日本 Yakuza eiga ヤクザ映画 : panorama
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1de Daisuke Itō avec Denjirō Ōkōchi, Ichikawa Ichimaru1h161 micro-critique | Sa note :Arch_Stanton“ De l'épopée picaresque et du sabre : mélange matriciel du Ninkyo Eiga, ancêtre de tous les films de yakuzas. Fondateur vous dis-je ! ” — Arch_Stanton 2 décembre 2021
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21h471 micro-critique | Sa note :Arch_Stanton“ Perdu, puis retrouvé, puis oublié pour finir non-vu et inconnu. Triste destin de l'un des piliers du Cinéma nippon. Rien de moins. ” — Arch_Stanton 2 décembre 2021
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3(1927)de Daisuke Itō avec Denjirō Ōkōchi, Kichiji Nakamura, Ranko Sawa1h472 micro-critiques | Sa note :Arch_Stanton“ La Trilogie fondatrice, matrice de tout un mur de la Cinémathèque légendaire du 7e Art nippon se clôt ici. Incontournable sans faute de goût ” — Arch_Stanton 2 décembre 2021
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4(1933)de Yasujirō Ozu avec Kinuyo Tanaka, Hideo Mitsui, Joji Oka1h40Arch_Stanton“ Ozu se frotte avec le plus grand talent au Film Noir de l'interlope Tōkyō des Yakuzas. Ourlant son récit des noirs desseins du feutre mou. ” — Arch_Stanton 1 octobre 2018
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5(1935)de Sadao Yamanaka avec Denjirō Ōkōchi, iyozo, Kunitaro SawamuraArch_Stanton“ Comédie et film d'aventures sur le fil de la lame. Le samouraï grossier et grotesque entame une quête picaresque. Et pour quelques 両 de plus ” — Arch_Stanton 9 avril 2018
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6(1935)1h031 micro-critique | Sa note :Arch_Stanton“ Conflit de générations. Crise économique et pauvreté rampante. Comment conserver les faux-semblants quand le bas-de-laine est percé ?! ” — Arch_Stanton 4 septembre 2022
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7(1936)de Mikio Naruse avec Nijiko Kiyokawa, Ko Mihashi, Masao Mishima1h002 micro-critiques | Sa note :Arch_Stanton“ Souris des champs découvre la Ville et ses vicissitudes. Rien ne l'avait préparé au mode de vie d'une pieuvre telle que Tokyo et son infini. ” — Arch_Stanton 14 avril 2021
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8(1937)Drame | 1h26Arch_Stanton“ Samouraï déchu, échoué dans les bas-fonds du Japon, dans la promiscuité. Sans pitié pour les symboles déchus d'un Empire en fin de course. ” — Arch_Stanton 31 janvier 2016
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9(1948)Drame | 1h38Arch_Stanton“ Duel d'âmes à la dérive entre abandons éthyliques et errances yakuzesques. Kurosawa offre une confrontation puissamment humaniste à 2 géants ” — Arch_Stanton 16 mars 2018
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10(1949)Arch_Stanton“ Fermez les yeux, laissez-vous aller, ouvrez les oreilles : vous avez entendu ?! Gabin parle japonais ! Et Mifune joue à Ménilmuche ! ” — Arch_Stanton 1 mars 2016
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11(1949)1h221 micro-critique | Sa note :Arch_Stanton“ En voyant cet Homme Invisible japonais dans les ruines d'un pays qui sort à peine des tempêtes de feu, je me dis qu'il y avait matière ... ” — Arch_Stanton 13 mai 2022
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12(1950)1h511 micro-critique | Sa note :Torrebenn“ Violence de la rue, iniquité de la corruption ... Le Japon d'Après-Guerre se réveille KO dans des errances sociales qu'une poignée combat. ” — Torrebenn 21 décembre 2018
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13(1950)1h452 micro-critiques | Sa note :Torrebenn“ Le Film Noir de Naruse ne se veut pas gangstérisant, mais il le peuple d'âmes à la dérive dans un pays gangrené par les petites combines ... ” — Torrebenn 14 novembre 2018
