Noirs et Blancs en couleurs

(1976)

un film de Jean-Jacques Annaud

Bien q

Noirs et Blancs en couleurs

(1976)

un film de Jean-Jacques Annaud

Ce qu'en pense la communauté

67%
57 notes
37 veulent le voir

Micro-critique star (goodfeles) :

(à propos de Noirs et Blancs en couleurs)

Sa note :

“ Avant la guerre du Feu, Annaud ironise celle contre le Chleuh en fustigeant le colonialisme français. Carmet et Dufilho y vont de bon cœur. ” — goodfeles 6 juin 2024

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georges.b1
(à propos de Noirs et Blancs en couleurs)

Sa note :

“ Parabole satirique sur le colonialisme français en Afrique‚ niaiserie et racisme du nationalisme‚ Oscar du meilleur film étranger ! ” — georges.b1 16 avril 2018
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ProfilSupprime
(à propos de Noirs et Blancs en couleurs)

“ Casting d'une grande justesse, sujet essentiel, tout ça sous l’œil d'Annaud, qui des ce premier film, devient un très grand. Œuvre majeure ! ” — ProfilSupprime 25 janvier 2014
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goodfeles
(à propos de Noirs et Blancs en couleurs)

Sa note :

“ Avant la guerre du Feu, Annaud ironise celle contre le Chleuh en fustigeant le colonialisme français. Carmet et Dufilho y vont de bon cœur. ” — goodfeles 6 juin 2024
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Casting de Noirs et Blancs en couleurs

Jean Carmet

Jacques Dufilho

Catherine Rouvel

Jacques Spiesser

Benjamin Memel Atchory

Maurice Barrier

Peter Berling

Marius Beugre Boignan

Dora Doll

Marc Zuber

Natou Koly

Klaus Huebl

Tanoh Kouao

Jean-François Eyou N'Guessan

Infos sur Noirs et Blancs en couleurs

Réalisé par Jean-Jacques Annaud

Côte d’ivoire, France, Allemagne, Suisse - 1h31 - Drame, Comédie
Titre original : La Victoire en chantant
Sortie le 22 septembre 1976

Synopsis

Alors que la guerre fait rage en Europe en ce mois de janvier 1915, un groupe de colons français, ignorant de ces faits, mène une vie paisible à Fort Caulais, un comptoir reculé de l'Afrique. Après avoir jeté le trouble au sein de la petite communauté, l'annonce du conflit suscite un bel élan de patriotisme et l'on décrète rapidement la mobilisation générale pour aller en découdre avec un poste voisin tenu par quelques Allemands. Des épiciers et leurs épouses, deux missionnaires, un sergent de carrière et un jeune géographe composent l'état-major. L'armée proprement dite ne compte, elle, et dans chaque camp, que des Africains, enrôlés de force. La première bataille est perdue. Fort de cette expérience, les Français acceptent un nouveau chef qui, sans les conduire à une victoire décisive, leur rendra honneur et dignité grâce à une discipline aussi efficace que rigoureuse.