日本 Le Shomingeki 庶民劇 ou le Shōshimin-eiga 小市民映画 néoréalisme du Japon

日本 Le Shomingeki 庶民劇 ou le Shōshimin-eiga 小市民映画 néoréalisme du Japon

Liste de 74 films par Arch_Stanton

| 105 vues | 1 personne a aimé

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1

J'ai été diplômé, mais...
(1929)

de Yasujirō Ozu avec Minoru Takada, Kinuyo Tanaka, Utako Suzuki

21%
3 micro-critiques | Sa note :

Torrebenn
Sa note :

“ Sauvegarder les apparences sociales, le qu'en-dira-t-on, malgré la Crise, malgré ce Capitalisme qui nous y mène tout droit, à la guerre. ” — Torrebenn 11 juin 2019
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Nani ga kanojo o sō saseta ka
(1930)

de Shigeyoshi Suzuki avec Yôyô Kojima, Keiko Takatsu, Rintarô Fujima

1h25

2 micro-critiques | Sa note :

Torrebenn
Sa note :

“ Suzuki livre un Keikō-eiga 傾向映画 (film à tendance contestataire) empreint de délicatesse, dans un art muet plutôt éloquent. Admirable révolte ” — Torrebenn 21 janvier 2019
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Le Chœur de Tokyo
(1931)

de Yasujirō Ozu avec Tokihiko Okada, Emiko Yagumo, Hideko Takamine

Drame | 1h30

57%
9 micro-critiques | Sa note :

Torrebenn
Sa note :

“ Ozu a dû se faire bien voir de la dictature ! Un film politique d'une acuité extraordinaire sur la Crise économique, dans un Japon sclérosé. ” — Torrebenn 14 octobre 2018
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Où sont les rêves de jeunesse ?
(1932)

de Yasujirō Ozu avec Ureo Egawa, Kinuyo Tanaka, Tatsuo Saitō

1h32

51%
7 micro-critiques | Sa note :

Torrebenn
Sa note :

“ Ozu tend la main à Lubitsch. Le Maître tire une réflexion acerbe sur le Capitalisme, mais jamais dénuée de tendresse pour ses héros. ” — Torrebenn 14 octobre 2018
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5

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Cœur capricieux
(1933)

de Yasujirō Ozu avec Tokkan Kozo, Choko Iida, Takeshi Sakamoto

1h40

99%
5 micro-critiques | Sa note :

Torrebenn
Sa note :

“ Un père immature, un enfant nécessiteux. Ozu dans la fable sociale ne tombe jamais dans le misérabilisme, ni dans l'angélisme. Génie ... ” — Torrebenn 14 octobre 2018
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6

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Yogoto no yume
(1933)

de Mikio Naruse avec Chōko Iida, Mitsuko Yoshikawa, Tatsuo Saitō

1h04

3 micro-critiques | Sa note :

Torrebenn
Sa note :

“ Avec ce mélodrame muet, dont tout plaide sur le papier pour un infâme sirop, Naruse parvient à tirer une leçon humaniste édifiante. Brillant ” — Torrebenn 21 janvier 2019
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7

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Hanamuko no negoto
(1935)

de Heinosuke Gosho avec Hiroko Kawasaki, Kazuo Hasegawa, Tomio Aoki

1h12

1 micro-critique | Sa note :

Arch_Stanton
Sa note :

“ Comédie domestique très hollywoodienne. Il va falloir que l'industrie cinématographique nippone s'émancipe de ses tuteurs occidentaux. ” — Arch_Stanton 8 mai 2022
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8

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Tōkyō no eiyū
(1935)

de Hiroshi Shimizu avec Kōji Mitsui, Tomio Aoki, Mitsuko Yoshikawa

1h03

1 micro-critique | Sa note :

Arch_Stanton
Sa note :

“ Conflit de générations. Crise économique et pauvreté rampante. Comment conserver les faux-semblants quand le bas-de-laine est percé ?! ” — Arch_Stanton 4 septembre 2022
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Le Fils unique
(1936)

de Yasujirō Ozu avec Chōko Iida, Shinichi Himori, Masao Hayama

Drame | 1h22

74%
25 micro-critiques | Sa note :

Torrebenn
Sa note :

“ Ozu a un sens du cadrage qui dépasse tout simplement l'entendement ... Il parvient à faire dire 2 ou 3 choses différentes à ses plans ! ” — Torrebenn 14 octobre 2018
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10

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Arigatō-san
(1936)

de Hiroshi Shimizu avec Ken Uehara, Kaoru Futaba, Michiko Kuwano

1h18

78%
7 micro-critiques | Sa note :

