★ 1. Mon Top chronologique du Japon 日本 (1897-1940)

★ 1. Mon Top chronologique du Japon 日本 (1897-1940)

Liste de 63 films par Arch_Stanton

| 50 vues

De l'invention du Cinéma à l'avant-guerre ...

★ 2. 1941-1954 : De l'entrée en guerre du Japon à la "Révolution Godzilla" ... -> https://www.vodkaste...n--1941-1954/1423897
★ 3. 1955-1964 : De Godzilla aux Jeux Olympiques de Tokyo ... -> https://www.vodkaste...n--1955-1964/1424069
★ 4. 1965-1988 : De l'après JO de Tokyo à la fin de l'Ère Shōwa 昭和時代 -> https://www.vodkaste...n--1965-1988/1424009
★ 5. 1989-2000 : Du début de l'Ère Heisei 平成 à la fin du XXe siècle -> https://www.vodkaste...n--1989-2000/1424011
★ 6. 2001-2011 : Du début du XXIe siècle aux catastrophes de 2011 -> https://www.vodkaste...n--2001-2011/1424019
★ 7. 2012-2018 : De l'après Fukushima à la fin de l'Ère Heisei 平成 -> https://www.vodkaste...n--2012-2018/1424033
★ 8. 2019- ... : L'Ère Reiwa 令和 -> https://www.vodkaste...-japon--2019/1424035

Les fantastiques années du du Cinéma japonais 日本映画 sont à retrouver ci-dessous :
★ 1929 -> https://www.vodkaste...ma-japonais-/1389477
★ 1930 -> https://www.vodkaste...ma-japonais-/1392103
★ 1933 -> http://www.vodkaster...ma-japonais-/1388117
★ 1935 -> http://www.vodkaster...ma-japonais-/1386925
★ 1936 -> http://www.vodkaster...ma-japonais-/1386927
★ 1937 -> http://www.vodkaster...ma-japonais-/1388119
★ 1938 -> https://www.vodkaste...ma-japonais-/1397973
★ 1939 -> https://www.vodkaste...ma-japonais-/1397975
★ 1940 -> https://vodkaster.te...ma-japonais-/1435681

1

1

The Dragon Painter
(1919)

de William Worthington avec Sessue Hayakawa, Tsuru Aoki, Edward Peil

53m

1 micro-critique | Sa note :

Arch_Stanton
Sa note :

“ La Californie fait un bien beau Japon d'opérette et c'est tout ce beau film muet centenaire qui s'éclaire, dans un Japonisme sublime ! ” — Arch_Stanton 8 mai 2022
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2

2

Nikkô Temples, Kyoto, Japan
(1920)

de Burton Holmes

14m

1 micro-critique | Sa note :

Arch_Stanton
Sa note :

“ Promenade contemplative dans Nikkō, il y a plus de 100 ans ... De l'éternité des cèdres du Japon et de leurs ombres paisibles ... ” — Arch_Stanton 14 mai 2023
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3

3

Gōketsu Jiraiya
(1921)

de Shōzō Makino avec Matsunosuke Onoe, Shôen Kataoka, Kijaku Ôtani

21m

3 micro-critiques | Sa note :

Arch_Stanton
Sa note :

“ Un temps, on se dit que le Japon n'est pas encore passé au Cinéma, obnubilé qu'il est de son théâtre. Et puis, devant ça, finalement : si ! ” — Arch_Stanton 16 avril 2021
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4

4

Usagi to Kame
(1924)

de Sanae Yamamoto

7m

1 micro-critique | Sa note :

Torrebenn
Sa note :

“ Formidable reprise de la célèbre fable, vue à travers des yeux japonais et présentant tout un folklore plutôt méconnu de nous ! ” — Torrebenn 6 août 2018
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5

5

Orochi
(1925)

de Buntarō Futagawa avec Tsumasaburō Bandō, Misao Seki, Shizuko Mori

1h14

99%
4 micro-critiques | Sa note :

