Synopsis : Comme son titre l'indique, il s'agit bien d'une histoire vraie, celle d'Alvin Straight qui, a soixante-treize ans, après une mauvaise chute, décidé de quitter Laurens, village du nord de l'Iowa, pour retrouver son frère ainé qui vient d'avoir une attaque. Les deux frères sont fâchés depuis dix ans. Malgré son état de santé médiocre et après avoir réfléchi à leur contentieux, Alvin décide d'aller voir Lyle dans le Wisconsin et entreprend un voyage de plusieurs centaines de kilomètres par ses propres moyens.
Synopsis : Dans les années 1960, dans un pays du bassin méditerranéen, un député progressiste (Yves Montand) est assassiné. Le juge d'instruction chargé de l'enquête (Jean-Louis Trintignant) met en évidence le rôle du gouvernement, notamment de l'armée et de la police dans cet assassinat.
Synopsis : Après avoir été capturé par des paysans, un enfant sauvage est amené au Docteur Itard, à Paris. La plupart du monde scientifique le considère comme un enfant attardé, mais le Docteur Itard va réussir à éveiller ses capacités intellectuelles.La marge est étroite entre la sauvagerie civilisée de la vie parisienne et les règles brutales de vie dans la nature. Victor trouve un semblant d'équilibre près des fenêtres qui marquent la transition entre l'enfermement et le dehors. Les bougies et les airs de mandoline jouent aussi les médiateurs. Mais Victor paie son adaptation à des relations sociales en perdant sa capacité à vivre comme un sauvage.
Synopsis : Dans les années soixante, le jeune Frank Abagnale Jr. est passé maître dans l'art de l'escroquerie, allant jusqu'à détourner 2,5 millions de dollars et à figurer sur les listes du FBI comme l'un des dix individus les plus recherchés des Etats-Unis. Véritable caméléon, Frank revêt des identités aussi diverses que celles de pilote de ligne, de médecin, de professeur d'université ou encore d'assistant du procureur. Carl Hanratty, agent du FBI à l'apparence stricte, fait de la traque de Frank Abagnale Jr. sa mission prioritaire, mais ce dernier reste pendant longtemps insaisissable...
Synopsis : Le récit du procès de Jeanne d'Arc en 1431, où elle fut accusée d'hérésie par des juristes ecclésiastiques décidés à lui faire abjurer ses prétentions de visions saintes, et au terme duquel elle fut brûlée sur le bûcher.
Synopsis : Trois jeunes gens rêvent de partir faire fortune aux Etats-Unis. Mais, manquant d’argent pour se lancer, ils concoctent un plan dangereux : la fille séduit des hommes riches tandis que deux les garçons s’introduisent chez eux et les cambriolent. Mais le premier essai tourne mal, et les garçons décident d’abattre froidement la victime.
Synopsis : Au coeur de la taïga de l'Oussouri, en Sibérie, Dersou Ouzala, chasseur solitaire et nomade depuis la mort de ses enfants et de sa femme, croise au cours de l'année 1902 l'expédition de l'explorateur russe Vladimir Arseniev, chargé de faire des relevés topographiques de la région. Dersou devient le guide de l'équipe et apprend peu à peu à Arseniev à connaître et à aimer la nature qui les environne. En échange de cet apprentissage à la fois intuitif et proche de la superstition, Arseniev partage volontiers ses connaissances scientifiques avec son nouvel et étrange ami. Mais le temps de la séparation arrive et les deux hommes réalisent la force des liens qui les unissent désormais...
“ Un regard chirurgical qui débarrasse la guerre de ses oripeaux "romantico-romanesques" et en exprime au final des humains "déshumains". ”— huitetdemi 1 décembre 2012
commentaire modéré@huitetdemi : excellent, mais je me doutais que ta liste allait me plaire....
Par contre, pourquoi du melon pour l'image de ta liste ???
Un message perso?
Une envie particulière ?
commentaire modéré
C'était pour l'allitération en "che" qui réCHauffe le cœur.
Bigarré et bariolé m'évoquent davantage des barbelés. Je les utilise plus volontiers dans un contexte péjoratif, violent ou tourmenté.
T'es dur quand même....
;-)
Par contre, pourquoi du melon pour l'image de ta liste ???
Un message perso?
Une envie particulière ?
;-)
Bigarré et bariolé m'évoquent davantage des barbelés. Je les utilise plus volontiers dans un contexte péjoratif, violent ou tourmenté.