Tarantula, un film avec de grosses pattes velues

Cette fois c'est bien parti, L'Absurde Séance a repris son rythme de croisière depuis la semaine dernière et, alors que Paris est sous l'eau et qu'on peut de nouveau dire qu'il fait un temps à aller au cinéma, nos yeux ébahis de cinéphages affamés sont prêts à s'en prendre plein la vue !

Comme d'habitude, ça se passe samedi minuit au Nouveau Latina et, cette semaine, le film c'est Dorian Gray, une nouvelle adaptation du conte fantastique bien connu :

Un portrait peint qui veillit mais un visage qui reste étrangement jeune...

Mais notre mission ici, c'est de vous surprendre chaque semaine, non pas avec un film, mais une scène bien sentie, un truc sympathique... une séquence absurde. Pour rebondir sur le sujet du film de la semaine, on a cherché à prendre à contre-pied le thème de la jeunesse en vous parlant des vieux, mais l'idée nous a claqué entre les doigts (désolé Mamie Tromblom). Du coup on est parti sur du classique et du solide. L'absurde séquence de la semaine est du genre à avoir 8 pates bien velues. On vous laisse faire connaissance avec la demoiselle :

C'est joliment fait, et pas par n'importe qui. Jack Arnold, le réalisateur de L'Homme qui rétrécit et surtout de L'Étrange Créature du lac noir qui n'est autre que The Creature from the Black Lagoon, soit LE film que vient de voir Marilyn Monroe dans 7 ans de réflexion, juste avant que sa robe ne se lève ! Mais ne nous égarons pas... l'important c'est que Tarantula date de 1955 et que le film n'a pas pris une seule ride !

Héhé, voilà ! Dorian Gray, la boucle est bouclée...

Cette petite tranche d'absurde vous a mis l'eau à la bouche ? Vous allez pouvoir en dévorer à foison et même parfaire votre culture grâce à notre MovieQuiz dédié :

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