Torrebenn
Sa note :

“ Buntarō Futagawa livre un Chanbara au rythme des lames fendant une émulsion d'halogénures d'argent pour transmuter un montage inouï en or. ” — Torrebenn 7 avril 2018
10 commentaires
6

6

Kyoiku senga : Ubasute yama
(1925)

de Sanae Yamamoto

18m

1 micro-critique | Sa note :

Torrebenn
Sa note :

“ La Balade d'Ubasuteyama ... 2018, les vieillards nippons commettent des délits pour être logés & nourris en prison. Avant on les abandonnait ” — Torrebenn 6 août 2018
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7

7

Une page folle
(1926)

de Teinosuke Kinugasa avec Masao Inoue, Yoshie Nakagawa, Ayako Lijima

Drame | 1h10

91%
14 micro-critiques | Sa note :

Arch_Stanton
Sa note :

“ Tourbillon halluciné et d'une audace formelle terrible. Il faudra 30 ans au Cinéma nippon pour retrouver cette liberté de ton ... ” — Arch_Stanton 28 février 2018
12 commentaires
8

8

Chōkon
(1926)

de Daisuke Itō avec Denjirō Ōkōchi, Utagoro Onoe, Momonosuke Ichikawa

12m

1 micro-critique | Sa note :

Arch_Stanton
Sa note :

“ 1926, entre "Une page folle" & "Chōkon", le Cinéma japonais est juste en train de formaliser tout son vocabulaire technique et esthétique ! ” — Arch_Stanton 4 septembre 2022
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9

9

Sarukani-gassen
(1927)

de Yasuji Murata

5m

1 micro-critique | Sa note :

Torrebenn
Sa note :

“ Découvrir l'animation particulière, unique de Yasuji Murata, c'est avant tout un choc visuel et esthétique, un dépaysement qui prend au cœur ” — Torrebenn 5 août 2018
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10

10

Kujira
(1927)

de Noburō Ōfuji

8m

1 micro-critique | Sa note :

Torrebenn
Sa note :

“ Première version de Kujira (qui donnera ultérieurement le nom "Godzilla"). Ōfuji approche de Moby Dick et élève l'animation à l'excellence. ” — Torrebenn 8 août 2018
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11

11

Jūjiro
(1928)

de Teinosuke Kinugasa avec Junosuke Bando, Yukiko Ogawa, Akiko Chihaya

1h12

1 micro-critique | Sa note :

Torrebenn
Sa note :

“ Kinugasa acclimate des éclairages quasi-expressionnistes aux lueurs encore naturelles d'un Yoshiwara Meiji, pour ourler un naturalisme cru. ” — Torrebenn 7 avril 2018
9 commentaires
12

12

Dōbutsu Olympic Taikai
(1928)

de Yasuji Murata

13m

1 micro-critique | Sa note :

Torrebenn
Sa note :

“ Murata se transmute en La Fontaine moderne, convoquant le règne animal, l'extrayant d'une Arche pour trouver des athlètes anthropomorphes. ” — Torrebenn 5 août 2018
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13

13

Manga : Kubotori
(1929)

de Yasuji Murata et Chuzo Aoji

10m

1 micro-critique | Sa note :

Torrebenn
Sa note :

“ Un Panthéon de Kamis se livre à des jeux inhumains, trop élevés pour que le simple mortel ne les assimile. A lui de se cacher, de se terrer. ” — Torrebenn 5 août 2018
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14

14

Tarō-san no kisha
(1929)

de Yasuji Murata

15m

1 micro-critique | Sa note :

Torrebenn
Sa note :

“ D'une modernité échevelée et mêlant estampe, manga et bande-dessinée à l'occidentale, cette œuvre courte mais percutante s'affirme marquante ” — Torrebenn 5 août 2018
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15

