★ Nobuko Otowa 乙羽信子 mon Top

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Liste de 13 films par Arch_Stanton

| 27 vues

25%

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Wedding ring
(1950)

de Keisuke Kinoshita avec Jūkichi Uno, Kinuyo Tanaka, Toshirō Mifune

1h36

1 micro-critique | Sa note :

Arch_Stanton
Sa note :

“ Quand le mélodrame se fait immense peinture des heurs et malheurs de la faiblesse humaine. Il y a Kinoshita pour capter tout cela ... ” — Arch_Stanton 5 juin 2022
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Les Enfants d'Hiroshima
(1952)

de Kaneto Shindō avec Nobuko Otowa, Osamu Takizawai, Niwa Saito

Drame | 1h35

4 micro-critiques | Sa note :

Arch_Stanton
Sa note :

“ Terrifiante exposition de l'horreur humaine, appliquée aux enfants, ces magnifiques petits cobayes suffisamment discrets, sans droit de vote ” — Arch_Stanton 25 juin 2019
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3

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Onibaba
(1964)

de Kaneto Shindō avec Kei Satō, Nobuko Otowa, Jitsuko Yoshimura

Film d'horreur | 1h45

91%
27 micro-critiques | Sa note :

Arch_Stanton
Sa note :

“ Dans un dépouillement terrifiant, dans un mutisme horrifiant, la révolte des laissés pour compte des guerres féodales. Choc esthétique ! ” — Arch_Stanton 29 janvier 2016
12 commentaires
4

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Les vampires
(1968)

de Kaneto Shindō avec Nobuko Otowa, Kichiemon Nakamura, Kiwako Taichi

1h39

93%
4 micro-critiques | Sa note :

Arch_Stanton
Sa note :

“ Contrairement à l'idée reçue "Kuroneko" n'est pas l'origine de la figure du chat dans la J-Horror, mais il y lape allègrement. Et avec génie ” — Arch_Stanton 25 juin 2019
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5

5

Genji monogatari
(1951)

de Kōzaburō Yoshimura avec Kazuo Hasegawa, Michiyo Kogure, Machiko Kyō

2h01

1 micro-critique | Sa note :

Torrebenn
Sa note :

“ De ce Dit séculaire et ultradapté par toutes sortes d'époques et d'artistes Yoshimura tire une version archi-classique. Belle, forcément. ” — Torrebenn 21 juillet 2019
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6

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Miss Oyu
(1951)

de Kenji Mizoguchi avec Kinuyo Tanaka, Eitarō Shindō, Nobuko Otowa

Drame | 1h29

86%
20 micro-critiques | Sa note :

Arch_Stanton
Sa note :

“ Amours impossibles cherchent conventions sociales un peu plus souples pour s'épanouir dans écrin tissé par génie nippon. Ecrire Vodkaster. ” — Arch_Stanton 17 mai 2018
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7

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Une auberge à Ōsaka
(1954)

de Heinosuke Gosho avec Hiroko Kawasaki, Nobuko Otowa, Haruo Tanaka

2h02

2 micro-critiques | Sa note :

Torrebenn
Sa note :

“ Glissement progressif de la vertu vers le vice ... Ou comment un honorable ryokan peut tourner en lupanar ... L'argent pourrit tout ! ” — Torrebenn 21 décembre 2018
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8

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Dobu
(1954)

de Kaneto Shindō avec Noriko Honma, Nobuko Otowa, Jūkichi Uno

1h51

2 micro-critiques | Sa note :

Arch_Stanton
Sa note :

“ La femme-objet, la femme-marchandise. Dans un Japon d'après-guerre ravagé tout se vend, tout se casse, tout disparaît dans un courant féroce ” — Arch_Stanton 10 avril 2022
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9

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Nippon Tanjō
(1959)

de Hiroshi Inagaki avec Toshirō Mifune, Takashi Shimura, Kinuyo Tanaka

3h02

1 micro-critique | Sa note :

Arch_Stanton
Sa note :

“ Hiroshi Inagaki a été chargé de cette immense fresque shintō censée représenter les origines mythologiques du Japon. Baroque et édifiant ! ” — Arch_Stanton 17 septembre 2022
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10

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À l'approche de l'automne
(1960)

de Mikio Naruse avec Nobuko Otowa, Jun Fujimaki, Katamari Fujiwara

1h19

93%
4 micro-critiques | Sa note :

Torrebenn
Sa note :

“ Y a-t-il plus touchant que ce jeune garçon, perdu dans la grande ville et dont la mère même se désintéresse. Papillon ébloui de lumières ... ” — Torrebenn 22 juillet 2019
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11

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Un amour éternel
(1961)

de Keisuke Kinoshita avec Hideko Takamine, Keiji Sada, Tatsuya Nakadai

1h43

1 micro-critique | Sa note :

Torrebenn
Sa note :

“ Les avanies subies par Takamine seront à même de foutre les larmes à quiconque, si sa frimousse de pilier du Cinéma japonais ne le fait pas. ” — Torrebenn 22 juillet 2019
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Le Fusil de chasse
(1961)

de Heinosuke Gosho avec Nobuko Otowa, Fujiko Yamamoto, Mariko Okada

1h38

1 micro-critique | Sa note :

Torrebenn
Sa note :

“ Gosho, petit malin, mène en bateau son spectateur de la première à la dernière minute de son drame. L'art du contre-pied ! ” — Torrebenn 21 juillet 2019
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Haha
(1963)

de Kaneto Shindō avec Nobuko Otowa, Kei Satō, Taiji Tonoyama

1h41

1 micro-critique | Sa note :

Arch_Stanton
Sa note :

“ Violence totale dans le drame social vécu par les hibakusha ces victimes d'Hiroshima d'autant plus silencieuses quand elles sont des enfants ” — Arch_Stanton 4 octobre 2022
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