Serge Gainsbourg

Acteur, réalisateur, scénariste
Né à Paris, France le 2 avril 1928, mort le 2 mars 1991
Connu pour...

Biographie de Serge Gainsbourg

Son père, Joseph Ginsburg, d'abord intéressé par la peinture, était entré au Conservatoire de Petrograd, puis à celui de Moscou pour étudier la musique : il y avait choisi le piano. Puis, en Crimée, il devait rencontrer Olia Besman, une séduisante mezzo-soprano qui deviendra son épouse. C'est en 1919 que Joseph et Olga quittent la Russie pour Paris, fuyant la guerre, le bolchevisme et l'antisémitisme, passent par Istanbul, puis Marseille. Joseph est pianiste de bar et de cabaret, Olga chante au conservatoire russe. Ils vivent rue de la Chine dans le 20e arrondissement de Paris. Ils ont un premier fils, Marcel, qui meurt en bas âge de maladie. Ils auront ensuite une fille, Jacqueline, en 1926, puis des faux jumeaux, Liliane et Lucien, en 1928, nés à la maternité de l'Hôtel-Dieu de Paris sur l'Île de la Cité. La famille Ginsburg obtient la nationalité française le 9 juin 1932.
Dans son enfance, le petit Lucien vit à Paris dans les quartiers populaires, dans le 20e puis le 9e arrondissement. Son père tente de lui apprendre le piano classique et le pousse vers le monde de la peinture.
Les années de la guerre sont difficiles : il est obligé de porter l'étoile jaune (« Une étoile de shérif », dira-t-il plus tard par dérision, ou « Je suis né sous une bonne étoile ... jaune »). Il devra même se cacher trois jours durant dans une forêt tandis que les SS recherchent les Juifs. La famille se réfugie en province, dans un village de Haute-Vienne, le Petit Vedeix, en 1944, sous le nom de Guimbard.
Durant la guerre, la famille Ginsburg s'est vue retirer entièrement la nationalité française par une commission spéciale mise en place par le régime de Vichy, au motif qu'ils sont « israélites sans intérêt national ». Sur l'un des rapports de la commission, retrouvé en 2010, on peut lire, à propos de Joseph, le père de Serge : « Exerçant la profession de pianiste, le nommé Ginsburg qui se déplace fréquemment réside actuellement à Lyon. Son fils Lucien est inscrit au collège Du Guesclin. Il ressort néanmoins que l'intéressé a quitté la capitale en 1941 pour la zone libre pour s'éviter des ennuis en raison de sa confession. » La commission tranche : « retrait général ». Serge Gainsbourg n'a jamais rien su de cette dénaturalisation.
De retour à Paris après la libération, la famille s'installe dans le XVIe arrondissement de Paris. Lucien est en échec scolaire et abandonne peu avant le bac au lycée Condorcet. Il s'inscrit alors aux Beaux-Arts mais est rebuté par les hautes études mathématiques et abandonne. Il rencontre là en 1947, Élisabeth Levitsky, fille d'aristocrates russes qui a des accointances avec les surréalistes et qui devient sa compagne jusqu'à leur mariage le 3 novembre 1951.
L'année 1948 est une année importante pour Lucien, qui fait son service militaire à Courbevoie, où il sera envoyé régulièrement au trou pour insoumission. Il commence là sa « période » éthylique ; privé de permission, il s'enivre au vin avec ses camarades de régiment. C'est également durant cette période qu'il apprend à jouer de la guitare.
Jusqu'à l'âge de trente ans, Serge Gainsbourg vit de petits boulots. Il est tour à tour professeur de dessin, de chant, surveillant... Mais son activité principale est la peinture. Il aurait aimé être un génie de la peinture comme Francis Bacon ou Fernand Léger, dont il fut l'élève, mais, en 1954, il abandonne rapidement la bohème pour devenir crooner de piano-bar dans les casinos de la côte comme le Touquet Paris-Plage, où il joue au Club de la Forêt, ou Deauville et dans des boîtes parisiennes comme Madame Arthur.
