“ Le temps d'une grossesse fugace, quelque part entre le film de potes générationnel et le film fantastique. Inquiétante étrangeté. ”— jolafrite19 juillet 2014
“ Rivette a attendu longtemps avant de filmer un rapport amoureux. Des années pour mûrir ce qui est pour moi le plus beau du sexe au cinéma. ”— jolafrite12 janvier 2014
Synopsis : Un homme et une femme se croisent lors d’une exposition et éprouvent une attirance éphémère contre laquelle ils ne peuvent résister. Quelques jours plus tard, par hasard, ils se rencontrent à nouveau et se retrouvent autour d’un café. Ces deux inconnus – tous deux mariés – se laissent emporter par l’inexplicable fascination qu’ils exercent l’un sur l’autre. Svenja, intriguée par Roland, le suit dans une chambre d’hôtel, mais ils ne consomment pas leur aventure. Roland, puissant dirigeant dans une grande banque où le mari de Svenja est employé, a l’habitude d’obtenir ce qu’il veut. Il organise alors la mutation de celui-ci en Indonésie pour remplacer le responsable local récemment assassiné. Ignorant les manipulations de Roland, Svenja cède à ses avances…
“ Une femme devient un pays. Cours d'histoire charnel et hargneux. Le mélodrame n'a jamais été aussi beau, ni aussi méchant. ”— jolafrite14 septembre 2013
commentaire modéré@Sleeper Oui je parle de Allen, perso, je trouve qu'il y a plus de bon dans sa première période, la seconde est sympa, la troisième recèle des perles et des films hautement anecdotiques.
commentaire modéré
Je dirais que sa première période va de 66 les balbutiements jusqu'à 1984 et "Broadway Danny Rose", un de mes chouchous.Cette pérode enlace donc des films médiocres (Les premiers surtout) et des films géniaux ("Annie Hall", "Manhattan")
Ensuite de "La rose pourpre du Caire" à "Harry dans tous ses états" en 1997, ça foisonne d'idées et de concepts en tous genres et toutes qualités.
Puis la dernière période de "Celebrity" à nos jours, où là se cotoient des films qui ne valent que pour leur casting à des métrages sérieux dont la mélancolie touche au but parfois, ou à l'ennui le plus abyssal.
commentaire modéré@jenanaipa ah c'est amusant de mettre mia farrow a cheval sur deux periodes, j'y aurais pas pensé... enfin en affinant le trait, on pourrait faire de même avec keaton qui a connu à la fois la periode grosse deconnade et celle beaucoup plus serieuse
commentaire modéré@jolafrite Merci, c'est mon ressenti, mais je suppose que chacun pourrait faire le sien et trouver d'autres axes de jugement de son œuvre.
commentaire modéré@Sleeper Oui, en ce qui concerne Mia et Diane, je n'ai pas tenu compte de leur présence dans les films, mais du contenu de ces derniers.
Ensuite de "La rose pourpre du Caire" à "Harry dans tous ses états" en 1997, ça foisonne d'idées et de concepts en tous genres et toutes qualités.
Puis la dernière période de "Celebrity" à nos jours, où là se cotoient des films qui ne valent que pour leur casting à des métrages sérieux dont la mélancolie touche au but parfois, ou à l'ennui le plus abyssal.