“ Une photo jaunie par le temps, tachée par le sang. Beauté d'une animation sauvage, puis spectre crue de la réalité. Le puzzle prend vie. ”— TheFabest26 mars 2014
“ Tissant une histoire amère, le film impressionne par sa beauté brute. Les affres d'une légende contre le poids de l'admiration. Indélébile. ”— TheFabest12 mars 2014
“ De ce constat bouleversant d'avoir côtoyé quelques heures durant une beauté aérienne, presque irréelle. Poésie des songes, naïve, dévorante. ”— TheFabest30 septembre 2014
“ La beauté réside peut-être là, dans la sobriété de l'existence. Le temps d'un frisson, d'où s'échappent quelques notes. Fuyantes. Vivantes. ”— TheFabest14 octobre 2014
Synopsis : Koyaanisqatsi n'est ni une œuvre narrative, ni un documentaire. Le film propose des images qui se succèdent en jouant sur les échelles d’espace et de temps pour montrer au spectateur le monde dans lequel il vit sous un angle différent, et l’inviter lui-même à tirer des conclusions de ce qu'il voit...
“ Rares sont les films restant en tête des jours, des semaines, des mois. Car c'est bien ce dont il est question dans cette fresque : du temps ”— TheFabest28 février 2014
“ L'image se mêle à une musique lancinante qui l'empoisonne. Toute la sève du film se contamine. Pellicule dilatée. L'addiction pour héroïne. ”— TheFabest 7 mars 2014
“ Première claque cinématographique. Premier aveu d'addiction. Mon premier amour a clairement été sale et dégueulasse... mais tellement beau ! ”— TheFabest 1 mars 2014
“ Genèse de la création, 2001 transgresse les transgressions. Voyage hypnotique dans l’histoire du Cinéma. Impact dans trois, deux, un ... ”— TheFabest28 mars 2014
“ Sur une ballade de Schubert, puis une envolée d'Haendel, Kubrick peint l'un des plus grands chefs d’œuvre du 7ème art. Splendeur visuelle. ”— TheFabest19 mars 2014
“ The Truman show anticipe et se méfie de l'abondance des caméras autour de lui. Car les films aussi ont le droit à leurs vies privées. ”— TheFabest10 mars 2014
“ Interface limpide, script très performant, encodage impeccable, lignes de textes fouillées. Un film de classe F5. (Rafraichissant) ”— TheFabest 9 mars 2014
“ Hazanavicius déclare son amour au 7ème art, dans une pastiche muette d'admiration. L'hommage est sincère, et l'émotion revigorante. ”— TheFabest17 mars 2014
“ Un pneu qui trace sa route sans jamais tourner en rond. Nous prenant de vitesse, mais non sans raison. Un film qui écrase les conventions. ”— TheFabest 6 mars 2014
“ Nihilisme et misanthropie lorgne cupidement ce film porté par un duo d'acteurs très inspiré. Ballade malsaine dans un récit ample et dense. ”— TheFabest24 mars 2014
“ Images et musiques composent ensemble, main dans la main, une merveilleuse symphonie. Personnification du rêve, dans sa forme la plus pure. ”— TheFabest12 mars 2014
“ Un vengeur silencieux laissera derrière lui quelques notes traversant le désert, puis les frontières. L'Ouest, l'Est, le Sud et le Nord. ”— TheFabest10 mars 2014
“ Depuis ce film j'aime les cimetières. Grâce à l'une des plus belle séquence offerte par le Cinéma.
Un bon film brut pour les truands. ”— TheFabest 5 mars 2014
“ Drame pour adulte maquillé en conte pour enfant, la profusion d'images éblouie. Jeunet, en orfèvre, taille son joyau. Ci git un miracle. ”— TheFabest17 mars 2014
“ Le spectre d'Edward hante encore ce château abandonné et l'esprit rêveur du spectateur. Expérience inoubliable. Décharge émotionnelle. ”— TheFabest23 mars 2014
Synopsis : Joel tombe de haut quand il découvre que sa compagne, Clémentine, a effacé de sa mémoire leur relation tumultueuse. Désespéré, il prend contact avec l'inventeur du procédé, le Dr. Howard Mierzwiak, pour subir le même traitement. Mais tandis que ses souvenirs s'évanouissent, Joel se rend soudain compte qu'il aime toujours Clémentine...
“ Dichotomie d'un Homme, Pusher brille par sa noirceur suffocante et sa plongée ultra réaliste en eau trouble. Une première salve meurtrière. ”— TheFabest20 mars 2014
“ Aveuglant, ce deuxième opus oppresse par sa noirceur. Là où le premier volet fascinait, sa "suite" enfonce le clou et remue la plaie. Grand. ”— TheFabest24 mars 2014
“ Bouleversante allégorie rappelant qu'il ne faut jamais vendre la peau de l'ours avant de l'avoir tué. Un troisième portrait clinique. Inouï. ”— TheFabest25 mars 2014
Synopsis : À Bangkok, Julian, qui a fui la justice américaine, dirige un club de boxe thaïlandaise servant de couverture à son trafic de drogue. Sa mère, chef d’une vaste organisation criminelle, débarque des États-Unis afin de rapatrier le corps de son fils préféré, Billy : le frère de Julian vient en effet de se faire tuer pour avoir sauvagement massacré une jeune prostituée. Ivre de rage et de vengeance, elle exige de Julian la tête des meurtriers. Julian devra alors affronter Chang, un étrange policier à la retraite, adulé par les autres flics.
