Top Alejandro González Iñárritu
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Membre du Tequila Gang, le fameux groupe de réalisateurs mexicains qu'il forme avec Guillermo Del Toro et Alfonso Cuarón, Iñárritu a un parcours qui fascine, car il a beaucoup évolué au fil des ans, son cinéma a d'abord été essentiellement social, voulant capter la vie d'une manière la plus réaliste possible, pour ensuite virer doucement vers le fantastique et le spiritisme, pour enfin interroger la religion, la croyance. S'il n'a jamais su s'élever au niveau du génie du Tequila Gang (Cuarón) et s'il ne s'est jamais montré aussi original et créatif que Del Toro, il a su empreinter les gimmicks de ses confrères pour les utiliser dans des projets très ambitieux. La portée hautement ambitieuse de ses films peuvent parfois le rendre prétentieux et mégalomane, c'est pourquoi il divisera toujours. Mais pour le meilleur ou pour le pire, Alejandro González Iñárritu est un réalisateur qui sait prendre des risques, et ça fait du bien dans le cinéma actuel.
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1(2015)
TrueCine
“ Vengeance mutant en survival mutique aux confins de contrées glaciales. Se relever, marcher, courir, se battre jusqu'à son dernier souffle. ” — TrueCine 24 février 2016 -
2(2003)Synopsis : On dit que nous perdons tous 21 grammes au moment précis de notre mort... Le poids de cinq pièces de monnaie. Le poids d'une barre de chocolat. Le poids d'un colibri. 21 grammes. Est-ce le poids de notre âme? Est-ce le poids de la vie? Paul attend une transplantation cardiaque. Cristina, ex-junkie, est mère de deux petites filles. Jack sort de prison et redécouvre la foi. A cause d'un accident, ils vont s'affronter, se haïr... et s'aimer. -
3(2010)Drame | 2h27
TrueCine
“ Inárritu se penche sur le dernier souhait d'un homme, ne pas tomber dans l'oubli, survivre dans l'esprit de ceux qui l'aime et qu'il aide. ” — TrueCine 12 février 2016 -
4(2005)Drame | 2h23Synopsis : En plein désert marocain, un coup de feu retentit. Il va déclencher toute une série d'événements qui impliqueront un couple de touristes américains au bord du naufrage, deux jeunes Marocains auteurs d'un crime accidentel, une nourrice qui voyage illégalement avec deux enfants américains, et une adolescente japonaise rebelle dont le père est recherché par la police à Tokyo. Séparés par leurs cultures et leurs modes de vie, chacun de ces quatre groupes de personnes va cependant connaître une même destinée d'isolement et de douleur... -
5(2000)
TrueCine
“ Après 90 premières minutes frôlant la perfection, Inárritu s'embourbe dans un mélo larmoyant sorti de nulle part, terriblement décevant. ” — TrueCine 13 mars 2016 -
6(2014)
TrueCine
“ Techniquement sidérant mais affublé d'une mise en scène à la longue assommante et d'une drôle de fin, Birdman est pour moi une déception. ” — TrueCine 21 février 2015
42 commentaires
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ProfilSupprime
commentaire modéré @Joe_Shelby Bof choppé la grippe d'ailleurs faut faire gaffe il y'a une épidémie en ce moment16 octobre 2018 Voir la discussion... -
TrueCine
commentaire modéré @Joe_Shelby Ok mais rien ne justifie ce plan séquence, certains y voient une métaphore de la vie mais il comporte des ellipses ce qui casse la théorie pour moi.14 mars 2016 Voir la discussion...
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Joe_Shelby
commentaire modéré @salutvodkaster Je sais on l'a pratiquement tous choppé au boulot, épidémie de merde :/ Manquerait plus que ce soit la grippe "Captain Trips" et on y passe tous :p14 mars 2016 Voir la discussion... -
Joe_Shelby
commentaire modéré @TrueCine Un réel plan séquence de 2 heures est pratiquement impossible, pas avec un tel scénario. D'ailleurs tu remarqueras qu'au début du film et à sa fin dans la chambre, il n'y a plus de plan séquence. C'est volontairement fait exprès, c'est comme une sorte de démonstration de la prise de conscience, où le bouclage de la boucle (c'est selon les interprétations).14 mars 2016 Voir la discussion...
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TrueCine
commentaire modéré @Joe_Shelby je trouve que le film aurait dû s'arrêter à la fin du faux plan séquence, je trouve la toute fin de trop et assez incompréhensible, elle m'a conforté dans l'idée que le film est du vent...14 mars 2016 Voir la discussion...
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Joe_Shelby
commentaire modéré @TrueCine La fin reste une fin ouverte, tout dépend comment tu l'interprètes va lire l'article que j'avais écrit il y a un peu plus d'un an sur mon blog, j'explique pas mal de choses et une perception de la fin qui m'est propre.14 mars 2016 Voir la discussion...
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TrueCine
commentaire modéré @Joe_Shelby je l'avais lu mais il y a tellement d'interprétations qu'au final je vois pas l'intérêt de faire une fin pareille14 mars 2016 Voir la discussion...
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Joe_Shelby
commentaire modéré @TrueCine Bah c'est le principe de la fin ouverte (multiple interprétation). c'est pareil pour Blade Runner (avant la version director's cut), pour Fight Club, pour Donnie Darko, pour Solaris, pour 2001, pour Mullholand Drive, pour Shutter Island (et encore là pas vraiment), pour Stay, et j'en passe et ça n'en fait pas des films de merde pour autant. La subjectivité est justement un supplément artistique même si beaucoup le voient comme une facilité scénaristique.14 mars 2016 Voir la discussion...
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Joe_Shelby
commentaire modéré (Désolé je fais à bouffer en même temps)14 mars 2016 Voir la discussion...
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TrueCine
commentaire modéré @Joe_Shelby Dans ces films la fin est toujours justifiée, mais pas pour Birdman je trouve14 mars 2016 Voir la discussion...
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