Ils sont dans mon TOP 50 réalisateurs: SCORSESE
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« Un film est l'expression d'une vision unique - plus il est personnel, donc, et plus il s'approche du statut d'oeuvre d'art. Ce qui signifie qu'il restera plus longtemps à l'épreuve du temps. »
de Martin Scorsese
Il m'en reste encore beaucoup à voir. Je vous invite sur les listes de l'ami @Torrebenn
http://www.vodkaster...tin-scorsese/1293357
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1(2010)
cath44
“ Adaptation réussie d’un polar oppressant qui m’a laissée scotchée.Un suspens angoissant dans ce labyrinthe mental au final bouleversant. ” — cath44 9 juin 2013 -
2(2016)2h35
cath44
“ Tourments du corps, brisure de l’âme au risque de la foi. De la violence au sacré, du doute à la faute, le silence du pardon. Absolution. ” — cath44 12 février 2017 -
3(2006)
cath44
“ Jeu oppressant de masques et de simulacre, où Scorsese filme l’angoisse à l’état pur,dans un univers où les fils doivent tuer le père. ” — cath44 1 septembre 2013 -
4(1995)de Martin Scorsese avec Robert De Niro, Sharon Stone, Joe Pesci
cath44
“ Entre luxe, pouvoir et paillettes explose le rêve d’un amour déchu. Dans le sang et la fureur de son húbris se meurt l’âme de Las Vegas. ” — cath44 27 octobre 2020 -
5(1976)
cath44
“ Une descente aux enfers saisissante,où De Niro en justicier solitaire s'enfonce dans la folie. Une scène finale pessimiste mais mythique. ” — cath44 17 juin 2013 -
6(2013)
cath44
“ Spéculation et finance,ordalie des temps modernes qui fait de ces loups de Wall Street,des maîtres de l'univers aux pieds d'argile. ” — cath44 2 janvier 2014 -
7(2023)3h26
cath44
“ Repues de sang et de poison cupide s’étiolent les fleurs de lune. Sur la terre de l’or noir, le calumet s’ensevelit, la vérité se déterre. ” — cath44 31 octobre 2023 -
8(2002)
cath44
“ Frappée en plein cœur par la lame, New York s’érige dans l’émeute et la fange. Au nom du père et du fils s’acquitte le tribut du sang. ” — cath44 2 février 2020 -
9(1982)
cath44
“ Une comédie cruelle qui explore la société du spectacle, l’obsession de la célébrité et du mirage paranoïaque des images. ” — cath44 6 juin 2014 -
10(1980)de Martin Scorsese avec Robert De Niro, Cathy Moriarty, Joe PesciDrame | 2h09
cath44
“ Sur le ring de Scorcese, la boxe devient chorégraphie. Grandeur et autodestruction d'un champion torturé, incarné corps et âme par De Niro. ” — cath44 2 août 2013 -
11(1973)Synopsis : En 1973, à New York, dans la petite Italie, Johnny Boy et Charlie, des malfrats à l'affût de combines louches, côtoient les mafiosi qu'ils envient. Pour accéder au haut du pavé, une règle impérative : respecter la loi d'honneur du milieu. Charlie, lui, a ses chances, car il a un oncle mafieux. Mais le problème se pose pour Johnny, un bagarreur inconscient, criblé de dettes. Lorsque celui-ci se procure une arme à feu et commence à faire le malin, ça dérape... -
12(1990)de Martin Scorsese avec Ray Liotta, Robert De Niro, Joe Pesci
cath44
“ Pouvoir, argent, corruption et trahison:le plan de carrière d'un cynique mafiosi au coeur de la grande Famille du crime organisé. ” — cath44 6 août 2013 -
13(1985)
cath44
“ Dans la zone incertaine du rêve où se déchaînent les désordres de la nuit, Soho referme son piège. Purgatoire kafkaïen pour un homme seul. ” — cath44 8 septembre 2016 -
14(2011)Drame | 2h06
cath44
“ Dédales de l’illusion où se réanime la magie de Méliès. Dans les rouages du temps, la clef du cœur ouvre la porte à l'amour du 7ème art. ” — cath44 7 juin 2018 -
15(1991)de Martin Scorsese avec Robert De Niro, Joe Don Baker, Nick NolteThriller | 2h08
cath44
“ Du viol de l’intimité à la prédation sexuelle, l’inoculation du mal. Un ravage expiatoire où Scorsese convoque les obsessions de l’Amérique. ” — cath44 20 avril 2016 -
16(2004)Drame | 2h46Synopsis : A la fin des années 1920, Howard Hughes, jeune héritier d'une famille du Sud possédant de nombreux puits de pétrole, investit une somme considérable dans la production de «Hell's Angels», un film retraçant les exploits d'aviateurs pendant la Première Guerre mondiale. Au cours d'un tournage qui va s'étaler sur trois ans, le producteur-réalisateur rencontre deux de ses fidèles collaborateurs : Noah Dietrich, chargé de s'occuper des finances de l'entreprise, et le professeur Fitz, qui devient son conseiller scientifique. Ce tournage avive également l'intérêt de Howard pour l'aéronautique, l'amenant à concevoir et à tester de nouveaux modèles d'avions rapides. Peu de temps après la sortie en fanfare de «Hell's Angels», Howard fait la connaissance de la comédienne Katharine Hepburn, dont il tombe amoureux... -
