★ Yasujirō Ozu 小津安二郎 + Akira Kurosawa 黒澤明 + Mikio Naruse 成瀬巳喜男 + Kenji Mizoguchi 溝口健二 = le Top des 4 géants de l'Age d'Or

★ Yasujirō Ozu 小津安二郎 + Akira Kurosawa 黒澤明 + Mikio Naruse 成瀬巳喜男 + Kenji Mizoguchi 溝口健二 = le Top des 4 géants de l'Age d'Or

Liste de 105 films par Arch_Stanton

| 69 vues | 1 personne a aimé

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Tōkyō kōshin-kyoku
(1929)

de Kenji Mizoguchi avec Hisako Takihana, Takako Irie, Shizue Natsukawa

22m

87%
2 micro-critiques | Sa note :

Torrebenn
Sa note :

“ Monographie urbaine pour son entame, ce beau muet devient une chronique d'un Japon en transition, dans lequel la femme est encore monnayable ” — Torrebenn 14 novembre 2018
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2

2

Le Chœur de Tokyo
(1931)

de Yasujirō Ozu avec Tokihiko Okada, Emiko Yagumo, Hideko Takamine

Drame | 1h30

57%
9 micro-critiques | Sa note :

Torrebenn
Sa note :

“ Ozu a dû se faire bien voir de la dictature ! Un film politique d'une acuité extraordinaire sur la Crise économique, dans un Japon sclérosé. ” — Torrebenn 14 octobre 2018
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3

3

Gosses de Tokyo
(1932)

de Yasujirō Ozu avec Tatsuo Saitō, Mitsuko Yoshikawa, Takeshi Sakamoto

1h29

93%
16 micro-critiques | Sa note :

Arch_Stanton
Sa note :

“ Les gosses n'ont pas encore leurs flatulences légendaires pour s'élever contre le monde des adultes, mais déjà toute leur gouaille gavroche. ” — Arch_Stanton 9 avril 2018
2 commentaires
4

4

Où sont les rêves de jeunesse ?
(1932)

de Yasujirō Ozu avec Ureo Egawa, Kinuyo Tanaka, Tatsuo Saitō

1h32

51%
7 micro-critiques | Sa note :

Torrebenn
Sa note :

“ Ozu tend la main à Lubitsch. Le Maître tire une réflexion acerbe sur le Capitalisme, mais jamais dénuée de tendresse pour ses héros. ” — Torrebenn 14 octobre 2018
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5

5

Femmes au combat
(1933)

de Yasujirō Ozu avec Kinuyo Tanaka, Hideo Mitsui, Joji Oka

1h40

58%
6 micro-critiques | Sa note :

Arch_Stanton
Sa note :

“ Ozu se frotte avec le plus grand talent au Film Noir de l'interlope Tōkyō des Yakuzas. Ourlant son récit des noirs desseins du feutre mou. ” — Arch_Stanton 1 octobre 2018
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6

6

Cœur capricieux
(1933)

de Yasujirō Ozu avec Tokkan Kozo, Choko Iida, Takeshi Sakamoto

1h40

99%
5 micro-critiques | Sa note :

Torrebenn
Sa note :

“ Un père immature, un enfant nécessiteux. Ozu dans la fable sociale ne tombe jamais dans le misérabilisme, ni dans l'angélisme. Génie ... ” — Torrebenn 14 octobre 2018
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7

7

Une femme devrait être aimée
(1934)

de Yasujirō Ozu avec Mitsuko Yoshikawa, Hideo Mitsui, Iwata Yukichi

1h11

3 micro-critiques | Sa note :

Torrebenn
Sa note :

“ Malgré son muet tardif et délibéré, Ozu est incroyablement éloquent, dès lors qu'il s'agit de dépeindre le ressac de l'Amour maternel. ” — Torrebenn 5 novembre 2018
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8