15

Tōkyō kōshin-kyoku
(1929)

de Kenji Mizoguchi avec Hisako Takihana, Takako Irie, Shizue Natsukawa

22m

87%
2 micro-critiques | Sa note :

Torrebenn
Sa note :

“ Monographie urbaine pour son entame, ce beau muet devient une chronique d'un Japon en transition, dans lequel la femme est encore monnayable ” — Torrebenn 14 novembre 2018
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16

16

Zanjin Zanbaken
(1929)

de Daisuke Itō avec Ryūnosuke Tsukigata, Misao Seki, Haruo Inoue

26m

1 micro-critique | Sa note :

Arch_Stanton
Sa note :

“ Daisuke Itō crée, ose, innove et en définitive adopte un nouveau langage cinématographique, jouant de sa caméra comme d'une véritable plume. ” — Arch_Stanton 4 septembre 2022
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17

17

Oira no ski
(1930)

de Yasuji Murata

9m

1 micro-critique | Sa note :

Arch_Stanton
Sa note :

“ Petite perle de drôlerie et d'animation avec cette esthétique propre à Murata, entre héritage et projection dans l'avenir ... ” — Arch_Stanton 16 avril 2021
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18

18

Saru Masamune
(1930)

de Yasuji Murata

9m

1 micro-critique | Sa note :

Torrebenn
Sa note :

“ Belle fable écologiste et naturelle dans laquelle Murata sait conserver le jus ancien d'un Japon en passe de se diluer dans un XXe s. cruel. ” — Torrebenn 5 août 2018
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19

19

Nani ga kanojo o sō saseta ka
(1930)

de Shigeyoshi Suzuki avec Yôyô Kojima, Keiko Takatsu, Rintarô Fujima

1h25

2 micro-critiques | Sa note :

Torrebenn
Sa note :

“ Suzuki livre un Keikō-eiga 傾向映画 (film à tendance contestataire) empreint de délicatesse, dans un art muet plutôt éloquent. Admirable révolte ” — Torrebenn 21 janvier 2019
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20

20

Kokka Kimigayo
(1931)

de Noburō Ōfuji

3m

2 micro-critiques | Sa note :

Torrebenn
Sa note :

“ Propagande au sommet de son nationalisme, cela ne se discute pas. Mais que c'est beau ... ! Une splendeur nauséabonde, c'est possible. ” — Torrebenn 8 août 2018
2 commentaires
21

21

Le Chœur de Tokyo
(1931)

de Yasujirō Ozu avec Tokihiko Okada, Emiko Yagumo, Hideko Takamine

Drame | 1h30

57%
9 micro-critiques | Sa note :

Torrebenn
Sa note :

“ Ozu a dû se faire bien voir de la dictature ! Un film politique d'une acuité extraordinaire sur la Crise économique, dans un Japon sclérosé. ” — Torrebenn 14 octobre 2018
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22

22

Gosses de Tokyo
(1932)

de Yasujirō Ozu avec Tatsuo Saitō, Mitsuko Yoshikawa, Takeshi Sakamoto

1h29

93%
16 micro-critiques | Sa note :

Arch_Stanton
Sa note :

“ Les gosses n'ont pas encore leurs flatulences légendaires pour s'élever contre le monde des adultes, mais déjà toute leur gouaille gavroche. ” — Arch_Stanton 9 avril 2018
2 commentaires

23

23

Où sont les rêves de jeunesse ?
(1932)

de Yasujirō Ozu avec Ureo Egawa, Kinuyo Tanaka, Tatsuo Saitō

1h32

51%
7 micro-critiques | Sa note :

Torrebenn
Sa note :

“ Ozu tend la main à Lubitsch. Le Maître tire une réflexion acerbe sur le Capitalisme, mais jamais dénuée de tendresse pour ses héros. ” — Torrebenn 14 octobre 2018
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24

24

Kamishibai Itazura Tanuki no Maki
(1933)

de Yasuji Murata

5m

1 micro-critique | Sa note :