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14(1952)1h371 micro-critique | Sa note :Arch_Stanton“ Comédie sympathique et sans prétention qui tient essentiellement grâce à la douceur de Setsuko Hara et au cabotinage de Toshirō Mifune. ” — Arch_Stanton 10 septembre 2022
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15(1955)1h571 micro-critique | Sa note :Arch_Stanton“ Cette bonne idée de la voix-off berce toute cette belle fresque du quartier de Ginza, présenté en entomologiste, mais toujours avec humour. ” — Arch_Stanton 2 octobre 2022
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16(1956)de Masaki Kobayashi avec Keiji Sada, Keiko Kishi, Minoru Ōki1h511 micro-critique | Sa note :Torrebenn“ Le monde impitoyable du sport et de toute la faune qui gravite autour des stars du milieu. Kobayashi y applique son regard d'entomologiste. ” — Torrebenn 17 mai 2018
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17(1956)1h251 micro-critique | Sa note :Arch_Stanton“ Un temps, je me dis que le genre Taiyō-zoku n'est pas adapté à Kinoshita. Jusqu'à la scène finale où sa caméra virevolte avec violence ... ” — Arch_Stanton 6 juin 2022
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18(1957)de Masaki Kobayashi avec Agnes Mahr, Fumio Watanabe, Ineko ArimaDrame | 1h54Torrebenn“ Kobayashi ne cède pas aux facilités du "US go home" et pourtant à travers le miroir qu'il tend à ses compatriotes, il ne manque pas sa cible ” — Torrebenn 17 mai 2018
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19(1957)Drame | 2h17Arch_Stanton“ L'Auberge bouge et sur les chemins de la Criminalité déambulent paisiblement Misère et Violence, main dans la main ... ” — Arch_Stanton 31 janvier 2016
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20(1957)1h301 micro-critique | Sa note :Arch_Stanton“ Ces papillons de nuit, éblouis pas les lumières criardes de Ginza font oublier que, 12 ans auparavant, tout n'était que flammes et cendres. ” — Arch_Stanton 4 octobre 2022
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21(1958)1 micro-critique | Sa note :Arch_Stanton“ Un bon Suzuki qui, parfois a le travers de l'outrance, mais pas de cela ici. Juste une plongée en apnée dans le Tokyo interlope des yakuzas. ” — Arch_Stanton 30 avril 2021
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22(1958)de Toshio Masuda avec Yūjirō Ishihara, Mie Kitahara, Shoji Yasui1h30Arch_Stanton“ La Nikkatsu ne foire pas son incursion dans le Film Noir, mais peut-être qu'il y avait encore un peu de boulot pour égaler les collègues US. ” — Arch_Stanton 4 octobre 2022
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23(1960)1h371 micro-critique | Sa note :Torrebenn“ Mishima, intéressant détenteur du pouvoir du Film Noir japonais. Polar nerveux entre vrai thriller et dynamitage des codes. Bel équilibre ! ” — Torrebenn 23 mai 2018
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24(1960)1h351 micro-critique | Sa note :Arch_Stanton“ Un Film Noir nerveux dans lequel Okamoto met en balance devoir de policier et loyauté amicale. A Mifune de se dépatouiller avec son dilemme. ” — Arch_Stanton 30 avril 2021
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26(1960)de Nagisa Ōshima avec Junzaburō Ban, Kayoko Honoo, Isao SasakiDrame | 1h27Arch_Stanton“ Affreux, sales et méchants à Kamagasaki. L'Empire s'est écroulé (n'en déplaise aux nostalgiques révisionnistes) et il faut (sur-)vivre ! ” — Arch_Stanton 15 avril 2022
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27(1961)1h48Arch_Stanton“ Imamura crache son dédain à la face d'un peuple de cochons se vautrant dans la fange d'une occupation propice à toutes les combines ... ” — Arch_Stanton 19 juillet 2019
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28(1961)1h221 micro-critique | Sa note :Torrebenn“ Film noir loupé dans les grandes lignes. Sans surprise : Teruo Ishii n'est pas non plus l'un des plus grands artistes du Cinéma japonais ... ” — Torrebenn 26 juillet 2019