8

Uwasa no musume
(1935)

de Mikio Naruse avec Ryuko Umezono, Kamatari Fujiwara, Ko Mihashi

1h14

1 micro-critique | Sa note :

Torrebenn
Sa note :

“ Naruse, avec toute sa sensibilité (seulement comparable à celles d'Ozu ou de Mizoguchi) montre, lui aussi, un Japon à deux vitesses ... ” — Torrebenn 14 novembre 2018
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9

9

Le Fils unique
(1936)

de Yasujirō Ozu avec Chōko Iida, Shinichi Himori, Masao Hayama

Drame | 1h22

74%
25 micro-critiques | Sa note :

Torrebenn
Sa note :

“ Ozu a un sens du cadrage qui dépasse tout simplement l'entendement ... Il parvient à faire dire 2 ou 3 choses différentes à ses plans ! ” — Torrebenn 14 octobre 2018
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10

10

Kimi to yuku michi
(1936)

de Mikio Naruse avec Hideo Saeki, Heihachiro Okawa, Kamatari Fujiwara

1h09

1 micro-critique | Sa note :

Torrebenn
Sa note :

“ Naruse dépeint deux Japon qui, cohabitant se trouvent forcés de s'entendre à défaut de se comprendre : une mère ancienne geisha et ses fils. ” — Torrebenn 5 novembre 2018
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11

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Tochuken Kumoemon
(1936)

de Mikio Naruse avec Kamatari Fujiwara, Eitarō Ozawa, Ko Mihashi

1h13

1 micro-critique | Sa note :

Torrebenn
Sa note :

“ Biopic éponyme de Kumoemon Tōchūken, rythmé et divinement bien incarné par Ryūnosuke Tsukigata, un tableau culturel incomparable, par Naruse ” — Torrebenn 21 janvier 2019
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12

12

Ashita no namikimichi
(1936)

de Mikio Naruse avec Nijiko Kiyokawa, Ko Mihashi, Masao Mishima

1h00

2 micro-critiques | Sa note :

Arch_Stanton
Sa note :

“ Souris des champs découvre la Ville et ses vicissitudes. Rien ne l'avait préparé au mode de vie d'une pieuvre telle que Tokyo et son infini. ” — Arch_Stanton 14 avril 2021
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13

13

Gion no shimai
(1936)

de Kenji Mizoguchi avec Isuzu Yamada, Yoko Unemura, Benkei Shiganoya

Drame | 1h09

77%
12 micro-critiques | Sa note :

Torrebenn
Sa note :

“ Dans deux portraits ambivalents Mizoguchi, fin peintre d'un Japon en transition, tend un miroir délicat à son pays. Entre getas et taxis ... ” — Torrebenn 9 avril 2018
18 commentaires
14

14

Tsuruhachi Tsurujirō
(1938)

de Mikio Naruse avec Kazuo Hasegawa, Isuzu Yamada, Kamatari Fujiwara

1h29

2 micro-critiques | Sa note :

Torrebenn
Sa note :

“ Comme souvent, pour une chronique de l'Ere Meiji, la Dame est bien attachée aux traditions tandis que Monsieur se projette dans la modernité ” — Torrebenn 14 novembre 2018
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15

15

Hataraku ikka
(1939)

de Mikio Naruse avec Noriko Honma, Susumu Fujita, Den Ohinata

1h05

1 micro-critique | Sa note :

Torrebenn
Sa note :

“ Dans un contexte de guerre (certes pas encore totale) Naruse dépeint la vie quotidienne d'une famille normale, c'est-à-dire en souffrance. ” — Torrebenn 15 juillet 2019
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16

16

Tabi yakusha
(1940)

de Mikio Naruse avec Nijiko Kiyokawa, Kamatari Fujiwara, Sōji Kiyokawa

1h10

2 micro-critiques | Sa note :

Arch_Stanton
Sa note :