Torrebenn
Sa note :

“ Le titre est assez cocasse quand on sait ce qu'est un "tanuki" et surtout quand on connaît ses attributs et ses pouvoirs afférents ... ! ” — Torrebenn 6 août 2018
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25

25

Yoshichiro no keirei
(1933)

de Hakusan Kimura

11m

1 micro-critique | Sa note :

Torrebenn
Sa note :

“ Kimura atteint une belle fluidité dans l'animation tout en conservant le dessin estampé qui fait la beauté des pionniers nippons sur papier. ” — Torrebenn 8 août 2018
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26

26

Femmes au combat
(1933)

de Yasujirō Ozu avec Kinuyo Tanaka, Hideo Mitsui, Joji Oka

1h40

58%
6 micro-critiques | Sa note :

Arch_Stanton
Sa note :

“ Ozu se frotte avec le plus grand talent au Film Noir de l'interlope Tōkyō des Yakuzas. Ourlant son récit des noirs desseins du feutre mou. ” — Arch_Stanton 1 octobre 2018
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27

27

Koi no hana saku : Izu no odoriko
(1933)

de Heinosuke Gosho avec Kinuyo Tanaka, Reikichi Kawamura, Chōko Iida

1h34

1 micro-critique | Sa note :

Torrebenn
Sa note :

“ Encore muet en 1933, le cinéma japonais n'est est pas moins parfaitement éloquent devant la caméra délicate d'Heinosuke Gosho, un "Oublié". ” — Torrebenn 22 octobre 2018
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28

28

Nakinureta haru no onna yo
(1933)

de Hiroshi Shimizu avec Sachiko Murase, Yoshiko Okada, Den Ohinata

1h36

1 micro-critique | Sa note :

Arch_Stanton
Sa note :

“ Shimizu tourne à Hokkaidō qu'il déteste, en extérieur et sous la neige de surcroît. Un peu maso le gars. Drame prolétarien prenant et engagé ” — Arch_Stanton 22 avril 2021
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29

29

Minato no Nihon musume
(1933)

de Hiroshi Shimizu avec Tatsuo Saitō, Michiko Oikawa, Yukiko Inoue

1h12

1 micro-critique | Sa note :

Torrebenn
Sa note :

“ Shimizu livre un mélodrame sans complaisance sur l'occidentalisation effrénée de la société de l'Ere Shōwa. Conséquence dramatique incluse. ” — Torrebenn 1 octobre 2018
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30

30

Cœur capricieux
(1933)

de Yasujirō Ozu avec Tokkan Kozo, Choko Iida, Takeshi Sakamoto

1h40

99%
5 micro-critiques | Sa note :

Torrebenn
Sa note :

“ Un père immature, un enfant nécessiteux. Ozu dans la fable sociale ne tombe jamais dans le misérabilisme, ni dans l'angélisme. Génie ... ” — Torrebenn 14 octobre 2018
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31

31

Une femme devrait être aimée
(1934)

de Yasujirō Ozu avec Mitsuko Yoshikawa, Hideo Mitsui, Iwata Yukichi

1h11

3 micro-critiques | Sa note :

Torrebenn
Sa note :

“ Malgré son muet tardif et délibéré, Ozu est incroyablement éloquent, dès lors qu'il s'agit de dépeindre le ressac de l'Amour maternel. ” — Torrebenn 5 novembre 2018
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32

32

Le Pot d’un million de ryo
(1935)

de Sadao Yamanaka avec Denjirō Ōkōchi, iyozo, Kunitaro Sawamura

Comédie, Drame | 1h24

99%
2 micro-critiques | Sa note :

Arch_Stanton
Sa note :

“ Comédie et film d'aventures sur le fil de la lame. Le samouraï grossier et grotesque entame une quête picaresque. Et pour quelques 両 de plus ” — Arch_Stanton 9 avril 2018
6 commentaires
33

