“ 3 ans après "Autopsie d'un meurtre", Preminger se livre à l'autopsie d'une nomination politique avec le même talent et la même intelligence. ”— LeoL12 septembre 2012
Synopsis : Mark Dixon est détective à New York. Réputé pour sa brutalité envers les criminels, il mène une enquête sur le meurtre d'un riche Texan poignardé après avoir gagné 19 000 $ aux jeux. Au cours de son investigation, Dixon interroge le suspect principal, Ken Payne. Le truand l'agresse et, pendant la bagarre, reçoit un coup de poing meurtrier. Désemparé devant cette situation, Dixon décide de faire disparaître le corps. Un chauffeur de taxi est alors soupçonné, mais Dixon tombe amoureux de sa fille, Morgan Taylor.
“ Héritier de Psycho, précurseur de Polanski, Bunny Lake dérange & fascine par sa mise en scène,son interprétation & son ambiance remarquables ”— LeoL 2 février 2012
Synopsis : Le film suit la route de l'Exodus, le bateau qui amena les immigrants juifs en terre d'Israël après la guerre, ainsi que les négociations avec les autorités britanniques. Le nouvel Etat d'Israël se voit par la suite attaqué de toutes parts.
Synopsis : Frankie Machine revient dans son quartier après un séjour dans un centre de désintoxication. Là-bas il y a appris la batterie où un ami lui annonça qu'il avait un don pour les percussions. Enthousiasmé il va tenter de contacter un impresario pour devenir batteur, ce que sa femme Zosh, dans un fauteuil roulant depuis un accident de voiture, ne souhaite pas afin que Frankie reste auprès d'elle. Mais malheureusement d'anciennes mauvaises fréquentations reviennent vers lui et le font rapidement replonger dans la drogue. Frankie est alors tiraillé entre les dealeurs envers qui il a des dettes et doit pour rembourser être donneur au poker pendant de longues veillées, entre sa femme qui sent que Frankie ne se soucie plus d'elle et qu'il va la quitter, et entre son amie Molly qui tente de le sortir de la drogue...
Synopsis : Au XVIIe siècle, Ambre St Clare, une belle jeune femme très ambitieuse mais de condition modeste, est prête à tout pour gravir rapidement les échelons de l’ascension sociale. Elle sera déchirée entre l’amour qu’elle porte à Bruce Carlton et ses ambitions. Banni d’Angleterre, Bruce part précipitamment laissant Ambre enceinte et sans argent. Jetée en prison car criblée de dettes, elle s’évade grâce à Black Jack Mallard, met au monde son fils dans les bas fonds de Londres, et peu à peu, remonte la pente. Après bien des aventures, elle devient comédienne de théâtre pour mieux s’exposer dans la haute société. Fortement courtisée, elle épouse le vieux Lord Radcliffe qui l’introduit à la cour. Le roi Charles II la remarque au grand dépit de son mari. La peste s’abat sur Londres et sachant Bruce revenu, Ambre quitte tout pour le sauver de l’épidémie. Mais son mari la rattrape et informe Bruce de leur mariage. Bruce quitte Ambre de nouveau...
Synopsis : Un ambulancier est contacté par la famille Tremayne à la suite de "l'accident" dont est victime la maîtresse de maison. Engagé comme chauffeur, il tombe sous le charme de la belle-fille de Mme Tremayne, Diane, dont le visage angélique semble cacher de noirs desseins.
Synopsis : Qui a tué Laura Hunt, une ravissante jeune femme qui doit une partie de sa notoriété au chroniqueur Waldo Lydecker ? L'inspecteur Mark McPherson mène l'enquête et interroge notamment Lydecker, qui considère Laura non seulement comme sa création, mais aussi comme un être lui appartenant.
“ Truffé d'invraisemblances, "Whirlpool" parvient malgré tout à séduire, probablement grâce au grand talent de mise en scène de Preminger. ”— LeoL24 août 2012
Synopsis : Lorsqu'il arrive dans la petite ville de Walton, Eric Stanton est sans le sou. Il rencontre Stella, une serveuse de café à la beauté obsédante. Tout en s'éprenant de celle-ci, Eric séduit June Ellis que tout oppose à la première. Un mariage arrangé pourrait le sortir d'affaire mais Stella est retrouvée morte...
Synopsis : En 1875, Matt Calder, un ancien repris de justice veuf, vient chercher Mark, son fils âgé de neuf ans, dans un camp de chercheurs d'or. C'est Kay, une chanteuse de saloon, qui avait pris l'enfant sous son aile. Contraints de fuir les Indiens, l'homme, la jeune femme et le fils se retrouvent à descendre sur un radeau fragile une rivière quelque peu mouvementée.