Il a une révélation en voyant Boris Vian au Milord l'Arsouille, qui écrit et interprète des textes provocateurs, drôles, cyniques, loin des vedettes du moment, comme Dario Moreno ou Annie Cordy. Plus tard, engagé comme pianiste d'ambiance par Francis Claude, directeur artistique du cabaret, Serge Gainsbourg accompagnera à la guitare la chanteuse Michèle Arnaud. En 1957, c'est par hasard que Michèle et Francis découvrent avec stupéfaction les compositions de Gainsbourg en allant chez lui voir ses toiles. Le lendemain, Francis Claude pousse sur scène Serge qui, mort de trac, interprétera son propre répertoire (y compris Le poinçonneur des lilas). Puis Claude le présente dans son émission sur Paris-Inter le 5 janvier 1958. Michèle Arnaud (et plus tard, en 1966, son fils Dominique Walter) sera d'ailleurs la première interprète de Serge. Il commence à déposer ses titres à la SACEM. Elle enregistrera, dès 1958, les titres La Recette de l'amour fou, Douze Belles dans la peau, Jeunes Femmes et vieux messieurs et La Femme des uns sous le corps des autres. C'est là qu'il fait ses premières armes, compose de nombreuses chansons et même une revue musicale. Il se lance aussi dans sa course effrénée aux femmes, qu'il séduit en grand nombre, ce qui l'éloigne de son épouse, Elizabeth Levitzky, dont il divorce en octobre 1957, six ans après leur mariage.
Il entre en studio et commence sa fructueuse collaboration avec Alain Goraguer, déjà arrangeur de Boris Vian. Son premier album, Du chant à la une d'où est extrait Le Poinçonneur des Lilas, premier succès en 1958, détonne mais est un échec commercial. Il est remarqué par Marcel Aymé, qui dit que ses chansons « ont la dureté d'un constat ». Son maître Boris Vian, avant de mourir en 1959, le compare à Cole Porter.
Lorsque l'époque des yéyés arrive, il est alors âgé de 32 ans, il n'est pas très à l'aise : il passe en première partie de Brel ou de Gréco, mais le public le rejette et les critiques, cruelles, se moquent de ses grandes oreilles et de son nez proéminent. Débute, avec Gréco, une collaboration qui durera durant toute cette période "Rive Gauche", dont le point d'orgue sera "La Javanaise" à l'automne 1962.
Il fera en 1964 quelques duos avec l'artiste Philippe Clay auquel il ressemble alors de façon troublante.
Il rencontre alors Elek Bacsik et Michel Gaudry et leur demande de faire un disque avec lui. Ce sera Gainsbourg Confidentiel empreint d'un jazz archimoderne qui plaisait tant à Gainsbourg, mais qui, il le sait, ne lui permettra jamais d'atteindre le succès. Ce disque ne se vend qu'à 1 500 exemplaires. Sa décision était prise dès la sortie du studio : « Je vais me lancer dans l'alimentaire et m'acheter une Rolls ». Malgré tout, son album suivant, Gainsbourg Percussions, inspiré (parfois directement - et sans droit d'auteur !) des rythmes africains de Miriam Makeba et Babatunde Olatunji, reste encore à l'écart de la vague yéyé qui apparaît et fera la fortune de Gainsbourg.
C'est en écrivant pour Juliette Gréco (Accordéon, La Javanaise) et Petula Clark (La Gadoue) qu'il rencontre ses premiers succès, mais c'est avec Françoise Hardy (Comment te dire adieu ?) et surtout France Gall qu'il va réussir à séduire un public jeune. Après ses premiers succès gainsbourgiens (N'écoute pas les idoles, Laisse tomber les filles), France Gall remporte, en 1965, le grand Prix du Concours Eurovision de la chanson après avoir choisi le titre Poupée de cire poupée de son, écrite par Gainsbourg à l'instigation de Maritie et Gilbert Carpentier, parmi les dix qu'on lui proposait. La chanson lauréate devient le tube international qui passe sur toutes les ondes et que France Gall enregistre même en japonais. Gainsbourg continue dans la veine du succès avec France Gall, en 1966, grâce à Baby Pop et surtout aux Sucettes à l'anis.