17(2019)de Martin Scorsese avec Robert De Niro, Harvey Keitel, Al Pacino3h30
cath44
“ Entre remords et solitude, la traversée mémorielle d’une amitié trahie. Liftant les figures du temps et des regrets, un Scorsese méditatif. ” — cath44 5 décembre 2019 -
18(1986)Drame | 1h59Synopsis : Eddie Felson a quitté le monde du billard professionnel alors qu'il était au sommet de sa gloire. Mais quand il voit jouer Vincent Lauria, son sang ne fait qu'un tour. Il décide de le prendre en main et de lui apprendre toutes les ficelles du métier. Poussé par sa petite amie, une jeune femme qui partage le même amour de l'argent qu'Eddie, Vincent finit par accepter. Eddie emmène ensuite les deux jeunes gens dans un voyage de six semaines, au cours duquel il compte apprendre à ce joueur encore inexpérimenté, comment devenir un parfait «arnaqueur», en se servant de sa naïveté naturelle pour berner ses adversaires, et empocher un maximum de fric. -
19de Martin Scorsese avec Willem Dafoe, Harvey Keitel, Paul GrecoFilm fantastique, Drame | 2h44Synopsis : L'évocation de la vie de Jésus Christ, écartelé entre son humanité et sa divinité. -
20(1968)de Martin Scorsese avec Peter BernuthDrame | 6m
cath44
“ Lame sanglante dans la blancheur clinique du quotidien. Dans cet enfer fondu au rouge, Scorsese dénonce une guerre sacrifiant ses hommes. ” — cath44 19 juin 2016
J'ai trouvé Shutter Island très moyen, très typique des blockbuster américain de notre époque. Du tape à l'oeil, et un twist à la Nolan qui m'insupporte. Je l'ai noté quand même 3/5 car il y a des images plutôt sympa.
Le Loup de Wall-Street, je crois que je n'ai pas compris ce film tant beaucoup de monde l'adore. Je l'ai trouvé malsain comme pas possible. Encore du tape à l'oeil. Scorsese connaît bien le public et en rajoute des tonnes sachant que ça va attirer le spectateur lambda. En fait, je suis embêté par ce film, on a l'impression qu'il valorise le personnage principal tandis que c'est un salop de première. Je ne sais pas trop quoi en penser.
Taxi Driver : Un poil déçu en sortant du visionnage (c'était à l'époque où je tenais un ciné-club où l'on projetait des films dans un grand amphi, c'était donc notre cinéma perso !) tant la violence était contenu dans une seule scène, et assez rapidement évacué. Mais après coup, les images ont commencé à me marquer. Il y a une seule scène choc, oui, et ça contraste pas mal avec des films plus récents (où on a tendance à voir un étalage de scènes chocs qui finissent par aseptiser le propos), là, le fait qu'il y en ait qu'une seule rend le film plus marquant. Cette violence est donc plus intense. Et puis, j'ai aimé cette mélancolie nocturne du héros solitaire. J'ai aussi aimé cette ambivalence entre le côté humain du héros, et son côté "bestial". On le voit lorsqu'il tente de séduire la militante. Elle est belle, éduquée et cultivée. Lui, n'est qu'un chauffeur de taxi. Elle lui parle de musiciens, mais il n'y connaît rien. Il veut l'épater et l'amène au cinéma, mais il n'y a que le cinéma porno qu'il connaît. Donc, on sent qu'il est attiré par la lumière, mais qu'il ne peut se dégager de son milieu naturel. J'ai vraiment bien apprécié ce film !
Raging Bull : Un film qui ressemble beaucoup à Taxi Driver. Encore un personnage brutal, violent, et bestial qui cherche à s'élever, à atteindre la lumière. Mais il n'y parvient pas. Dans ma MC, j'ai dit que le boxeur n'arrive pas à triompher de lui-même, c'est à dire de ses mauvaises pulsions. C'est un homme qui à un moment de sa vie pouvait prétendre au bonheur en fondant une famille, mais qui ne parvient pas à rester dans cet état là, et finit par tout gâcher, tout sacrifié. La scène où il se bat contre le mur, c'est à dire, contre lui-même, dans la prison est très marquante. Et puis, il y a ces scènes de bonheur qui sont montré comme des souvenirs de vacances, et donc comme quelque chose d’intangible, d'abstrait.
Je sais que Scorsese accorde une grande place à la religion. Personnellement, je me sens athée, mais j'ai trouvé un lien très fort à la religion dans ses deux films les plus anciens que je ne retrouve pas dans Shutter Island et Le Loup de Wall Street, où j'ai l'impression que ce sont les oeuvres d'un réalisateur malin et expérimenté qui sait faire un film qui va trouver le succès commercial, mais sans y mettre un peu de son âme.