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Micro-critique star (VDS) :
VDS
(à propos de Zero Theorem)
“ Bienheureux celui qui ignore la vacuité de son existence, drôle de chemin de croix pour celui qui doit l'oublier au quotidien. ”
— VDS
26 juin 2014
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VDS(à propos de Zero Theorem)“ Bienheureux celui qui ignore la vacuité de son existence, drôle de chemin de croix pour celui qui doit l'oublier au quotidien. ” — VDS 26 juin 2014
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CaroB(à propos de Zero Theorem)“ Je suis devant ce film comme devant Brazil : à la fois fascinée, intriguée mais il y a quelque chose auquel je n'adhère pas complètement. ” — CaroB 26 juin 2014
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Gigz3823 juillet 2014 Voir la discussion...
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maxijoe10 avril 2015 Voir la discussion...
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nomnul16 mai 2018 Voir la discussion...
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lorisz(à propos de Zero Theorem)“ Giliam excelle comme jamais en peignant une société hyper-rationalisée où le capitalisme et la science ont remplacé la religion et l'art. ” — lorisz 27 juin 2014
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lorisz
Ensuite, merci pour ton petit cours d'histoire, mais je ne parlais pas de révolution au sens politique et historique, mais de "vraie" révolution. La révolution n'a jamais eu lieu, elle paraît même impossible à réaliser. Après Marx, Adorno montre les faiblesses de cette théorie révolutionnaire et affirme que la révolution n'a jamais eu lieu.
Tu aurais pu prendre un exemple d'art moins cliché tout de même. Le problème avec ce genre d'oeuvres d'art c'est qu'elles sont tellement connues et vendues qu'elles ont perdu leur valeur artistique, et cela se ressent même réellement, car aujourd'hui si tu vas au Louvre il est impossible de voir la Joconde tellement il y a de monde autour, et avec les vitres qu'ils ont rajoutées dessus, toute observation est impossible et tout plaisir est anesthésié. Et on en revient au même problème. Avec l'apparition du capitalisme (au XIXe siècle certes), on a de plus en plus eu tendance à fétichiser certaines oeuvres d'art, comme la cinquième ou la neuvième de Beethov, la Joconde, le fameux trio de Schubert ou encore les airs de Carmen que l'on retrouve souvent dans des publicités (au XXe et XXIe siècle, donc). Cela participe à la capitalisation de l'art, si bien que les gens (la masse) ne savent même plus pourquoi ils aiment telle ou telle oeuvre, mais ils l'écoutent parce qu'elle est connue. Il n'y a plus aucun goût en jeu au final.
Enfin, j'emploie ce mot évidemment avec mépris, parce qu'elle participe à ce phénomène et à la propagande artistique. Le cinéma propagandiste existait, on peut lui donner une valeur historique ou sociologique, mais pas une valeur artistique je pense, parce que l'oeuvre devient utile et utilisée. Je n'ai pas dit que la masse décidait de la façon dont l'art devait être, tu as dû mal comprendre mon propos. Je ne comprends pas bien ton point de vue, mais je pense que nous sommes d'accord sur le fait que l'art n'est pas quelque chose de facile et d'accessible à tous.
Je n'ai pas dit que l'art était hors de la société, j'ai dit qu'il existait une lutte constante (réelle) entre les deux, donc ok pour dire qu'il est à la fois à l'intérieur et à l'extérieur, c'est pour cela qu'on dit que l'artiste est un "marginal", il est "à la marge", à la frontière entre les deux, autrement dit il a du recul sur les choses, le réel. -
Kirikiki
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lorisz
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