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30(1961)de Kinji Fukasaku avec Hitomi Nakahara, Sone Harumi1h231 micro-critique | Sa note :Arch_Stanton“ Fukasaku adopte tous les codes des films de gangsters US pour un résultat bancal, mais loin d'être déplaisant avec son casting cosmopolite. ” — Arch_Stanton 2 octobre 2022
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31(1962)1 micro-critique | Sa note :Arch_Stanton“ Archétype du film de Taiyō-zoku (la jeunesse nippone rebelle) et de Yankī (les petits truands adolescents), même si de l'eau a coulé ... ” — Arch_Stanton 30 avril 2021
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32(1963)Film d'action, Drame | 1h31Arch_Stanton“ Noir sec et violent, serré et burné du cinéma japonais des années 60. Porte-étendard d'un flingue qui fumait plus souvent qu'à son tour ! ” — Arch_Stanton 5 novembre 2018
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33(1963)de Jacques Deray avec Karlheinz Böhm, Keiko Kishi, Barbara Lass1h383 micro-critiques | Sa note :Arch_Stanton“ Un Deray des débuts, très faible, où rien ou presque n'est crédible. On se demande même comment ces bras-cassés peuvent parvenir jusque là. ” — Arch_Stanton 14 janvier 2022
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34(1964)de Masahiro Shinoda avec Mariko Kaga, Ryō Ikebe, Takashi FujikiTorrebenn“ Masahiro Shinoda a le mérite de proposer un personnage féminin qui existe par lui même et de belle envergure. Test de Bechdel : réussi. ” — Torrebenn 26 juillet 2019
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35(1964)de Kijū Yoshida avec Yasushi Suzuki, Miyuki Kuwano1h302 micro-critiques | Sa note :Torrebenn“ Rien de bien extraordinaire par rapport à ce qui était vendu. Un banal film de yakuzas qui se laisse regarder. Yoshida est très irrégulier. ” — Torrebenn 26 juillet 2019
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36(1964)de Seijun Suzuki avec Yumiko Nogawa, Satoko Kasai, Ikuko KasaiDrame | 1h30Torrebenn“ Carnaval urbain et farce citadine. Suzuki se vautre goulûment dans la fange des bas-fonds tokyoïtes pour une folle plongée multicolore ! ” — Torrebenn 9 février 2019
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37(1964)1h351 micro-critique | Sa note :Arch_Stanton“ Par trop outrancière, cette fresque des bas-fonds d'un Japon réduit à l'état de ruines et de colonie officieuse des USA reste percutante. ” — Arch_Stanton 14 mai 2023
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38(1965)de Kazuo Ikehiro avec Yukiji Asaoka, Mikio Narita, Raizō Ichikawa1h261 micro-critique | Sa note :Torrebenn“ Belle fresque historique dans laquelle Japon post-féodal & modernité des Yakuzas se mêlent intimement. Ikehiro est peut-être à découvrir ... ” — Torrebenn 9 février 2019
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39(1965)de Seijun Suzuki avec Kōji Takahashi, Masako Izumi, Yuji KotakaTorrebenn“ On s'emballe, on s'emballe et puis ... Il y a une certaine frustration à constater que l'emballage était mieux que le cadeau ... ” — Torrebenn 26 juillet 2019
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40(1965)de Haruyasu Noguchi avec Tatsuya Fuji, Eiji Gō, Yumiko Nogawa1h282 micro-critiques | Sa note :Arch_Stanton“ 1er volet de la Trilogie et l'on découvre l'incroyable force de Yumiko Nogawa qui, en vraie femme, porte ses couilles face aux yakuzas ! ” — Arch_Stanton 30 avril 2021
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41(1965)de Teruo Ishii avec Ken Takakura, Kōji Nambara1h32Synopsis : La prison d'Abashiri est située dans l'endroit le plus froid du Japon. Deux hommes, menottés l'un à l'autre, se sont échappés de la prison, l'un est un yakuza, l'autre un petit délinquant. Bien qu'ils se détestent, ils doivent travailler ensemble s'ils veulent éviter d'être capturés dans ce climat des plus rudes.
