“ Un beau voyage en double sens, horizontal et vertical : Ewa entame sa conquête de l’Ouest et nourrit son ascension spirituelle. ”— hendicaise 4 janvier 2014
“ "A Touch Of Sin", un Jia Zhang-ke ambitieux et tentaculaire. Embrasser toute la Chine, c'est embrasser toutes ses terres de cinéma. ”— hendicaise17 mai 2013
“ Les mille vies en enfer d'un monstre ordinaire... Portrait scotchant et plastiquement impressionnant d'une Chine au bord de l'implosion. ”— hendicaise 8 septembre 2011
“ A la seconde vision, l’agacement se dissipe, le puzzle prend forme et force l’admiration. Reygadas n’en est que plus roublard ! ”— hendicaise29 mai 2012
“ Une (adorable) histoire de conflits et de nouveaux départs ; métaphores pour la renaissance (le retapage) d'une nation entière. ”— hendicaise 4 janvier 2014
“ Avec "40 ans : mode d’emploi", le cinéma d’Apatow, déjà très fort, s’est considérablement Brooksisé. Forcément, ça frise la perfection. ”— hendicaise29 janvier 2013
“ "La fille de nulle part" est moins un film somme qu’un aboutissement. Une nouvelles histoire de femmes, de chemins intérieurs, de passation. ”— hendicaise 4 janvier 2014
“ L'amitié comme l'amour. Une anecdote sur le chemin de la boulangerie. Un regard échangé au loin, lors d'une soirée. Grandes petites choses. ”— hendicaise 4 janvier 2014
“ Film-créature : tout se confond, se rassemble, s'assemble. Le ciel au sol et la mer en l'air. "Leviathan" a même inventé le poisson-lune. ”— hendicaise 4 janvier 2014
“ Un fils terré face à son père terreur. Voyage de l'immensité (quel plan !) vers l'intimité (quel plan !) pour un éveil poignant.
”— hendicaise 7 janvier 2014
“ La lumière, le vent, le froid. Je les ai presque ressentis. Physiquement. Dumont n'est pas forain, mais c'est un magicien. ”— hendicaise 4 janvier 2014
“ "Grand Central" reprend "Le mystère Silkwood" dans les grandes lignes, puis délaisse l’éco-thriller pour un climat fantastique envoutant. ”— hendicaise 6 janvier 2014
“ HSS raconte son histoire du bord du plongeoir ; Haewon ne fait qu’imaginer son avenir, voire ne fait que rêver qu’elle imagine son avenir. ”— hendicaise 6 janvier 2014
“ Un œuvre monumentale (3 heures et 7 ans), mais pas encore assez (les 3 heures ne se comptent pas et les 7 années ne contentent pas). ”— hendicaise 6 janvier 2014
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Mince, tu m'alertes d'une "erreur" que seul moi pouvait voir, j'avoue... C'était en 9 (mais c'est presque pareil !).
Je sais que tu valides le #4 en tout cas ;)
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c'est évident qu'il faut revoir The Immigrant. C'est si beau. Je suis plus étonné par le disparition de ta mémoire de Lincoln, qui semblait gagner en intérêt au fil que le vision du film s'éloignait.
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Dans "The Immigrant", c'est le personnage de Renner qui me dérange, je trouve qu'il s'intègre mal à "l'univers James Gray". Après j'avais pas non plus craché sur le film à Cannes.
Pour le #4 oui, bien qu'il ait perdu sa place dans mon top - un peu moins séduit en le revoyant. Par contre sur "Grand Central" et "The Master", je te suis entièrement.
commentaire modéré@alexandremathis "Lincoln" doit faire du yoyo avec moi... là, je ne me souviens pas qu'il ait grandi en moi à un moment :)
@Sushi_Overdose A la revoyure, j'ai beaucoup plus aimé le personnage de Renner. Les déconvenues de tous bords d'Ewa sont si rudes (Bruno, sa famille, les autorités, les autres filles...) que la bouffée d'air frais qu'il lui apporte ne serait-ce qu'en évoquant l'idée qu'elle prolonge sa route vers l'Ouest, loin du cauchemar new-yorkais, a vraiment quelque chose de doux, de lumineux. Il n'est pas censé coller à l'esprit du film, mais plutôt s'en détacher, il est trop optimiste, trop bon.
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@hendiike c'est peut-être la part fantastique qu'il représente - l'illusionniste - qui me gêne avant tout. Car en tant qu'issue oui, il offre des perspectives intéressantes.
Je sais que tu valides le #4 en tout cas ;)
Pour le #4 oui, bien qu'il ait perdu sa place dans mon top - un peu moins séduit en le revoyant. Par contre sur "Grand Central" et "The Master", je te suis entièrement.
@Sushi_Overdose A la revoyure, j'ai beaucoup plus aimé le personnage de Renner. Les déconvenues de tous bords d'Ewa sont si rudes (Bruno, sa famille, les autorités, les autres filles...) que la bouffée d'air frais qu'il lui apporte ne serait-ce qu'en évoquant l'idée qu'elle prolonge sa route vers l'Ouest, loin du cauchemar new-yorkais, a vraiment quelque chose de doux, de lumineux. Il n'est pas censé coller à l'esprit du film, mais plutôt s'en détacher, il est trop optimiste, trop bon.