“ Récit picaresque du nomadisme du théâtre nippon. Intemporel, car Naruse ne cherche jamais à dater son action. Voilà ce qui le rend éternel. ” — Arch_Stanton 14 avril 2021
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17

17

Les Frères et les sœurs Toda
(1941)

de Yasujirō Ozu avec Mieko Takamine, Shin Saburi, Hideo Fujino

1h46

84%
3 micro-critiques | Sa note :

Torrebenn
Sa note :

“ La rancœur à hauteur de tatami ... Les drames familiaux provoquent bien des remous dans l'intérieur feutré des appartements d'Ozu ... ” — Torrebenn 14 novembre 2018
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18

18

Hideko no shashō-san
(1941)

de Mikio Naruse avec Hideko Takamine, Daijirō Natsukawa, Kamatari Fujiwara

53m

1 micro-critique | Sa note :

Torrebenn
Sa note :

“ J'ai eu des frissons de bonheur à imaginer Hideko, de Mikio Naruse, faire un signe amical depuis son bus à Arigatō-san d'Hiroshi Shimizu ! ” — Torrebenn 16 mai 2018
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19

19

Genroku Chūshingura
(1941)

de Kenji Mizoguchi avec Yoshizaburō Arashi, Utaemon Ichikawa, Chōjūrō Kawarasaki

Drame | 4h01

91%
13 micro-critiques | Sa note :

Torrebenn
Sa note :

“ Si vous ne voyez pas de sang, c'est normal ! Les gouttes éparses du précieux fluide ne font que glisser sur les lames des meilleurs katana. ” — Torrebenn 16 mai 2018
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20

20

Il était un père
(1942)

de Yasujirō Ozu avec Chishū Ryū, Shūji Sano, Shin Saburi

Drame | 1h26

90%
22 micro-critiques | Sa note :

Arch_Stanton
Sa note :

“ Ozu en racontant l'amour paternel, ne parle de rien d'autre que d'amour filial et du temps qui, passant, laisse souvenirs, joies et regrets. ” — Arch_Stanton 1 mars 2016
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21

21

Sugata Sanshirō
(1943)

de Akira Kurosawa avec Susumu Fujita, Denjirō Ōkōchi, Takashi Shimura

Drame | 1h20

66%
19 micro-critiques | Sa note :

Arch_Stanton
Sa note :

“ Un film n'ippon sur le judo ne peut qu'être laudateur. Kurosawa fait de l'art martial national une religion et un art. Remarquable. ” — Arch_Stanton 17 avril 2013
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22

22

Ichiban utsukushiku
(1944)

de Akira Kurosawa avec Ichirō Sugai, Chieko Nakakita, Akitake Kono

Drame | 1h25

29%
8 micro-critiques | Sa note :

Torrebenn
Sa note :

“ Il n'est qu'à voir sa manière de déformer le message propagandiste et nationaliste pour se convaincre du génie humaniste de Kurosawa ... ” — Torrebenn 1 octobre 2018
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23

23

Miyamoto Musashi
(1944)

de Kenji Mizoguchi avec Kinuyo Tanaka, Chōjūrō Kawarasaki, Choichiro Kawarazaki

Drame | 53m

2 micro-critiques | Sa note :

Torrebenn
Sa note :

“ Comme une étape obligée, l'adaptation d'un Musashi permet à tout réalisateur japonais de se sentir partie intégrante du plus grand des Arts. ” — Torrebenn 11 juin 2019
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24

24

Zoku Sugata Sanshirō
(1945)

de Akira Kurosawa avec Denjirō Ōkōchi, Susumu Fujita, Ryūnosuke Tsukigata

Film d'action | 1h21

46%
6 micro-critiques | Sa note :

Arch_Stanton
Sa note :

“ 技あり ” — Arch_Stanton 17 avril 2013
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25

25

Histoire de l'arc au temple de Sanjusangendo
(1945)

de Mikio Naruse avec Kinuyo Tanaka, Haruo Tanaka, Kazuo Hasegawa

1h17

1 micro-critique | Sa note :

