Synopsis : Un vagabond, devenu l'amant de la femme de son patron, aide celle-ci à se débarrasser de son mari, en maquillant le crime en accident. Puis, parce qu'on le croit coupable d'avoir tué la jeune femme dans un accident de voiture, il est condamné à mort.
“ On se demande quand même comment Visconti a bien pu faire passer la pilule aux autorités fascistes. Et si ça aussi était de la Résistance ? ”— Torrebenn 4 juillet 2013
“ Un an avant que Dieu ne la crée, c'est dans ce rôle sensible et pudique que Brigitte Bardot est la plus sensuelle et la plus impudique. ”— Arch_Stanton13 avril 2013
“ Je ne sais pas pour vous, mais moi, si Catherine Rouvel me donnait la chair de poule (même avec un flingue), j'irais pas me plaindre. ”— Arch_Stanton26 novembre 2013
Synopsis : Renvoyé de l'armée et averti du décès de sa mère, Thomas retourne à Jerichow, une petite ville du Nord-Est de l'Allemagne. Il souhaite rénover la maison familiale et démarrer une nouvelle vie, mais les perspectives de travail se font rares dans la région. Sa route croise celle d'un entrepreneur de restauration rapide, Ali, marié à Laura. Lorsque ce dernier embauche Thomas comme chauffeur, Laura s'éprend de lui : le couple illégitime décide très vite d'éliminer Ali...
commentaire modéré@bredele Je ne suis pas d'accord avec toi, il y a eu de bien meilleures versions que ce film faussement provocateur de Bob Rafelson. Elles sont ici.
commentaire modéré
@Torrebenn je ne connais pas Le dernier Tournant, si les Amants Diaboliques est un chef d'œuvre ce n'est pas pour autant la meilleure adaptation et celle de Garnett vaut surtout pour le maillot de bain blanc de Lana Turner
commentaire modéré@bredele Je préfère largement la version de Garnett, ne serait-ce que pour Lana, certes, mais évidemment pour John Garfield !
Et j'aime beaucoup les deux dérivés bien français "La Lumière d'en face" dans lequel Bardot est torride et "Chair de poule" carrément méconnu.
commentaire modéré
@Torrebenn Chair de Poule à l'air carrément passionnant : dialogues de Barjavel d'après James Hadley Chase, mise en scène Duvivier et Catherine Rouvel, pulpeuse et mésestimée. La Lumière d'en face, je m'en souviens assez bien, et li me semble que Bardot s'en tirait bien. Mais là, l'histoire est différente, elle n'est pas l'instigatrice d'un meurtre.
Et j'aime beaucoup les deux dérivés bien français "La Lumière d'en face" dans lequel Bardot est torride et "Chair de poule" carrément méconnu.