Torrebenn
Sa note :

“ Shimizu, funambule des émotions conduit le bus de nos émerveillements à flanc de falaise, comme son chauffeur, en nous remerciant du voyage. ” — Torrebenn 9 avril 2018
3 commentaires

11

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Oboroyo no onna
(1936)

de Heinosuke Gosho avec Reikichi Kawamura, Chōko Iida, Mitsuko Yoshikawa

1h51

1 micro-critique | Sa note :

Torrebenn
Sa note :

“ Heinosuke Gosho se fait la main dans des années 30 compliquées pour son pays. L'après-guerre fera rayonner son engagement féministe & social ” — Torrebenn 21 juillet 2019
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12

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Kaze no naka no kodomo
(1937)

de Hiroshi Shimizu avec Chishū Ryū, Reikichi Kawamura, Fumiko Okamura

1h28

1 micro-critique | Sa note :

Torrebenn
Sa note :

“ Fable sociale entre tendresse et néanmoins dénonciation de l'injustice. Shimizu, grâce à son génie peut se permettre de toucher à tout. ” — Torrebenn 1 octobre 2018
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13

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Nyonin aishū
(1937)

de Mikio Naruse avec Takako Irie, Heihachiro Okawa, Hideo Saeki

1h14

2 micro-critiques | Sa note :

Torrebenn
Sa note :

“ Naruse, avant-guerre, dans cette montée irrésistible de la Réaction militaire et sociale, se penche déjà sur une figure féminine rebelle. ” — Torrebenn 21 janvier 2019
1 commentaire
14

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Koi mo wasurete
(1937)

de Hiroshi Shimizu avec Mitsuko Mito, Fumiko Okamura, Tomio Aoki

1h13

1 micro-critique | Sa note :

Arch_Stanton
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“ J'ai bien l'impression que ce brave Tomio Aoki a joué absolument tous les rôles d'enfants du cinéma japonais pendant 40 ans ! ” — Arch_Stanton 5 mai 2022
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15

15

Shu to midori shu no maki
(1937)

de Yasujirō Shimazu avec Reikichi Kawamura, Fumiko Okamura, Mieko Takamine

2h11

1 micro-critique | Sa note :

Arch_Stanton
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“ Je t'aime, moi non plus. Va, je ne te hais point ! Suis-moi, je te fuis et fuis-moi, je te suis ! ” — Arch_Stanton 8 mai 2022
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16

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Konjiki Yasha
(1937)

de Hiroshi Shimizu avec Hiroko Kawasaki, Chishū Ryū, Kuniko Miyake

1h16

1 micro-critique | Sa note :

Arch_Stanton
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“ Mélodrame pas idiot sur le poids des convenances et la pression familiale/sociale sur les jeunes femmes à propos du mariage. Rien n'a changé ” — Arch_Stanton 8 mai 2022
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17

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Tsuzurikata kyōshitsu
(1938)

de Kajirō Yamamoto avec Hideko Takamine, Nijiko Kiyokawa, Masao Mishima

1h27

1 micro-critique | Sa note :

Torrebenn
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“ Toute jeune Hideko Takamine dans un mélo rural et pédagogique de Yamamoto. Dans cette veine, si exploitée à l'époque, mais efficace. ” — Torrebenn 21 juillet 2019
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18

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The Tree of Love
(1938)

de Hiromasa Nomura avec Kinuyo Tanaka, Reikichi Kawamura, Mitsuko Mito

1h29

1 micro-critique | Sa note :

Arch_Stanton
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“ Kinuyo Tanaka illumine tout ce tendre mélodrame de la profonde humanité qui rayonne de son beau visage vulnérable. Impossible de résister. ” — Arch_Stanton 8 mai 2022
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19

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Okayo no kakugo
(1939)

de Yasujirō Shimazu avec Kinuyo Tanaka, Reikichi Kawamura, Kuniko Miyake

56m

1 micro-critique | Sa note :

Arch_Stanton
Sa note :

“ Beau rôle de jeunesse pour Kinuyo Tanaka, tout en délicatesse et en discrétion domestiques. La suite de sa carrière sera plus émancipée. ” — Arch_Stanton 13 mai 2022
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20

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Kojima no haru
(1940)

de Shirō Toyoda avec Haruko Sugimura, Ichirō Sugai, Shiro Mizutani

1h28

1 micro-critique | Sa note :

Arch_Stanton
Sa note :