Arch_Stanton
Sa note :

“ Les frissons de Kinuyo Tanaka aux sons des succès ou des échecs de son archer préféré ont traversé les décennies avec la même puissance ! ” — Arch_Stanton 14 mai 2023
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26

26

Waga seishun ni kuinashi
(1946)

de Akira Kurosawa avec Setsuko Hara, Denjirō Ōkōchi, Haruko Sugimura

Drame | 1h50

79%
7 micro-critiques | Sa note :

Arch_Stanton
Sa note :

“ Dans un élan total d'une fougue saisissante, Kurosawa dénonce militarisme, fascisme et dictature industrialo-policière. Sans concession ! ” — Arch_Stanton 2 juin 2022
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27

27

Récit d'un propriétaire
(1947)

de Yasujirō Ozu avec Choko Iida, Chōko Iida, Hohi Aoki

Comédie, Drame | 1h12

84%
15 micro-critiques | Sa note :

Arch_Stanton
Sa note :

“ Deux ans après avoir été mis plus bas que terre, le Japon, vu par l'un des ses plus grands humanistes s'élève très haut dans les sentiments. ” — Arch_Stanton 14 octobre 2018
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28

28

Subarashiki nichiyōbi
(1947)

de Akira Kurosawa avec Ichirō Sugai, Chieko Nakakita, Atsushi Watanabe

Comédie, Drame | 1h48

85%
12 micro-critiques | Sa note :

Arch_Stanton
Sa note :

“ Dans un Tokyo encore fumant de ses cendres belliqueuses, Kurosawa promène deux silhouettes qui grâce à lui prennent corps et âme ... Sublime ” — Arch_Stanton 16 mars 2018
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29

29

Joyū Sumako no koi
(1947)

de Kenji Mizoguchi avec Kinuyo Tanaka, So Yamamura, Eijirō Tōno

Drame | 1h36

79%
6 micro-critiques | Sa note :

Torrebenn
Sa note :

“ Une grande fresque théâtrale couplée d'une histoire d'amour impossible, Mizoguchi sait décidément bien faire les choses ! ” — Torrebenn 29 mai 2013
1 commentaire
30

30

L'Ange ivre
(1948)

de Akira Kurosawa avec Toshirō Mifune, Takashi Shimura, Michiyo Kogure

Drame | 1h38

89%
29 micro-critiques | Sa note :

Arch_Stanton
Sa note :

“ Duel d'âmes à la dérive entre abandons éthyliques et errances yakuzesques. Kurosawa offre une confrontation puissamment humaniste à 2 géants ” — Arch_Stanton 16 mars 2018
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31

31

Une femme dans le vent
(1948)

de Yasujirō Ozu avec Kinuyo Tanaka, Shūji Sano, Chieko Murata

54%
4 micro-critiques | Sa note :

Arch_Stanton
Sa note :

“ Terrifiant témoignage de la condition féminine dans un Japon d'après-guerre où les hommes agonissent de mépris leurs épouses miséreuses ... ” — Arch_Stanton 15 juillet 2019
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32

32

Printemps tardif
(1949)

de Yasujirō Ozu avec Chishū Ryū, Setsuko Hara, Yumeji Tsukioka

Drame | 1h48

92%
36 micro-critiques | Sa note :

Torrebenn
Sa note :

“ Dans l'amour d'une fille s'étiole une jeunesse qui, jour après jour, ne voit pas s'écouler le temps assassin. Les tatamis se flétrissent ... ” — Torrebenn 11 mars 2018
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33

33

Chien enragé
(1949)

de Akira Kurosawa avec Toshirō Mifune, Takashi Shimura, Gen Shimizu

Thriller, Drame | 2h00

81%
30 micro-critiques | Sa note :

Arch_Stanton
Sa note :