Il échappe en tant qu'interprète au ghetto de la "chanson française de variétés" (par opposition à la pop) avec Qui est in ? Qui est out ?, qui passera largement à l'émission Salut les copains, lui donnant son entrée à part entière chez les "yéyés".
En 1967, il écrit la chanson Le Sable et le Soldat en soutien à Tsahal pendant la Guerre des Six Jours.
Fin 1967, il vit ensuite une passion courte mais torride avec Brigitte Bardot à qui il dédie la chanson Initials B.B. après lui avoir écrit quelques titres emblématiques : Harley Davidson, Bonnie and Clyde, Je t'aime... moi non plus; ce dernier titre enregistré avec elle en duo en 1967 en version symphonique fut rendu célèbre l'année suivante par Jane Birkin (la version originale, d'abord gardée secrète par Serge Gainsbourg à la demande de Brigitte Bardot, ne sortira qu'en 1986 : elle sera elle aussi un tube).
Sur le tournage du film Slogan, en 1968, il rencontre Jane Birkin pour laquelle il sera à nouveau auteur-compositeur. Je t'aime... moi non plus et 69 Année érotique sont d'immenses succès qui dépassent les frontières. Ils deviennent pendant dix ans un couple très médiatique, à la une de l'actualité, chacun enchaînant tournage sur tournage.
Pour l'anecdote, Serge et Jane s'étaient déjà rencontrés, sans se voir, lors de la mort d'Edith Piaf, le 10 octobre 1963. Cette dernière habitait le même immeuble que Jane, alors adolescente vivant dans une famille française, et s'étaient croisés alors que tout le monde s'agglutinait pour regarder la dépouille de la chanteuse.
Les années 1970 sont marquées par l'écriture et la composition de quatre albums phares : Histoire de Melody Nelson en 1971, Vu de l'extérieur (et son tube Je suis venu te dire que je m'en vais) en 1973, Rock around the bunker en 1975, et L'Homme à tête de chou avec ses sulfureuses Variations sur Marilou en 1976. Si, au départ, ces albums rencontrent peu de succès commercial (les ventes plafonnent à 30 000 exemplaires), ils le hissent à l'avant-garde de la chanson française . Histoire de Melody Nelson est accueilli par la presse comme « le premier vrai poème symphonique de l'âge pop » . Avec Rock around the bunker il pousse la provocation à son comble : il tourne en dérision, au second degré, l'esthétique nazie. L'album, enregistré à Londres, est radicalement rejeté par les programmateurs de radio qui ne voient dans cette farce à la Boris Vian qu'une provocation scandaleuse avec des titres comme Nazi rock, SS si bon ou Tata teutonne. Pourtant, à la fin de la décennie 1980, cet album sera couvert de disques d'or . Il compose également des tubes comme L'Ami Caouette. En 1979, il rejoint le groupe rock Bijou sur scène et verse une larme : le jeune public rock lui fait une ovation.
En mai 1973, Serge Gainsbourg est victime d'une crise cardiaque, et la transforme en élément promotionnel en annonçant à la presse, depuis son lit d'hôpital, qu'il va réagir « en augmentant sa consommation d'alcool et de cigarettes ». Il continue à boire et à fumer, fidèle au personnage qu'il est en train de devenir.
Il cultive son aura d'artiste culte en participant à de nombreux films. Malheureusement pour lui, s'il est considéré comme un acteur de talent, il ne tourne pratiquement que dans des films de peu d'ampleur . En 1976 il se lance pour la première fois dans la réalisation cinématographique. Son film Je t'aime moi non plus obtient très vite une réputation sulfureuse avec un scénario audacieux touchant aux tabous de l'homosexualité et de l'érotisme. Il réalise trois autres films (dont Équateur en 1983) qui obtiennent peu de succès, les sujets abordés étant souvent provocateurs, que ce soit l'inceste (Charlotte for Ever en 1986), l'exhibitionnisme (Stan the Flasher) ou l'homosexualité...