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42(1966)Film d'action, Drame | 1h22Arch_Stanton“ L'encre funèbre coule dans le fleuve noir d'une Tokyo jazzy. Même les crimes sont des moments où le fun le dispute à l'absurde ! ” — Arch_Stanton 17 février 2019
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43(1966)Polar | 1h32Torrebenn“ De meurtre en meurtre, le yakuza a tracé sa route sanglante. Il a délaissé le sabre de nos clichés pour le flingue de nos films ... ” — Torrebenn 14 février 2019
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441h202 micro-critiques | Sa note :Arch_Stanton“ La beauté de Yumiko face à la tronche inimitable de hamster de Jō Shishido. Chronique des guerres intestines dans les bas-fonds nippons ... ” — Arch_Stanton 30 avril 2021
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45(1967)de Seijun Suzuki avec Jō Shishido, Kōji Nambara, Isao TamagawaFilm d'action, Drame | 1h31Torrebenn“ J'ai physiquement du mal devant la face de hamster de Jō Shishido, alors de là à l'entendre hurler sans arrêt et sous-jouer. C'en était trop ” — Torrebenn 26 juillet 2019
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46(1967)1h243 micro-critiques | Sa note :Arch_Stanton“ A la fois Film Noir désabusé et Western urbain et contemporain. D'ailleurs, toute l'esthétique est Noire, quant au titre il vient de l'West. ” — Arch_Stanton 30 avril 2021
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47(1967)de Kazuo Mori avec Raizō Ichikawa, Yumiko Nogawa, Mikio Narita1h222 micro-critiques | Sa note :Torrebenn“ Tout en calme olympien et en silence oraculaire, ce tueur infaillible erre dans les rivages noirs de l'île aux yakuzas. Crime et classe ! ” — Torrebenn 23 février 2019
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481h38Synopsis : Avant de mourir, un des lieutenants de oryu lui avoue avoir du se battre pour protéger son honneur de femme.Oryu vient de reformer le clan Yano, mais sa quète initiatique a la recherche de la voie d'exemplarité n'est pas achevée. Hébergée par un ancien yakuza rentré dans le rang, oryu décide de l'aider a défendre les métayers, étranglés par leurs propriétaires terriens, eux mèmes ranconnés par des yakuzas en quète des fonds nécessaires à l’organisation d'un grand tournoi de cartes. Tournoi auquel la pivoine rouge a bien l'intention de participer... Episode le plus impur de la série lady yakuza, ce cinquième volet est signé par l'auteur du premier. On y retrouve les préocupations sociales et féministes des précédents, agrémentées d'outrances mélo et d'incursions pop dans le film de gangster...
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49de Noribumi Suzuki avec Tatsuo Endō, Bin Amatsu, Sumiko Fuji1h35Synopsis : Hébergé par le clan Togasaki qui gère le marché de la soie,Oryu est témoin de la souffrance des paysans étranglé par leur usuriers sans fois ni lois. Aprés avoir relevé le défi du redoutable couple de joueurs formé par Oren et son mari émasculé, Oryu décide d'aider Togasaki a contrer les manoeuvres crapuleuses d'un clan yakuza qui ambitionne de prendre le controle économique de la région par tous les moyens.D'abord en rachetant les reconnaissances de dettes des paysans, puis en créant sa propre filature de soie et enfin en s'attaquant traitreusement a Togasaki... Ce film approfondit la thématique ouvertement féministe du personnage de "la pivoine rouge", évoluant dans un milieu masculin. Réalisé par le futur maitre du pinku, ce second volet est également le plus érotique...
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50(1968)de Umetsugu Inoue avec Machiko Kyō, Masao Mishima, Minoru Ōki1h411 micro-critique | Sa note :Torrebenn“ Lézard noir pour Film Noir. Mais à cette noirceur des fleuves et des rivages connus, Inoue adjoint une folie polychrome digne de Suzuki. ” — Torrebenn 17 mars 2019
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