... ” — Arch_Stanton 4 juin 2022
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4(1948)de Keisuke Kinoshita avec Mitsuko Mito, Eitarō Ozawa1h072 micro-critiques | Sa note :Torrebenn“ La femme en question, celle de Kinoshita est maltraitée par son homme. Elle revient mais ça n'est pas faute de dignité. C'est faute de choix ” — Torrebenn 21 juillet 2019
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5(1948)1h131 micro-critique | Sa note :Arch_Stanton“ Peut-être le mélodrame social le plus faible (toute proportions gardées) du travail de Kinoshita à cette période charnière pour sa carrière. ” — Arch_Stanton 4 juin 2022
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6(1948)1h391 micro-critique | Sa note :Arch_Stanton“ Bien avant Ichikawa, Kinoshita adapte avec talent le manifeste de l'émancipation sociale des Burakumin, ces méconnus Intouchables du Japon. ” — Arch_Stanton 4 juin 2022
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8(1949)1h251 micro-critique | Sa note :Arch_Stanton“ Un premier volet qui pose le mythe. Pas de grandes terreurs, mais une maîtrise totale, servie par une distribution de classe absolue. ” — Arch_Stanton 5 juin 2022
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9(1949)de Keisuke Kinoshita avec Kinuyo Tanaka, Keiji Sada, Ken Mitsuda1h131 micro-critique | Sa note :Arch_Stanton“ Un second volet plus enlevé et dans lequel les fantômes (re-)viennent hanter jours et nuits des vivants assez fous pour continuer de vivre ! ” — Arch_Stanton 5 juin 2022
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11(1950)1h361 micro-critique | Sa note :Arch_Stanton“ Quand le mélodrame se fait immense peinture des heurs et malheurs de la faiblesse humaine. Il y a Kinoshita pour capter tout cela ... ” — Arch_Stanton 5 juin 2022
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12(1951)1h481 micro-critique | Sa note :Arch_Stanton“ La faute à un scénario plus faible, Kinoshita retombe dans ces comédies de mœurs qui avaient irrigué le cinéma nippon d'entre-deux-guerres ” — Arch_Stanton 5 juin 2022
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13(1951)1h501 micro-critique | Sa note :Arch_Stanton“ Irrésistiblement humaniste, irrésistiblement vivant. Les avanies d'une famille prise entre deux feux d'une guerre qu'elle subit à l'infini. ” — Arch_Stanton 5 juin 2022
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14(1951)2h021 micro-critique | Sa note :Torrebenn“ Film néo-réaliste dans un village de pêcheurs. Kinoshita fait œuvre de peintre, mais peine à se rendre passionnant. ” — Torrebenn 22 juillet 2019
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15(1951)Comédie | 1h26Arch_Stanton“ Comédie musicale champêtre, libérée et pétillante ! Hideko Takamine virevoltante et débordante de séduction transforme le Japon à elle-seule ” — Arch_Stanton 6 juin 2022
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16(1952)1h432 micro-critiques | Sa note :Arch_Stanton“ 2nd volet plus faible que le premier, malgré un sous-texte politique (de circonstance ?) intéressant. Kinoshita a bien fait de refuser un 3e ” — Arch_Stanton 6 juin 2022
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17(1953)1h561 micro-critique | Sa note :Arch_Stanton“ Une fresque réaliste quasi-documentariste d'un Japon en plein chaos politique, économique et moral. Une œuvre salutaire, un constat terrible ” — Arch_Stanton 6 juin 2022
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18(1954)2h212 micro-critiques | Sa note :Torrebenn“ 1954 et Kinoshita fait déjà son Mai 68 japonais au cœur d'un pensionnat pour jeunes filles biens-comme-il-faut qui ne le resteront pas ! ” — Torrebenn 22 juillet 2019
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19(1954)Drame | 2h36Arch_Stanton“ Les grands yeux d'Hideko Takamine reflétant 24 prunelles sacrifiées ont quelque chose d'inégalable dans tout le Cinéma mondial. A jamais ... ” — Arch_Stanton 14 décembre 2021
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20(1955)1h391 micro-critique | Sa note :Arch_Stanton“ Une nouvelle fois veuve de guerre (à l'écran) Takamine libère un Japon sclérosé, tout en s'émancipant elle-même. Habile message social ! ” — Arch_Stanton 6 juin 2022
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21(1955)1h402 micro-critiques | Sa note :Arch_Stanton“ Beau mélodrame, mais les expérimentations techniques de Kinoshita, un temps novatrices et intéressantes ne tiennent pas la durée ... ” — Arch_Stanton 6 juin 2022
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22(1956)1h181 micro-critique | Sa note :Arch_Stanton“ Beau portrait familial, tendre, urbain et en pleine métamorphose de Tokyo, mais tout cela peine à être pleinement passionnant. ” — Arch_Stanton 7 juin 2022
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23(1956)1h251 micro-critique | Sa note :Arch_Stanton“ Un temps, je me dis que le genre Taiyō-zoku n'est pas adapté à Kinoshita. Jusqu'à la scène finale où sa caméra virevolte avec violence ... ” — Arch_Stanton 6 juin 2022
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242h421 micro-critique | Sa note :Arch_Stanton“ 2h42 qui soufflent comme une rafale de vent sur l'un de ces phares japonais dont Kinoshita nous dresse un magnifique catalogue. Sublime ... ” — Arch_Stanton 7 juin 2022
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25(1957)1h181 micro-critique | Sa note :Arch_Stanton“ Totalement burlesque et décalée dans la filmographie de Kinoshita, cette comédie est efficacement distrayante, à défaut d'être géniale. ” — Arch_Stanton 7 juin 2022
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26(1958)Drame | 1h38Torrebenn“ Flamboyante fresque crépusculaire d'existences achevant de s'écouler en une nature matricielle et hostile. Une estampe outrancière et totale ” — Torrebenn 3 mars 2018
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27(1958)de Keisuke Kinoshita avec Chishū Ryū, Kinuyo Tanaka, Yoshiko Kuga1h45Synopsis : Deux hommes travaillant dans une usine sidérurgique se heurtent à des obstacles : le premier n'a pas les notes nécessaires pour obtenir un emploi, tandis que le second s'éprend d'une collègue.