“ Shirō Toyoda se penche avec tout l'Humanisme dont il était capable sur le sort réservé aux lépreux dans un Japon insulaire corseté. Edifiant ” — Arch_Stanton 6 septembre 2022
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21

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Mikaheri no tō
(1941)

de Hiroshi Shimizu avec Chishū Ryū, Kuniko Miyake, Toshiaki Konoe

1h52

1 micro-critique | Sa note :

Torrebenn
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“ Shimizu s'est souvent penché sur le sort de l'enfance et adolescence japonaise, avec Humanisme. Des jeunes livrés à l'abandon et à la guerre ” — Torrebenn 14 novembre 2018
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22

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Shinsetsu
(1942)

de Heinosuke Gosho avec Minoru Yada, Bontarō Miyake, Kuneko Urabe

1h23

1 micro-critique | Sa note :

Arch_Stanton
Sa note :

“ Je veux croire que Gosho a dû verser sa contribution sous la contrainte. Dommage pour le message, car hors de cela, c'est un beau film ... ” — Arch_Stanton 13 mai 2022
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23

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Waga seishun ni kuinashi
(1946)

de Akira Kurosawa avec Setsuko Hara, Denjirō Ōkōchi, Haruko Sugimura

Drame | 1h50

79%
7 micro-critiques | Sa note :

Arch_Stanton
Sa note :

“ Dans un élan total d'une fougue saisissante, Kurosawa dénonce militarisme, fascisme et dictature industrialo-policière. Sans concession ! ” — Arch_Stanton 2 juin 2022
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24

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Osone-ke no ashita
(1946)

de Keisuke Kinoshita avec Haruko Sugimura, Toshinosuke Nagao, Shin Tokudaiji

1h21

1 micro-critique | Sa note :

Arch_Stanton
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“ Chronique familiale incroyablement pacifiste. 1946 et cracher à la figure de l'armée qu'elle doit réparer ce qu'elle a détruit ! Sans appel. ” — Arch_Stanton 4 juin 2022
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25

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Subarashiki nichiyōbi
(1947)

de Akira Kurosawa avec Ichirō Sugai, Chieko Nakakita, Atsushi Watanabe

Comédie, Drame | 1h48

85%
12 micro-critiques | Sa note :

Arch_Stanton
Sa note :

“ Dans un Tokyo encore fumant de ses cendres belliqueuses, Kurosawa promène deux silhouettes qui grâce à lui prennent corps et âme ... Sublime ” — Arch_Stanton 16 mars 2018
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26

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Récit d'un propriétaire
(1947)

de Yasujirō Ozu avec Choko Iida, Chōko Iida, Hohi Aoki

Comédie, Drame | 1h12

84%
15 micro-critiques | Sa note :

Arch_Stanton
Sa note :

“ Deux ans après avoir été mis plus bas que terre, le Japon, vu par l'un des ses plus grands humanistes s'élève très haut dans les sentiments. ” — Arch_Stanton 14 octobre 2018
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27

27

Anjō-ke no butōkai
(1947)

de Kōzaburō Yoshimura avec Osamu Takizawa, Masayuki Mori, Setsuko Hara

1h29

2 micro-critiques | Sa note :

Arch_Stanton
Sa note :

“ Sauver sa place dans la caste. Quitte à mêler son sang à celui des parvenus. Un nouveau monde est né des cendres, mais la Noblesse perdure. ” — Arch_Stanton 28 décembre 2021
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28

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Fushichō
(1947)

de Keisuke Kinoshita avec Kinuyo Tanaka, Keiji Sada, Isamu Kosugi

1h22

1 micro-critique | Sa note :

Arch_Stanton
Sa note :

“ Magnifique Kinuyo Tanaka. Forcément magnifique ... Son amour disparu dans les tourbillons de la guerre traverse les décennies du Cinéma ... ” — Arch_Stanton 4 juin 2022
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29

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Kekkon
(1947)

de Keisuke Kinoshita avec Kinuyo Tanaka, Sachiko Murase, Eitarō Ozawa

1h26

1 micro-critique | Sa note :

Arch_Stanton
Sa note :

“ Un brin faible, le scénario heureusement pacifiste ne va hélas pas au bout de tout ce que Kinoshita aurait sans doute voulu dire ou montrer. ” — Arch_Stanton 4 juin 2022
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30

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Les Enfants de la ruche
(1948)

de Hiroshi Shimizu avec Daisuke Iwanami, Shimamura Shusaku, Shinichiro Kubota

1h26

1 micro-critique | Sa note :

Torrebenn
Sa note :

