Synopsis : Lors d'un colloque d'astronomie, le professeur Barbenfouillis (Georges Méliès) propose à ses confrères d'organiser une expédition sur la Lune. Son idée est de s'y faire envoyer à l'aide d'un obus spatial qui sera propulsé au moyen d'un canon géant. Le lancement réussit et les six savants embarqués découvrent que la lune est habitée par une population locale, les Sélénites, et sont faits prisonniers.
Synopsis : L'ingénieur Los réceptionne un curieux message qui semble venir de l'espace. Déçu par sa femme Natacha qui se laisse séduire par la bourgeoisie russe, Los s'évade en rêvant de la planète Mars. Il imagine une société totalitaire où il pourrait mener la révolution, et tomber amoureux de la reine Aelita.
Synopsis : Des ouvriers travaillent dans les souterrains d'une fabuleuse métropole de l'an 2026. Ils assurent le bonheur des nantis qui vivent dans les jardins suspendus de la ville. Un androïde mène les ouvriers vers la révolte
Synopsis : Un scientifique découvre qu'il y a de l'or sur la lune. Il construit une fusée pour y aller mais il y a trop de rivalité au sein de l'équipe pour que l'expédition soit couronnée de succès.
“ Prodigieuse expérience intellectuelle, sensorielle et poétique.
Une date pour l'histoire de la science-fiction et du cinéma. Étourdissant. ”— huitetdemi23 avril 2011
Synopsis : Un homme, Claude Ridder, oscille entre la vie et la mort après une tentative de suicide. A sa sortie de clinique, deux mystérieuses personnes l'abordent et lui proposent une expérience fantastique : essayer une machine à remonter le temps. Cela a pour l'instant été tenté avec des souris, mais jamais avec un homme. Ridder, qui n'a rien à perdre, accepte leur proposition. Il sera donc le premier cobaye humain. Conduit dans un centre de recherches, il se prête aux derniers préparatifs. Ce voyage dans le temps doit lui permettre de retrouver, durant une minute, sa vie de l'année précédente. Mais après quelques instants de fonctionnement, la machine se dérègle...
Synopsis : Un mystérieux signal est lance de l'espace. Sur Terre, dans le désert d'Arizona, des fourmis noires d'une espèce inconnue attaquent les humains.
Au cours de ses observations en Arizona, l'entomologiste Ernest D. Hubbs est intrigué par une variété inconnue de fourmis noires, qui élimine un à un ses prédateurs. Un phénomène contre-nature qu'il décide d'étudier avec la collaboration de son assistant, James Lesko, spécialiste du langage animal. Tous deux installent sur place un laboratoire ultramoderne et entament une série d'expériences, non sans avoir évacué la région. Mais un couple de vieillards, les Eldridge, refuse d'abandonner la ferme qu'il occupe avec sa petite fille, Kendra...
“ Golem joyeux, fantaisiste et enfantin. Satire tendre et inventive sur l'épouvante. On pense aux films produits par la Hammer des "fifties". ”— huitetdemi17 juin 2011
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Juste une interrogation qui m'est venue en regardant la liste, pourquoi mettre dans un top 10 des films que tu n'as visiblement que peu apprécié?
(Et j'aurais plutôt mis Frankenstein dans la catégorie du fantastique ou de l'épouvante!)
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mon "notage" est vraiment foutraque et j'ai pas l’énergie de la remanier (faudrait que je retrouve le post ou je m'explique…).
Pour résumer l'embrouillamini, je note uniquement ce que j'aime et à partir de 2½ (qu'est for me une note très honorable).
Pour Frankenstein : euh, beh, c'est un peu de la science de fiction non ?
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Ah oui il m'avait semblé sur un autre film que tu avais tenté d'expliquer ton système pour noter, en vain, mais c'est atypique au moins.
Je l'ai tellement vu et lu en lui donnant une étiquette fantastique que j'ai du mal à le voir autrement, la frontière est mince en même temps...
(Et j'aurais plutôt mis Frankenstein dans la catégorie du fantastique ou de l'épouvante!)
Pour résumer l'embrouillamini, je note uniquement ce que j'aime et à partir de 2½ (qu'est for me une note très honorable).
Pour Frankenstein : euh, beh, c'est un peu de la science de fiction non ?
Je l'ai tellement vu et lu en lui donnant une étiquette fantastique que j'ai du mal à le voir autrement, la frontière est mince en même temps...