Il était une fois Stanley Kubrick...
Retour sur la filmographie de celui dont chaque film en vaut 10.
Pour le maître : "Innover, c’est aller de l’avant sans abandonner le passé."
Pour Scorsese : "Regarder un film de Kubrick, c'est comme regarder le sommet d'une montagne depuis la vallée. On se demande comment quelqu'un a pu monter aussi haut."
Pour Spielberg : "Je vous mets au défi de me citer un film de Stanley Kubrick que l'on peut interrompre."
Pour Warren Beatty : "C'était un fait acquis que Stanley savait quelque chose que vous ne saviez pas."
Pour moi, sa quête de perfection dans le plus grand respect de son art me fascine, il était temps que je concocte cette petite liste...
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1(1968)itachi“ Un œil rouge une voix monocorde. Un destin se joue dans l'immensité de l'espace, le nôtre. Planet Earth is blue and there's nothing I can do ” — itachi 29 octobre 2013
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2itachi“ "The whole point of the doomsday machine... is lost if you keep it a secret !" valable aussi pour ce chef d’œuvre... ” — itachi 10 octobre 2013
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3(1975)Drame | 3h05itachi“ Peinture lumineuse d'un destin classique. Barry, un ami qui se veut du bien !!! ” — itachi 6 novembre 2013
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4(1971)itachi“ Ultra-violence, la nuit, un bolide, des yeux bleus... Oh oui, j'étais guéri pour de bon !! ” — itachi 10 octobre 2013
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5(1980)itachi“ Je ne te ferai rien. Je vais simplement te défoncer la gueule. Je vais te faire un grand trou par lequel je t'enfilerai.....What else !! ” — itachi 12 octobre 2013
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6(1987)itachi“ Qui est le chef de ce club on l'on est si heureux ? MIC...KEY...MOUSE ! On est dans un monde merdique mais on est vivant et l'on a pas peur. ” — itachi 6 novembre 2013
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7(1957)Drame | 1h24itachi“ Le pessimisme de Stanley est à la hauteur de l'injustice de ce monde. Mais au plus profond, Kubrick tranche, c'est peut-être ça le réalisme. ” — itachi 22 décembre 2013
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8(1956)itachi“ Comment un mec qui prépare un braquage aussi minutieusement peut-il acheter une valise de ce type ? Sinon tout fonctionne dans ce long ! ” — itachi 5 octobre 2013
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9(1962)de Stanley Kubrick avec James Mason, Shelley Winters, Sue LyonDrame | 2h32itachi“ Relecture du "Double" par Kubrick qui brouille en permanence les pistes dans la douleur et la sensualité. Prémices d'une œuvre immense... ” — itachi 22 décembre 2013
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10(1999)itachi“ On avait plus entrevu les tumultes de l'Amour filmés avec autant de puissance depuis Le Mépris. Opposition des désirs dans un rêve éveillé. ” — itachi 22 décembre 2013
@apocalypse12 : je pense en tout cas que c'est le plue intéressant. Il est au cinéma ce que Dylan est à la musique, jamais où on l'attend, en perpétuelle évolution et recherche de la nouveauté. Comme le dit très bien Michel Ciment, il évite toute notion de "signature" dans ces films afin de ne jamais être identifié. Un travailleur génial tout simplement :)