En 1979, son nouvel album enregistré à Kingston devient disque de platine en quelques mois. La Marseillaise reggae choque le journaliste du Figaro Michel Droit qui écrit un article virulent selon lequel, en antisémitisme, «il y a aussi des rabatteurs ». Serge Gainsbourg lui répondra par voie de presse dans un article intitulé On n'a pas le con d'être aussi Droit. Un double CD réunissant nouveaux mixages, enregistrements inédits, versions dub et d'artistes jamaïcains est paru en 2003.
La salle de concert de Strasbourg où il doit se produire est investie par des membres d'une association d'anciens parachutistes militaires qui désapprouvent sa version de La Marseillaise, mais Gainsbourg garde tout son sang-froid et prend les paras au dépourvu en chantant a cappella, et le poing tendu, la version originale de l'hymne français : les paras sont donc de ce fait obligés de se mettre au garde à vous après un moment de flottement, comme en témoignent les bandes d'actualités de l'événement. « J'ai mis les paras au pas ! », s'amusera-t-il dans l'émission « Droit de réponse » de Michel Polac; et de fait, les paras, estimant avoir eu réparation, se retirent. Gainsbourg poursuit une tournée triomphale, accompagné de Sly and Robbie et des choristes de Bob Marley : les I Threes. Un double CD, Gainsbourg et cætera réunissant de nouveaux mixages de l'intégrale d'un concert au théâtre Le Palace de Paris restitue ce qui reste son meilleur enregistrement en public.
Les boîtes de nuit, les beuveries, le noctambulisme, la décrépitude physique... De plus en plus, « Gainsbarre » succédera à Gainsbourg avec quelques apparitions télévisées plus ou moins alcoolisées. Il forge ainsi sa légende de poète maudit mal rasé et ivre qui lui vaut tantôt l'admiration, tantôt le dégoût. En septembre 1980, après plus de dix ans de vie commune, Jane Birkin n'en peut plus et le quitte. Elle admet lors d'une émission télévisée réalisée après sa mort : « J'avais beaucoup aimé Gainsbourg, mais j'avais peur de Gainsbarre ». Renaud s'inspirera de l'évenement pour sa chanson Dr Renaud, Mister renard.
Serge rencontre une nouvelle égérie, Bambou, pour laquelle, il ne peut, une fois de plus, s'empêcher de composer. Il lui fera chanter quelques titres qui ne rencontrent pas les faveurs du public (Made in China, 1989). Il continuera cependant d'écrire pour Jane Birkin.
Gainsbourg enregistre son nouvel album reggae à Nassau aux Bahamas avec la même équipe que le précédent. On peut y entendre les paroles de Ecce Homo :
Au lieu de mettre en scène la naissance de Gainsbarre, la version alternative de ce morceau évoque le décès de Gainsbourg. Intitulée Ecce Homo et cætera, elle n'a été publiée qu'en 2003 sur un double CD réunissant nouveaux mixages, enregistrements inédits, versions dub et d'artistes jamaïcains. Selon Bambou, présente à Nassau, le fait que ce morceau ne fasse surface qu'après sa mort était "intentionnel".
Son oeuvre quasi-intégrale sort en coffret CD. Il contient de nombreux titres introuvables que les collectionneurs s'arrachent à prix d'or ; toutefois, les chansons écrites pour ses interprètes ne sont pas incluses, ni un certain nombre d'inédits, ni les concerts. Il part ensuite pour New York où il enregistre ses deux derniers albums, Love on the Beat et You're Under Arrest. Après le reggae, il se frotte au hip-hop et au funk. Il se produit de longues semaines en concert au Casino de Paris.
Gainsbourg s'éteint le 2 mars 1991 à la suite d'une cinquième crise cardiaque. Il avait composé un album de blues avant sa mort et avait prévu de partir l'enregistrer à la Nouvelle-Orléans quelques jours plus tard.
Il est enterré avec ses parents au cimetière du Montparnasse (1re section) à Paris où sa tombe est l'une des plus visitées avec celles de Jean-Paul Sartre -- Simone de Beauvoir et de Charles Baudelaire qu'il mit en musique (Baudelaire (« Le serpent qui danse »), Album nº 4, 1962). La tombe porte le nom de Serge Gainsbourg et de ses parents, Olga (1894-1985) et Joseph (1896-1971) Ginsburg.