33

Issunboshi chibisuke monogatari
(1935)

de Mitsuyo Seo

9m

1 micro-critique | Sa note :

Torrebenn
Sa note :

“ Entre Aladin et Sinbad, le Japon dispose du Petit Chibisuke qui gulliverise le mauvais génie géant. Des aventures réjouissantes ! ” — Torrebenn 5 août 2018
3 commentaires
34

34

Umi no mizu wa naze karai
(1935)

de Yasuji Murata

10m

1 micro-critique | Sa note :

Torrebenn
Sa note :

“ C'est l'histoire d'une meule à main qui tombe à la mer et ceci explique l'eau soit salée ... Allez comprendre ... Mais c'est très beau ! ” — Torrebenn 6 août 2018
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35

35

Uwasa no musume
(1935)

de Mikio Naruse avec Ryuko Umezono, Kamatari Fujiwara, Ko Mihashi

1h14

1 micro-critique | Sa note :

Torrebenn
Sa note :

“ Naruse, avec toute sa sensibilité (seulement comparable à celles d'Ozu ou de Mizoguchi) montre, lui aussi, un Japon à deux vitesses ... ” — Torrebenn 14 novembre 2018
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36

36

Arigatō-san
(1936)

de Hiroshi Shimizu avec Ken Uehara, Kaoru Futaba, Michiko Kuwano

1h18

78%
7 micro-critiques | Sa note :

Torrebenn
Sa note :

“ Shimizu, funambule des émotions conduit le bus de nos émerveillements à flanc de falaise, comme son chauffeur, en nous remerciant du voyage. ” — Torrebenn 9 avril 2018
3 commentaires
37

37

Gion no shimai
(1936)

de Kenji Mizoguchi avec Isuzu Yamada, Yoko Unemura, Benkei Shiganoya

Drame | 1h09

77%
12 micro-critiques | Sa note :

Torrebenn
Sa note :

“ Dans deux portraits ambivalents Mizoguchi, fin peintre d'un Japon en transition, tend un miroir délicat à son pays. Entre getas et taxis ... ” — Torrebenn 9 avril 2018
18 commentaires
38

38

Izakaya no ichiya
(1936)

de Yasuji Murata

10m

1 micro-critique | Sa note :

Torrebenn
Sa note :

“ Venez faire un tour dans un izakaya ! Tournée générale de saké ! ” — Torrebenn 6 août 2018
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39

39

Suzume no oyado
(1936)

de Kenzō Masaoka

10m

1 micro-critique | Sa note :

Torrebenn
Sa note :

“ L'impression d'accompagner nos héros jusque dans les montagnes pour échapper à la chaleur suffocante de la Plaine du Kantō. On part quand ?! ” — Torrebenn 7 août 2018
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40

40

Le Fils unique
(1936)

de Yasujirō Ozu avec Chōko Iida, Shinichi Himori, Masao Hayama

Drame | 1h22

74%
25 micro-critiques | Sa note :

Torrebenn
Sa note :

“ Ozu a un sens du cadrage qui dépasse tout simplement l'entendement ... Il parvient à faire dire 2 ou 3 choses différentes à ses plans ! ” — Torrebenn 14 octobre 2018
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41

41

Kimi to yuku michi
(1936)

de Mikio Naruse avec Hideo Saeki, Heihachiro Okawa, Kamatari Fujiwara

1h09

1 micro-critique | Sa note :

Torrebenn
Sa note :

“ Naruse dépeint deux Japon qui, cohabitant se trouvent forcés de s'entendre à défaut de se comprendre : une mère ancienne geisha et ses fils. ” — Torrebenn 5 novembre 2018
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42

42

Tochuken Kumoemon
(1936)

de Mikio Naruse avec Kamatari Fujiwara, Eitarō Ozawa, Ko Mihashi

1h13

1 micro-critique | Sa note :

Torrebenn
Sa note :