“ Le Western brise ses chaines en lorgnant le fondamental. Tarantino réécrit l'histoire avec la plume des plus grands, et son regard d'antan. ”— TheFabest26 mai 2014
“ 8 mile chante la poésie des rues, la prose perdue. Dans les mains d'un artisan, un écrin musical germe. La plume clame. Un artiste attend. ”— TheFabest28 mars 2014
“ Bouleversante par sa retenue, Sofia Coppola métaphorise le mal de vivre en un long métrage hypnotisant et suffocant. Douce violence. ”— TheFabest23 mars 2014
“ Contenant fébrilement une flamme qui s’éteint, Godard affronte le mépris dans une schizophrénie sentimentale où le silence est roi. Prodige. ”— TheFabest 7 avril 2014
“ Là où l'amour et la mort vibrent dans un même cortège. Là où le passé domine le présent. Que viva Mexico !, ou le triomphe de la vie. ”— TheFabest15 juin 2014
“ Sucrerie savoureuse pour tout geek qui se respecte. Wright, très inspiré, déclare son amour à la pop culture survitaminée. Jouissif. ”— TheFabest12 mars 2014
“ Le froid dévore les Hommes, mais ne les juge pas. Le ciel, brumeux, observe. Seule la conscience nous glace, et elle ne se dompte pas. ”— TheFabest 7 mars 2014
“ C'est dans cet ersatz d'humanité, dans ces similis. Dans cette volonté d'être plus qu'une étape franchie. Dans ces moments là, dans ces her. ”— TheFabest 7 juillet 2014
“ Glazer saisit la chaire de ces instants, rares, qui se figent et s'érigent. Là où l'espace et le temps errent. Dans le périple d'un regard. ”— TheFabest27 juillet 2014
“ Par une autodérision constante, Marvel confie les reines de son récit à un walkman nostalgique, et signe son film le plus rafraichissant. ”— TheFabest14 août 2014
“ L'on s'éprend de cette caméra lancinante, presque timide. Tout en regrettant le sourire trop marqué du pianiste, trahissant celui de Goodis. ”— TheFabest 2 septembre 2014
“ C'est dans une flaque d'essence, mêlée de sang, que s'extirpe la beauté sauvage de The Rover. Secouant, jusqu'aux extrêmes, Michôd confirme. ”— TheFabest 4 septembre 2014
“ Incroyable spleen visuel et urbain, Amer Beton chante la beauté des causes perdues. L'introspection d'un espoir qui ne demande qu'à germer. ”— TheFabest 7 septembre 2014
“ Chronique touchante sur l’échec, hommage mélancolique à la prise de risque, Le Stratège quitte la pelouse et remporte la partie. ”— TheFabest12 mars 2014
“ D'une grâce insolente, la folie s'isole dans ce trop plein d'ivresse. D'une délicatesse sauvage, d'un calme compulsif. Poésie bienveillante. ”— TheFabest14 septembre 2014
“ Les Quatre cents coups résonnent comme autant de notes dans la plus intime des partitions. D'une justesse déconcertante. Pleine de vie. ”— TheFabest27 septembre 2014
“ De Jules et Jim s'extirpe cette félicité fantasque de l'existence. Celle qui se poursuit. Celle qui se rappelle. Entêtante. Tourbillonnante. ”— TheFabest26 septembre 2014
“ Aïe Pépinot ! Plus que ses défauts formels, c'est de m'avoir mis cette foutue musique dans la tête pendant 1 an qui me laisse un goût amer. ”— TheFabest10 mars 2014
commentaire modéré
Oh non du tout, au contraire. C'est même appréciable de voir que la liste te plait suffisamment pour que tu y reviennes.
Pour Whiplash j'ai hésité en sortant du film.
Le traitement sonore justifierait l'ajout mais ... je sais pas ... J'ai besoin de réecouter la BO à l'occasion.
commentaire modéré
Mes yeux n'ont toujours pas eu le plaisir de se poser dessus. Mes oreilles non plus, fatalement.
Je prends un tel retard !
Je n'oublie pas Easy Rider.
commentaire modéré
Je réalise aujourd'hui que Lumet reprend un thème de Spartacus dans son Prince of the City.
Et je dois dire que le choix est excellent, tant sur la forme que sur le fond.
Pour Whiplash j'ai hésité en sortant du film.
Le traitement sonore justifierait l'ajout mais ... je sais pas ... J'ai besoin de réecouter la BO à l'occasion.
Je prends un tel retard !
Je n'oublie pas Easy Rider.
Merci à toi, avec un peu de retard @Ubik29.
Et je dois dire que le choix est excellent, tant sur la forme que sur le fond.