Synopsis : Sainte Jeanne (en anglais Saint Joan) est un film américain, réalisé en 1957 par [Otto Preminger|a:Otto-Preminger] d'après la pièce Sainte Jeanne de [Bernard Shaw|a:Bernard-Shaw] avec [Jean Seberg|a:Jean-Seberg] dans le rôle de Jeanne d'Arc.
Synopsis : A Rome en 1939, Stephen Fermoyle est ordonné cardinal. A cette occasion, il se souvient des principales étapes de sa vie. Natif de Boston, il seconde en 1917 le responsable d'une petite paroisse. Mais l'archevêque Glennon l'envoie au fin fond du Canada, où il devient le secrétaire particulier d'un prêtre malade. Lorsque sa soeur meurt en couche, il décide de retourner à la vie laïque.
Synopsis : Pendant la Seconde guerre mondiale, dans le Sud des Etats-Unis, au milieu d'un camp militaire, la jolie Carmen Jones (Dorothy Dandridge) aux moeurs légères fait tourner les têtes des soldats, provoquant des rivalités jalouses. Joe (Harry Belafonte) se laisse séduire, abandonne sa gentille fiancée pour la sulfureuse Carmen et devient déserteur. Il est mis en prison mais Carmen accepte d'attendre sa sortie pour qu'ils continuent de filer leur parfait amour...
“ Aussi bien réalisé et visuellement beau qu'un épisode de Derrick. Pour son dernier film, Preminger manque terriblement d'inspiration. ”— LeoL 9 septembre 2012
Ta note sur "Under your Spell" et ta MC sur son dernier film confirment ce qu'on m'a dit de son début de carrière comme de sa conclusion : qu'ils étaient assez insignifiants.
commentaire modéré@gustaveshaimi A l'exception (notable) de Laura avec lequel j'ai un inexplicable "problème", nos tops ne sont pas si éloignés, ils sont même plutôt proches !
Et pour des gens ayant fait Sciences Po (je ne me trompe pas n'est-ce pas ? Je crois l'avoir lu quelque part), comment ne pas aimer ce chef-d’œuvre qu'est Tempête à Washington.
(Pas besoin d'avoir fait Sciences Po pour trouver ce film absolument génial d'ailleurs hein :p)
Quant à ses débuts, à part Under your spell (que j'ai totalement oublié d'ailleurs), je n'ai rien vu. Pareil pour sa fin de carrière d'ailleurs, The Human factor étant considéré comme l'un de ses moins pires, je n'ai pas eu trop envie de voir les autres... Cela dit pour ce dernier, j'ai peut-être été un peu dur. C'est clairement pas bon mais bizarrement, avec le temps, je n'en ai pas un souvenir si mauvais que ça. C'est surtout que pendant les rétrospectives (moi c'était pendant celle de la cinémathèque française y a un ou deux ans), les films mineurs ont tendance à l'être encore plus face aux nombreux bons ou très bons films du réal que l'on a enchainé sur une courte période.
commentaire modéré@LeoL Bien d'accord sur cette remarque sur le contexte de rétrospective qui tend à nous rendre plus sévère sur les films (comparable au contexte de festival où se produit généralement la même chose) !
Et oui, je termine bien actuellement mes études à Sciences Po :)
http://www.vodkaster.../Top-Otto-Preminger3
Ta note sur "Under your Spell" et ta MC sur son dernier film confirment ce qu'on m'a dit de son début de carrière comme de sa conclusion : qu'ils étaient assez insignifiants.
Et pour des gens ayant fait Sciences Po (je ne me trompe pas n'est-ce pas ? Je crois l'avoir lu quelque part), comment ne pas aimer ce chef-d’œuvre qu'est Tempête à Washington.
(Pas besoin d'avoir fait Sciences Po pour trouver ce film absolument génial d'ailleurs hein :p)
Quant à ses débuts, à part Under your spell (que j'ai totalement oublié d'ailleurs), je n'ai rien vu. Pareil pour sa fin de carrière d'ailleurs, The Human factor étant considéré comme l'un de ses moins pires, je n'ai pas eu trop envie de voir les autres... Cela dit pour ce dernier, j'ai peut-être été un peu dur. C'est clairement pas bon mais bizarrement, avec le temps, je n'en ai pas un souvenir si mauvais que ça. C'est surtout que pendant les rétrospectives (moi c'était pendant celle de la cinémathèque française y a un ou deux ans), les films mineurs ont tendance à l'être encore plus face aux nombreux bons ou très bons films du réal que l'on a enchainé sur une courte période.
Et oui, je termine bien actuellement mes études à Sciences Po :)