“ Biopic éponyme de Kumoemon Tōchūken, rythmé et divinement bien incarné par Ryūnosuke Tsukigata, un tableau culturel incomparable, par Naruse ” — Torrebenn 21 janvier 2019
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43

43

Oboroyo no onna
(1936)

de Heinosuke Gosho avec Reikichi Kawamura, Chōko Iida, Mitsuko Yoshikawa

1h51

1 micro-critique | Sa note :

Torrebenn
Sa note :

“ Heinosuke Gosho se fait la main dans des années 30 compliquées pour son pays. L'après-guerre fera rayonner son engagement féministe & social ” — Torrebenn 21 juillet 2019
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44

44

Ashita no namikimichi
(1936)

de Mikio Naruse avec Nijiko Kiyokawa, Ko Mihashi, Masao Mishima

1h00

2 micro-critiques | Sa note :

Arch_Stanton
Sa note :

“ Souris des champs découvre la Ville et ses vicissitudes. Rien ne l'avait préparé au mode de vie d'une pieuvre telle que Tokyo et son infini. ” — Arch_Stanton 14 avril 2021
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45

45

Akanishi Kakita
(1936)

de Mansaku Itami avec Takashi Shimura, Mineko Môri, Chiezō Kataoka

1h17

1 micro-critique | Sa note :

Arch_Stanton
Sa note :

“ Itami ouvre la voie à toute une dynastie de films de samouraïs qui ne manqueront pas de piocher chez son espion toute l'inspiration voulue. ” — Arch_Stanton 4 septembre 2022
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46

46

Ninjō kamifūsen
(1937)

de Sadao Yamanaka avec Chōjūrō Kawarasaki, Noboru Kiritachi, Chôemon Bandô

Drame | 1h26

99%
2 micro-critiques | Sa note :

Arch_Stanton
Sa note :

“ Samouraï déchu, échoué dans les bas-fonds du Japon, dans la promiscuité. Sans pitié pour les symboles déchus d'un Empire en fin de course. ” — Arch_Stanton 31 janvier 2016
4 commentaires

47

47

Asakusa no hi
(1937)

de Yasujirō Shimazu avec Ken Uehara, Mieko Takamine, Shinichi Himori

2h08

1 micro-critique | Sa note :

Torrebenn
Sa note :

“ Les Enfants du Paradis d'Asakusa, dans une Marseillaise à la sauce teriyaki Shimazu, petit espiègle, évoque Paris dans le cœur de Tokyo ! ” — Torrebenn 9 avril 2018
9 commentaires
48

48

Kaze no naka no kodomo
(1937)

de Hiroshi Shimizu avec Chishū Ryū, Reikichi Kawamura, Fumiko Okamura

1h28

1 micro-critique | Sa note :

Torrebenn
Sa note :

“ Fable sociale entre tendresse et néanmoins dénonciation de l'injustice. Shimizu, grâce à son génie peut se permettre de toucher à tout. ” — Torrebenn 1 octobre 2018
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49

49

Atarashiki tsuchi
(1937)

de Arnold Fanck et Mansaku Itami avec Setsuko Hara, Ruth Eweler, Sessue Hayakawa

1h54

1 micro-critique | Sa note :

Torrebenn
Sa note :

“ IIIe Reich <-> Japon impérial. L'Axe fonctionne à plein Régime pour vanter la fraternité de 2 dictatures, tout en chantant l'exotisme nippon ” — Torrebenn 21 janvier 2019
1 commentaire
50

50

Hana-kago no uta
(1937)

de Heinosuke Gosho avec Kinuyo Tanaka, Chishū Ryū, Reikichi Kawamura

1h08

1 micro-critique | Sa note :

Arch_Stanton
Sa note :

“ Un resto de tonkatsu, Kinuyo Tanaka pour mettre les mains dans la panure et c'est le miracle de Ginza : une salle qui ne désemplit pas ! ” — Arch_Stanton 23 avril 2021
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