“ À défaut de pouvoir conter l'Histoire, raconter seulement ce beau hasard, le souvenir. Poésie(s) pour une déclaration. D'amour, de cinéma. ”— Apocalypse1217 août 2016
“ L'amour vient s'échouer délicatement sur les rives italiennes, le désamour germe, nimbé d'une douce mélodie, pour ensuite se muer en mépris. ”— Apocalypse1224 mai 2014
Synopsis : Ferdinand Griffon est un homme qui vit avec sa femme et ses enfants. Il est un peu désabusé car il vient de perdre son emploi à la télévision. Un soir, alors qu'il revient d'une désolante soirée mondaine chez ses beaux-parents, il se rend compte que la baby-sitter qui était venue garder ses enfants est un ancien flirt, Marianne. Il décide de tout quitter et de partir avec elle vers le Sud de la France, dans un grand périple où se mêleront trafic d'armes, complots politiques, rencontres incongrues, mais aussi des pauses bucoliques et des déchirements amoureux.
Synopsis : Les mésaventures tragi-comiques de deux jeunes paumes, Frantz et Arthur, qui avec l'aide d'Odile, jeune fille naïve, tentent un coup minable.
Synopsis : L'histoire en 12 tableaux de Nana, jeune vendeuse désargentée qui rêve de devenir actrice et en vient, peu à peu, à se livrer à la prostitution.
“ En organisant, dans un même mouvement, la scène et son contre-champ, Godard libère de ces lambeaux revivifiés une quiétude tourmentée. ”— Apocalypse1230 janvier 2015
“ De cette course enragée face à la mort s'enfuient l'amour et la désinvolture. Plus de passé ni de futur, seulement du présent en mouvement. ”— Apocalypse12 3 janvier 2015
Synopsis : "Rien que le silence, rien qu'un chant révolutionnaire, une histoire en cinq chapitres, comme les cinq doigts de la main." Une réflexion sur le monde arabe en 2017 à travers des images documentaires et de fiction.
Synopsis : Carmen demande à son oncle Jean de lui prêter sa villa normande sous prétexte d'y tourner un documentaire. En fait, Carmen a menti : la maison doit lui servir de refuge après le hold-up d'une grande banque. Joseph, un gendarme, est amoureux fou de Carmen. Lorsqu'il vient l'arrêter, il cède à sa passion et tous deux s'enfuient. Rattrapé plus tard par la police, Joseph est arrêté et condamné à purger une peine de deux mois de prison. Carmen, elle, prépare un nouveau «braquage», plus ambitieux : celui de l'hôtel Intercontinental à Paris. Cette fois, elle prend le prétexte du tournage d'un film pour pouvoir s'introduire de façon discrète dans l'établissement. Elle s'y rend avec Joseph, sorti de prison, l'oncle Jean et ses acolytes...
Synopsis : Une symphonie en trois mouvements.Des choses comme ça :En Méditerranée, la croisière du paquebot. Multiples conversations, multiples langues entre des passagers presque tous en vacances...Notre Europe :Le temps d’une nuit, une grande sœur et son petit frère ont convoqué leurs parents devant le tribunal de leur enfance. Ils demandent des explications sérieuses sur les thèmes de liberté, égalité, fraternité.Nos humanités :Visite de six lieux de vraies/fausses légendes, Egypte, Palestine, Odessa, Hellas, Naples et Barcelone.
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Immense poète. Surement mon réalisateur français préféré. Pas pour la personne que je ne comprends pas toujours et qui me semble de plus en plus allumée en vieillissant, mais bien pour cette oeuvre monumentale. Tu as vu les pricipaux (À Bout de Souffle restant pour moi aus dessus de tous les autres, il t'as un peu moins touché visiblement ^^, Pierrot, Le Mépris, Histoire(s), Adieu au Langage, Bande À Part, Vivre sa Vie -> que des très grands films ou des chefs d'oeuvres). Il te manque cependant Alphaville qui est un essentiel à plus d'un titre, Masculin Féminin comme le précise 1534, Une Femme est une Femme comme te le rappelle bredele et j'ajouterais Week-End, également superbe (même si à mes yeux Alphaville reste le plus important à voir). Je te partage ici mon top perso : http://www.vodkaster...ms/top-j-l-g/1306511 VK indique que je n'ai vu que 20% de sa filmo ce qui représente déjà plus d'une vingtaine de films ! C'est dire l'étendu de son apport au 7ème art !
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@1534 : Merci pour ce conseil ! @Dalecoop : Je prends note de toutes ces indications ! A Bout de Souffle m'a en effet moins touché, même si son goût de la liberté, sa désinvolture m'enivrent. Je lui préfère tout de même le tragique mis en place dans Pierrot le Fou ou Le Mépris. Histoire(s) du Cinéma est un bouleversement personnel, une œuvre qui me parait d'une ampleur rarement égalée...
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Histoire(s) du cinéma a quelque chose de quasi mythologique en effet.
Et Pierrot et Le Mépris s'imposent évidemment en stèles du cinéma français.
Mais j'avoue que le tandem Belmondo-Seberg qui anime un film au rythme parfaitement maîtrisé, avec cette désinvolture unique comme tu le dis si bien, qui servira de ligne directrice pour des cinéastes comme Scorsese, Tarantino ou même Friedkin en un sens ça donne une nature et un goût très particulier à cette poésie effrénée d'une 100aine de minutes...
Enfin bon je sais que je porte un amour inconsidéré pour ce film qui restera normalement (si il n'y a pas un déferlement de chefs d'oeuvres dans les années à venir -> ce qui me paraît mal engagé) dans mon top 30/40 jusqu'à ma mort.
Pas dégueulasse quoi ♥
commentaire modéré@Apocalypse12 Je ne peux te conseiller n'ayant vu moi même que 2 films de ce monument de la nouvelle vague : A bout de souffle et Le mépris. Tout deux fascinant avec une grande préférence pour le deuxième. Mais tes sublimes MCs me redonnent envie de découvrir ce fascinant personnage.
@Dalecoop : Je prends note de toutes ces indications ! A Bout de Souffle m'a en effet moins touché, même si son goût de la liberté, sa désinvolture m'enivrent. Je lui préfère tout de même le tragique mis en place dans Pierrot le Fou ou Le Mépris. Histoire(s) du Cinéma est un bouleversement personnel, une œuvre qui me parait d'une ampleur rarement égalée...
Et Pierrot et Le Mépris s'imposent évidemment en stèles du cinéma français.
Mais j'avoue que le tandem Belmondo-Seberg qui anime un film au rythme parfaitement maîtrisé, avec cette désinvolture unique comme tu le dis si bien, qui servira de ligne directrice pour des cinéastes comme Scorsese, Tarantino ou même Friedkin en un sens ça donne une nature et un goût très particulier à cette poésie effrénée d'une 100aine de minutes...
Enfin bon je sais que je porte un amour inconsidéré pour ce film qui restera normalement (si il n'y a pas un déferlement de chefs d'oeuvres dans les années à venir -> ce qui me paraît mal engagé) dans mon top 30/40 jusqu'à ma mort.
Pas dégueulasse quoi ♥
@jenanaipa : Pas un grand fan de la Nouvelle Vague en général ? $