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28(1959)de Keisuke Kinoshita avec Ineko Arima, Yūsuke Kawazu, Keiko Kishi1h181 micro-critique | Sa note :Arch_Stanton“ Récit circulaire, cyclique & dramaturgie sans chance de salut. Presque sans aucune chance car Kinoshita garde et instille tout son Humanisme ” — Arch_Stanton 8 juin 2022
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29(1959)1h411 micro-critique | Sa note :Arch_Stanton“ A trop céder à la nostalgie, le récit perd en fluidité ce qu'il gagne en puissance évocatrice, avec naïveté (toujours feinte chez Kinoshita) ” — Arch_Stanton 8 juin 2022
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30(1959)1h131 micro-critique | Sa note :Arch_Stanton“ Quelle modernité dans le propos ! Kinoshita navigue avec fluidité entre vie de bureau sans but et vie rurale dans un second Japon. Magistral ” — Arch_Stanton 8 juin 2022
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31(1960)de Keisuke Kinoshita avec Yoshiko Kuga, Mariko Okada, Chishū Ryū1h431 micro-critique | Sa note :Arch_Stanton“ Un vaudeville comique qui permet comme une bouffée d'air dans la filmo du Maître. Nul doute qu'il a dû considérer ce film de la même manière ” — Arch_Stanton 8 juin 2022
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32(1960)1h57Arch_Stanton“ Immense fresque guerrière, mais tout autant pacifiste, grâce à laquelle le vétéran Kinoshita se livre à des expérimentations chromatiques ! ” — Arch_Stanton 8 juin 2022
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33(1961)1h431 micro-critique | Sa note :Torrebenn“ Les avanies subies par Takamine seront à même de foutre les larmes à quiconque, si sa frimousse de pilier du Cinéma japonais ne le fait pas. ” — Torrebenn 22 juillet 2019
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36(1963)1h261 micro-critique | Sa note :Arch_Stanton“ Petite comédie estudiantine, sans intérêt autre que de mettre les pieds dans des cités U des années 60, avant les révoltes étudiantes. ” — Arch_Stanton 10 juin 2022
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37(1963)de Keisuke Kinoshita avec Shima Iwashita, Gō Katō, Mariko Kaga1h231 micro-critique | Sa note :Arch_Stanton“ Simili-western à Hokkaidō. Le Japon rural (mais serait-il urbain qu'il en serait de même) se livre à toutes les rancœurs de fin de guerre. ” — Arch_Stanton 8 juin 2022
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38(1964)de Keisuke Kinoshita avec Mariko Okada, Nobuko Otowa, Gō Katō3h23Synopsis : Après que sa mère a fui la maison, Tomoko est élevée pour devenir une geisha. Un jour, Tomoko rencontre sa mère dans un quartier mal famé de Tokyo et sa vie s'en trouve profondément bouleversée.
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39(1967)1h55Synopsis : Après le suicide de son ami, Natsuki accepte un poste d'enseignant sur une île isolée. Ses nouveaux élèves, les enfants de pêcheurs peu instruits, ne trouvent aucune valeur à l'éducation et n'ont donc aucune envie d'apprendre. Natsuki initie alors les enfants au volley-ball. Les enfants sont immédiatement enthousiasmés par le jeu. Après avoir gagné le tournoi de l'île, ils remportent le championnat national. Soudain, l'apprentissage prend une toute nouvelle dimension. Pendant ce temps, Natsuki se marie. Malheureusement pour sa femme, il refuse de quitter l'île.
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41(1980)de Keisuke Kinoshita avec Gō Katō, Junko Mihara, Tatsuya Okamoto2h111 micro-critique | Sa note :Arch_Stanton“ Etrange travail dans la filmographie de Kinoshita. Loin du reste de son œuvre. Entre documentaire sociologique et racolage putassier ... ” — Arch_Stanton 10 juin 2022
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42(1983)de Keisuke Kinoshita avec Gō Katō, Yukiyo Toake, Chikage AwashimaDrame | 2h082 micro-critiques | Sa note :Arch_Stanton“ Hiroshima a sa "Pluie noire", Nagasaki a cette fresque humaniste et terrifiante de Kinoshita. Des enfants, sacrifiés comme des atomes ... ” — Arch_Stanton 28 août 2022
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43de Keisuke Kinoshita avec Gō Katō, Hitoshi Ueki, Reiko Ohara2h09Synopsis : Un gardien de phare et sa famille se déplacent de ville en ville, se faisant à chaque fois de nouveaux amis et recevant la visite de son père.
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44(1988)de Keisuke Kinoshita avec Eiji Bando, Makoto Nonomura, Kin Sugai1h141 micro-critique | Sa note :Arch_Stanton“ Urbain, moderne, familial. Ce père tranquille d'une fin d'Ere n'emporte pas totalement ma passion ... ” — Arch_Stanton 28 août 2022
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