Ce qu'en pense la communauté
- 77%
- 10 notes
- 5 veulent le voir
Micro-critique star (bredele) :
bredele
(à propos de Chabrol, l'anticonformiste)
“ Finalement on reste fidèle à ce que l'on est: Godard reste un vieil escroc, Rivette reste un vieux puritain et moi je suis un vieux rigolard ”
— bredele
18 février 2019
-
bredele
(à propos de Chabrol, l'anticonformiste)
“ Finalement on reste fidèle à ce que l'on est: Godard reste un vieil escroc, Rivette reste un vieux puritain et moi je suis un vieux rigolard ”
— bredele
18 février 2019
-
Anna_K
commentaire modéré @bredele Je te rejoins. J'ai, pour ma part, préféré "Le grand bain" et je regrette aussi que l'un n'ait eu qu'un lot de consolation, et l'autre, "En liberté" rien du tout.23 février 2019 Voir la discussion... -
Alan_Smithee
commentaire modéré Pour l'anecdotique anecdote : Chabrol avait coutume de choisir ses lieux de tournage en fonction de ses bonnes tables préférées !3 mars 2019 Voir la discussion... -
bredele
commentaire modéré @Alan_Smithee comme on le comprend!3 mars 2019 Voir la discussion...
-
-
jenanaipa
(à propos de Chabrol, l'anticonformiste)
“ Franchouillard dans le bon sens du terme, Chabrol n'en reste pas moins l'un des cinéastes les plus punks de son époque, et un sacré client. ”
— jenanaipa
9 avril 2022
-
ianov
commentaire modéré Excuse moi je tombe sur ta mc ... Je te reprendrais bien sur la qualification de "franchouillard", et de surcroit "dans le bons sens du terme"...Est ce d'ailleurs cette association de mots sans aucun sens, pour moi, ou son application à Chabrol qui me choque le plus...? Punk ensuite ? Allez... !! Quoi de plus diamètralement opposé...! Client par dessus ? De quoi ? Qui? Pardon mais là ...je vois bien que ton envie de "dé-normer" un réalisateur que sans doute tu apprécies te fait tomber dans quelque paradoxe critique.... -
jenanaipa
commentaire modéré @ianov Merci pour ton commentaire, très intéressant, qui me fait réfléchir sur la façon dont je rédige mes mc. Parfois je les travaille et les formule jusque obtenir une musicalité et un ressenti qui m'aille, parfois comme ici, c'est un jet immédiat sur lequel je n'essaie même pas d'avoir un quelconque recul.
Je vais tenter de m'expliquer.
Pour franchouillard dans le bon sens du terme, il y a ce coté rabelaisien du terme, un bon vivant, aimant faire ripaille, avec un rire gras, une bonhommie naturelle, un franc parler non feint, mais sans le coté bourrin, chauvin, vulgaire et bidochon que l'on pourrait associer à ce qualificatif.
Pour le coté punk, il est évident que Chabrol se fout royalement de la notoriété, de plaire au milieu du cinéma, qu'il préfère dynamiter de l'intérieur, en pervertissant la plupart des genres auxquels il s'est adonné, avec ses histoires de bourgeois bien sous tout rapport en apparence qui sont tous aussi détraqués les uns que les autres.
Pour sacré client, il s'agit de Chabrol en tant qu’interviewé à la télé, on emploie ce terme pour exprimer que c'est à chaque fois un spectacle en soit (tout comme pour Godard d'ailleurs), un délice de l'écouter répondre à sa façon aux questions, jamais avare pour surprendre son interlocuteur et le spectateur grâce à sa vivacité d'esprit.
Voila pour mon ressenti sur le bonhomme, bien réducteur je l'admets, mais c'est ce qui m'est venu après la vision du documentaire.
-
Claude Chabrol
Paul Gégauff
Jean-Claude Brialy
Bernadette Lafont
François Cluzet
Cécile Maistre
Benoît Delépine
Jacques Santamaria
Alain Wermus
Monique Pinçon-Charlot
François Guérif
Pascal Mérigeau
Arnaud Le Guern
Stéphane Audran
