Palmira Omiccioli, connue sous le pseudonyme de Eleonora Rossi Drago (née le 23 septembre 1925 à Gênes, dans le quartier Quinto al mare - morte le 2 décembre 2007 à Palerme, Sicile) était une actrice de cinéma et de théâtre italienne. Elle a atteint le sommet de sa notoriété dans le cinéma italien des années cinquante et soixante, tournant avec des réalisateurs tels que Luigi Comencini, Clemente Fracassi, Michelangelo Antonioni, Valerio Zurlini et Giuseppe De Santis. Le dernier film qu'elle ait interprétée date de 1970. Elle a également travaillé pour la télévision, interprétant des rôles dans différents téléfilms.
Un dandy, séduit par la beauté de son portrait, vend son âme au diable pour que seul le tableau subisse les ravages du temps. Pendant qu'il mène une vie de débauche, la toile s'enl...
Un homme est décapité dans le salon d’une grande demeure espagnole. Une femme enterre le cadavre dans le jardin sous les yeux d’un couple d’enfants. Treize ans plus tard, les enfan...
Adaptation cinématographique des 22 premiers chapitres de la Bible : de la Création à la mise à l'épreuve d'Abraham, en passant par le péché originel, Abel et Caïn, le Déluge et la...
Comédie composée de 9 épisodes :
un cavalier mystérieux fait escale dans une ferme isolée, un dandy urbain se fait passer pour un mari modèle, un prisonnier naïf se voit accorder ...
Le film raconte, avec un premier documentaire découpé puis comme une comédie italienne, l'arrivée d'un groupe d'étrangers dans un village de la Vénétie profonde: une enquête des Ca...
“ Une jeunesse oisive qui croit échapper à la guerre. Elle survient. La passion aussi. Sublime Roberta (E. Rossi Drago) qui seule ne plie pas. ”— Bosco17 août 2018
“ Vittorio Gassman en macho polymorphe. Le sketch tourné avec la belle Eleonora Rossi Drago annonce par ailleurs «Affreux, sales et méchants». ”— Bosco17 mars 2018
“ La portée satirique disparaît sous la célébration grotesque du cabotinage des hommes triomphant de la dignité féminine. N'en parlons plus. ”— A_Nos_Amours28 août 2014
“ Le film qui me confirme que Jean Marais était donc bien le Jason Statham français, avec le soupçon de classe des années 1950 en sus. ”— Arch_Stanton 3 juin 2013