“ Fermez les yeux, laissez-vous aller, ouvrez les oreilles : vous avez entendu ?! Gabin parle japonais ! Et Mifune joue à Ménilmuche ! ” — Arch_Stanton 1 mars 2016
5 commentaires
34

34

Le Duel silencieux
(1949)

de Akira Kurosawa avec Toshirō Mifune, Takashi Shimura, Miki Sanjo

Drame | 1h35

85%
7 micro-critiques | Sa note :

Arch_Stanton
Sa note :

“ Le poids d'interdits culturels, d'hypocrisie collective & de normes sociales, dénoncés en bloc dans une grosse gifle d'immédiat après-guerre ” — Arch_Stanton 21 avril 2016
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35

35

Flamme de mon amour
(1949)

de Kenji Mizoguchi avec Kinuyo Tanaka, Ichirō Sugai, Mitsuko Mito

1h36

84%
5 micro-critiques | Sa note :

Arch_Stanton
Sa note :

“ Mizoguchi est décidément le meilleur héraut de la cause féminine nippone. ” — Arch_Stanton 31 octobre 2013
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36

36

Rashōmon
(1950)

de Akira Kurosawa avec Toshirō Mifune, Machiko Kyō, Masayuki Mori

Drame | 1h24

90%
143 micro-critiques | Sa note :

Arch_Stanton
Sa note :

“ Kurosawa livre une oeuvre qu'Hitchcock n'aurait sûrement pas dédaigné réaliser tant le sujet lui aurait convenu. Ceci est un compliment ! ” — Arch_Stanton 2 septembre 2011
1 commentaire
37

37

La rue en colère
(1950)

de Mikio Naruse avec Takashi Shimura, Setsuko Wakayama, Isao Kimura

1h45

2 micro-critiques | Sa note :

Torrebenn
Sa note :

“ Le Film Noir de Naruse ne se veut pas gangstérisant, mais il le peuple d'âmes à la dérive dans un pays gangrené par les petites combines ... ” — Torrebenn 14 novembre 2018
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38

38

Rapport sur la conduite du professeur Ishinaka
(1950)

de Mikio Naruse avec Toshirō Mifune, Setsuko Wakayama, Haruo Tanaka

1h33

1 micro-critique | Sa note :

Torrebenn
Sa note :

“ Délirant film de sketchs où l'impression qui prédomine est celle que tout le monde s'est bien éclaté au milieu de la Reconstruction ! ” — Torrebenn 26 juin 2019
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39

39

La bête blanche
(1950)

de Mikio Naruse avec Eiji Okada, Tanie Kitabayashi, So Yamamura

1h37

2 micro-critiques | Sa note :

Arch_Stanton
Sa note :

“ Explosion de la prostitution, ravages des maladies vénériennes et perte de tous les repères moraux : bienvenue dans le Japon d'Après-Guerre. ” — Arch_Stanton 14 avril 2021
1 commentaire
40

40

Le Destin de Madame Yuki
(1950)

de Kenji Mizoguchi avec Michiyo Kogure, Ken Uehara, Eijirō Yanagi

Drame | 1h25

78%
10 micro-critiques | Sa note :

Torrebenn
Sa note :

“ Il est impossible de réduire cette "Madame Yuki" à un simple mélo, là où la violence qu'elle subit en fait un étendard des féminicides. ” — Torrebenn 11 juin 2019
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41

41

Les Sœurs Munakata
(1950)

de Yasujirō Ozu avec Kinuyo Tanaka, Hideko Takamine, Ken Uehara

1h56

49%
5 micro-critiques | Sa note :

Arch_Stanton
Sa note :

“ La sage Kinuyo Tanaka et la gavroche Hideko Takamine, deux faces d'une même pièce, celle qui tournoie pour fixer le destin des femmes ... ” — Arch_Stanton 15 juillet 2019
1 commentaire
42

42

Été précoce
(1951)

de Yasujirō Ozu avec Setsuko Hara, Chishū Ryū, Chikage Awashima

Drame | 2h05

91%
27 micro-critiques | Sa note :