“ 3 ans après la grande catastrophe nationale, le Japon doit s'occuper de ses orphelins et leur proposer un avenir ... pacifique, le plus dur. ” — Torrebenn 16 mai 2018
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31

31

Yoru no onna tachi
(1948)

de Kenji Mizoguchi avec Kinuyo Tanaka, Sanae Takasugi, Mitsuo Nagata

Thriller, Drame | 1h13

62%
7 micro-critiques | Sa note :

Torrebenn
Sa note :

“ Plein de sincérité et de bonne volonté, Mizoguchi sombre hélas dans l'excès, délaissant quelque peu la délicatesse dont il est coutumier. ” — Torrebenn 29 mai 2013
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32

32

Une femme dans le vent
(1948)

de Yasujirō Ozu avec Kinuyo Tanaka, Shūji Sano, Chieko Murata

54%
4 micro-critiques | Sa note :

Arch_Stanton
Sa note :

“ Terrifiant témoignage de la condition féminine dans un Japon d'après-guerre où les hommes agonissent de mépris leurs épouses miséreuses ... ” — Arch_Stanton 15 juillet 2019
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33

33

Serment rompu
(1948)

de Keisuke Kinoshita avec Yasushi Nagata, Sachiko Murase, Eitarō Ozawa

1h39

1 micro-critique | Sa note :

Arch_Stanton
Sa note :

“ Bien avant Ichikawa, Kinoshita adapte avec talent le manifeste de l'émancipation sociale des Burakumin, ces méconnus Intouchables du Japon. ” — Arch_Stanton 4 juin 2022
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34

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Yuwaku
(1948)

de Kōzaburō Yoshimura avec Setsuko Hara, Shin Saburi, Akira Yamauchi

1h46

1 micro-critique | Sa note :

Arch_Stanton
Sa note :

“ Impossible de résister au charme candide et honorable de Setsuko Hara ! On comprend mieux le Démon de Midi qui s'empare de Shin Saburi ! ” — Arch_Stanton 10 septembre 2022
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La Montagne bleue
(1949)

de Tadashi Imai avec Setsuko Wakayama, Setsuko Hara, Michiyo Kogure

1h32

1 micro-critique | Sa note :

Torrebenn
Sa note :

“ Setsuko Hara en étendard de la modernité pénétrant dans le Japon profond. Imai ne choisit pas un homme, mais une femme pour féconder le pays ” — Torrebenn 21 juillet 2019
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36

36

La rue en colère
(1950)

de Mikio Naruse avec Takashi Shimura, Setsuko Wakayama, Isao Kimura

1h45

2 micro-critiques | Sa note :

Torrebenn
Sa note :

“ Le Film Noir de Naruse ne se veut pas gangstérisant, mais il le peuple d'âmes à la dérive dans un pays gangrené par les petites combines ... ” — Torrebenn 14 novembre 2018
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37

37

La Rue de la violence
(1950)

de Satsuo Yamamoto avec Takashi Shimura, Noriko Honma, Jūkichi Uno

1h51

1 micro-critique | Sa note :

Torrebenn
Sa note :

“ Violence de la rue, iniquité de la corruption ... Le Japon d'Après-Guerre se réveille KO dans des errances sociales qu'une poignée combat. ” — Torrebenn 21 décembre 2018
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38

38

Le Destin de Madame Yuki
(1950)

de Kenji Mizoguchi avec Michiyo Kogure, Ken Uehara, Eijirō Yanagi

Drame | 1h25

78%
10 micro-critiques | Sa note :

Torrebenn
Sa note :

“ Il est impossible de réduire cette "Madame Yuki" à un simple mélo, là où la violence qu'elle subit en fait un étendard des féminicides. ” — Torrebenn 11 juin 2019
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39

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Rapport sur la conduite du professeur Ishinaka
(1950)

de Mikio Naruse avec Toshirō Mifune, Setsuko Wakayama, Haruo Tanaka

1h33

1 micro-critique | Sa note :

Torrebenn
Sa note :

“ Délirant film de sketchs où l'impression qui prédomine est celle que tout le monde s'est bien éclaté au milieu de la Reconstruction ! ” — Torrebenn 26 juin 2019
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40

40

Les Sœurs Munakata
(1950)

de Yasujirō Ozu avec Kinuyo Tanaka, Hideko Takamine, Ken Uehara

1h56

49%
5 micro-critiques | Sa note :

Arch_Stanton
Sa note :

“ La sage Kinuyo Tanaka et la gavroche Hideko Takamine, deux faces d'une même pièce, celle qui tournoie pour fixer le destin des femmes ... ” — Arch_Stanton 15 juillet 2019
1 commentaire
41