Lors de son enterrement, le 7 mars 1991, vinrent notamment parmi la foule, outre sa famille, Catherine Deneuve, Isabelle Adjani, Françoise Hardy, Patrice Chéreau, Eddy Mitchell, Renaud, Johnny Hallyday, les ministres Jack Lang et Catherine Tasca, et les brigades de cuisiniers et serveurs du restaurant « L'Espérance » où il avait passé ses derniers jours. Catherine Deneuve lut sur la tombe le texte de la chanson Fuir le bonheur de peur qu'il se sauve .

Filmographie de Serge Gainsbourg

  • 1
    Jane par Charlotte
    Taux de satisfaction de la communauté
    48%
    Charlotte Gainsbourg filme sa mère, Jane Birkin.
    1h26
    Ma note :
  • 2
    Le Brio
    Taux de satisfaction de la communauté
    29%
    (2017)
    un film de Yvan Attal
    Neïla Salah a grandi à Créteil. Jeune femme brillante, elle rêve de devenir avocate. Inscrite à l'Université d'Assas, dans les beaux quartiers parisiens, elle suit les cours de Pie...
    1h35
    Ma note :
  • 3
    Whitney : Can I Be Me
    Documentaire retraçant la carrière de la chanteuse Whitney Houston, de son heure de gloire au début des années 1990 à son décès soudain en février 2012.
    1h45
    Ma note :
  • 4
    Françoise Hardy - La discrète
    L'ex-chanteuse yéyé et idole des jeunes à la voix sensuelle s'est muée en élégante icône de la pop, dont l'influence demeure vivace chez nombre de créateurs. Portrait sensible de F...
    0h54
    Ma note :
  • 5
    Je suis venu vous dire...
    Taux de satisfaction de la communauté
    58%
    Une autobiographie réinventée en donnant la parole à Serge Gainsbourg. A la première personne, en utilisant simplement tout ce qu'il a dit aux uns et aux autres, que ce soit édité ...
    1h38
    Ma note :
  • 6
    Public Speaking
    un film de Martin Scorsese
    Fran Lebowitz, essayiste et humoriste américaine née en 1950, n'a écrit que deux essais et un livre pour enfants. Elle est surtout connue pour ses citations légendaires et son sens...
    1h22
    Ma note :
  • 7
    Les Plages d'Agnès
    Taux de satisfaction de la communauté
    82%
    un film de Agnès Varda
    En revenant sur les plages qui ont marqué sa vie, Varda invente une forme d'autodocumentaire. Agnès se met en scène au milieu d'extraits de ses films, d'images et de reportages. El...
    1h50
    Ma note :
  • 8
    Stan the flasher
    Taux de satisfaction de la communauté
    35%
    un film de Serge Gainsbourg
    Les obsessions de Serge Gainsbourg en un mot d'auteur: "C'est Adam qui cherche sa Eve, mais qui n'a plus la seve. C'est un esthete qui souffre de l'ingratitude de sa morphologie."
    1h10
    Ma note :
  • 9
    Jane B. par Agnès V.
    Taux de satisfaction de la communauté
    56%
    un film de Agnès Varda
    Portrait de l'actrice britannique sous forme de collage d'entretiens et de sketches. Un exemple original et recherché de film biographique.
    1h45
    Ma note :
  • 10
    Charlotte for ever
    Taux de satisfaction de la communauté
    45%
    un film de Serge Gainsbourg
    Le mieux pour resumer ce film sans le trahir est de laisser son auteur le faire: "Stan, scenariste a la derive, ayant connu sa demi-heure de gloire dans quelque studio hollywoodien...
    1h34
    Ma note :

Avis sur les films de Serge Gainsbourg

Télérama © 2007-2024 - Tous droits réservés - web1 
Conditions Générales de Vente et d'Utilisation - Confidentialité - Paramétrer les cookies - FAQ (Foire Aux Questions) - Mentions légales -