Arch_Stanton
Sa note :

“ Une femme de 28 ans non-mariée est une femme incomplète, en voie d'éjection de la vie sociale et une honte pour sa famille si aimante. ” — Arch_Stanton 17 mai 2018
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43

43

Miss Oyu
(1951)

de Kenji Mizoguchi avec Kinuyo Tanaka, Eitarō Shindō, Nobuko Otowa

Drame | 1h29

86%
20 micro-critiques | Sa note :

Arch_Stanton
Sa note :

“ Amours impossibles cherchent conventions sociales un peu plus souples pour s'épanouir dans écrin tissé par génie nippon. Ecrire Vodkaster. ” — Arch_Stanton 17 mai 2018
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44

44

Le Repas
(1951)

de Mikio Naruse avec Setsuko Hara, Ken Uehara, Yukiko Shimazaki

Drame | 1h37

88%
13 micro-critiques | Sa note :

Arch_Stanton
Sa note :

“ La femme japonaise, cette "personne du fond de la maison" n'a jamais été aussi bien incarnée que par Setsuko Hara, abyssale de résignation. ” — Arch_Stanton 22 juillet 2019
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45

45

La danseuse
(1951)

de Mikio Naruse avec Isao Kimura, So Yamamura, Mariko Okada

1h25

1 micro-critique | Sa note :

Torrebenn
Sa note :

“ Naruse atteint la perfection. Cet état de grâce où devant ses images, son Art, l'on n'entend plus que le choc de son cœur devant l'écran ... ” — Torrebenn 21 juillet 2019
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Le Fard de Ginza
(1951)

de Mikio Naruse avec Kinuyo Tanaka, Yuji Hori, Ranko Hanai

1h27

2 micro-critiques | Sa note :

Arch_Stanton
Sa note :

“ Kinuyo Tanaka porte très haut cette quasi-comédie, en veuve de guerre bousculée par la vie, mais qui ne se départit jamais de son humanité. ” — Arch_Stanton 14 avril 2021
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47

47

La Dame de Musashino
(1951)

de Kenji Mizoguchi avec Masayuki Mori, Kinuyo Tanaka, Yukiko Todoroki

Drame | 1h28

77%
4 micro-critiques | Sa note :

Arch_Stanton
Sa note :

“ Bouleversement total des émotions, un remue-méninges absolu, le cœur d'un cinéphile opéré à vif par Mizoguchi. Le mélodrame fait perfection. ” — Arch_Stanton 11 avril 2021
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48

48

Le Goût du riz au thé vert
(1952)

de Yasujirō Ozu avec Chishū Ryū, Shin Saburi, Michiyo Kogure

Drame | 1h55

86%
23 micro-critiques | Sa note :

Arch_Stanton
Sa note :

“ Il est des miracles du 7e Art qui enjambent les siècles et nous permettent de ne jamais douter du Cinéma. Le Génie d'Ozu est de ceux-là. ” — Arch_Stanton 2 mars 2022
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49

49

Vivre
(1952)

de Akira Kurosawa avec Takashi Shimura, Makoto Kobori, Haruo Tanaka

Drame | 2h23

91%
45 micro-critiques | Sa note :

Arch_Stanton
Sa note :

“ La gabegie administrative poussée à son inepte aveuglement, dépeinte comme un cancer grignotant les fonctions vitales d'une ville palpitante ” — Arch_Stanton 16 mars 2018
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50

50

L’Éclair
(1952)

de Mikio Naruse avec Kyoko Kagawa, Hisako Takihana, Eitarō Ozawa

1h27

88%
1 micro-critique | Sa note :

Torrebenn
Sa note :

“ Ce film progressiste sur l'émancipation de celle qui se veut (et se construit) en femme moderne et libre est porté par Hideko Takamine ! ” — Torrebenn 14 novembre 2018
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