41

Nous nous reverrons
(1950)

de Tadashi Imai avec Eiji Okada, Yoshiko Kuga, Haruko Sugimura

1h50

2 micro-critiques | Sa note :

Arch_Stanton
Sa note :

“ Beau mélodrame qui a quand même ce sacré mérite de dépeindre les affres de la guerre 5ans après les horreurs vécues. Manque un peu de rythme ” — Arch_Stanton 31 mars 2023
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42

42

Le Repas
(1951)

de Mikio Naruse avec Setsuko Hara, Ken Uehara, Yukiko Shimazaki

Drame | 1h37

88%
13 micro-critiques | Sa note :

Arch_Stanton
Sa note :

“ La femme japonaise, cette "personne du fond de la maison" n'a jamais été aussi bien incarnée que par Setsuko Hara, abyssale de résignation. ” — Arch_Stanton 22 juillet 2019
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43

43

Feux d'artifices sur la mer
(1951)

de Keisuke Kinoshita avec Toshio Hosokawa, Michiyo Kogure, Akira Ishihama

2h02

1 micro-critique | Sa note :

Torrebenn
Sa note :

“ Film néo-réaliste dans un village de pêcheurs. Kinoshita fait œuvre de peintre, mais peine à se rendre passionnant. ” — Torrebenn 22 juillet 2019
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44

44

Zemma
(1951)

de Keisuke Kinoshita avec Masayuki Mori, Chikage Awashima, Rentarō Mikuni

1h48

1 micro-critique | Sa note :

Arch_Stanton
Sa note :

“ La faute à un scénario plus faible, Kinoshita retombe dans ces comédies de mœurs qui avaient irrigué le cinéma nippon d'entre-deux-guerres ” — Arch_Stanton 5 juin 2022
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45

45

Shonenki
(1951)

de Keisuke Kinoshita avec Akiko Tamura, Akira Ishihama, Chishū Ryū

1h50

1 micro-critique | Sa note :

Arch_Stanton
Sa note :

“ Irrésistiblement humaniste, irrésistiblement vivant. Les avanies d'une famille prise entre deux feux d'une guerre qu'elle subit à l'infini. ” — Arch_Stanton 5 juin 2022
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46

46

Vivre
(1952)

de Akira Kurosawa avec Takashi Shimura, Makoto Kobori, Haruo Tanaka

Drame | 2h23

91%
45 micro-critiques | Sa note :

Arch_Stanton
Sa note :

“ La gabegie administrative poussée à son inepte aveuglement, dépeinte comme un cancer grignotant les fonctions vitales d'une ville palpitante ” — Arch_Stanton 16 mars 2018
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47

47

L’Éclair
(1952)

de Mikio Naruse avec Kyoko Kagawa, Hisako Takihana, Eitarō Ozawa

1h27

88%
1 micro-critique | Sa note :

Torrebenn
Sa note :

“ Ce film progressiste sur l'émancipation de celle qui se veut (et se construit) en femme moderne et libre est porté par Hideko Takamine ! ” — Torrebenn 14 novembre 2018
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48

48

Les Enfants d'Hiroshima
(1952)

de Kaneto Shindō avec Nobuko Otowa, Osamu Takizawai, Niwa Saito

Drame | 1h35

4 micro-critiques | Sa note :

Arch_Stanton
Sa note :

“ Terrifiante exposition de l'horreur humaine, appliquée aux enfants, ces magnifiques petits cobayes suffisamment discrets, sans droit de vote ” — Arch_Stanton 25 juin 2019
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49

49

Là d'où l'on voit les cheminées
(1953)

de Heinosuke Gosho avec Noriko Honma, Kinuyo Tanaka, Haruo Tanaka

1h48

1 micro-critique | Sa note :

Torrebenn
Sa note :

“ Tout dans ce film néoréaliste parle de la dignité humaine dans un contexte qui serait plutôt propice aux pires abjections. Sans fatalisme. ” — Torrebenn 5 juillet 2019
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50

50

Lettre d'amour
(1953)

de Kinuyo Tanaka avec Masayuki Mori, Kinuyo Tanaka, Chishū Ryū

1h38

87%
11 micro-critiques | Sa note :

Torrebenn
Sa note :

“ Kinuyo Tanaka apporte son incroyable sensibilité à ce récit des années d'occupation US durant lesquelles les cœurs naufragèrent sur terre. ” — Torrebenn 22 juillet 2019
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